Nom: Liams
Prénom: Zack
Age: 27 ans
Sexe: Mâle
Race: Zoomorphe canin (Renard)
Classe : Tireur d'élite au sein de la Cameleon
Point de vie : 13
Physique: A quoi je ressemble? Pff... T'en a des questions toi, ta qu'a me prendre en photo si tu veux savoir a quoi je ressemble. Bon, si c'est obliger, on vas y aller alors... Je suis de taille moyenne, disons environs cinq pied huit. Ouais, ouais, j'pas un géant et alors? Ma fourrure est rousse et blanche, ouais, comme les renards belle déduction champion, et elle recouvre la majeur partis de mon corps. Bon, je vais pas vous faire des statistique en plus, majeur partis de mon corps je trouve ça assez explicite. J'ai une bonne carrure et j'ai travailler pour tu sais? Je priorise l'agité a la force brute, mon métier l'oblige et de toute façon, sa sert a quoi d'avoir deux cents livres de muscles si on est pas capable de courir plus que cent mètre sans se vomir les tripes? Ha, et puis de toute façon ton avis je m'en fou un peu a vrai dire, moi j'préfère ça et pis c'est tout. Bon, voila, pour mon style vestimentaire, je dirais qu'il dépend de la saison et de l'activité. Trop vague? Pff, on s'en sortira pas je crois bien. Je porte la plus part du temps des pantalons cargo amples, des bottes de combat en cuir et un t-shirt simple ou une camisole. Je porte des couleurs plutôt fade comme le brun, le blanc, le noir... Je suis pas très extravaguant, voit-tu? J'aime pas trop attirer l'attention. La couleur de mes yeux? Et puis quoi encore.... Bleu.
Mentalité: Caractère qu'on pourrait qualifié de «de merde». Ouaip, ça me décrit plutôt bien. Légère tendance a l'alcoolisme, le gambling, les combats et les vices de la chairs. Ouais, j'suis pas une nonne ça va, pas besoin de me juger. On a tous nos petit démon, c'est juste que moi je les assumes. Je suis quelqu'un d’honnête. Certains diront que j'ai aucun tact, quand a moi je trouve que je dis seulement ce que je pense, que se sois approprié ou non. Après chacun son opinion même si la mienne est meilleure que la votre. Je tien a mes opinions et je me bat pour elles, ça ma attiré plus d'ennemis que d'amis. D'ailleurs, j'en est pas beaucoup des amis. Et je considères pas un mec que je vois de temps en temps avec lequel les conversation se limite a: Ouais, yo, comment ça va? Bien, et toi? Bien. Comme étant un amis. Pour moi un ami, c'est quelqu'un en qui t'a assez confiance pour remettre ta vie entre ses mains. Sa réduit pas mal la gamme hein? Ma confiance est dure a gagnée, facile a perdre. Les membres de ma section de reconnaissance l'on gagner, mais c'est obligatoire dans ce job la. Bah voila, je crois que ça me résume assez bien. Je suis une tête de mule alcoolique a tendance violente et joueur compulsif sur les bords.
Caractéristique
Force :2
Dextérité :5
Constitution :3
Intelligence :1
Charisme :0
Compétence
Force:
Course 2
Dextérité:
Camouflage 2
Combat armé ( arme de tir légère) 1
Combat armé (arme de tir lourde) 4
Conduite 1
Historique
Arsenal 2
Ressource 1
Background:
-Hey, Liams!?
Octobre 2120, par une belleeee journée d'automne... Belle mon cul, y pleut et ça fait maintenant trois semaine qu'on joue dans la bouette pour pas grand chose. Patrouille de reconnaissance mon cul, on fait que jouer dans s'foutu marécage par qu'il y a un haut gradé qui a pas eu sa petite gâterie ce matin la qui a décidée qu'il y aurait peut-être des machins intéressant dans ce coin la. SITREP: Y'a de la boue, des créatures bizarre et encore de la boue... Vas être content cet enfoiré la, il va pouvoir venir se faire un joli chalet, c'est un vrai paradis.
-Hun? Whut?
Je lève les yeux de mon arme que j'étais entrain de démonter pour la lavé. J'étais entrain de m'attaquer a un nettoyage en profondeur de la culasse. Asséchage complet pour enlever la poussière et la boue qui si est accumuler, suivit d'une bonne couche d'huile. Un des scout m'avait interpeller pendant que j'étais un peu trop concentré dans mon nettoyage.
-Tu viens d'où Liams? Tu nous a jamais beaucoup parler de toi.
Je continu de frotter la culasse de mon mk12 modifier pour du tir de précision a moyenne portée. D'où je vien? T'en parle d'une question... Il veut ma taille de bobette tant qu'a y être?
-Hun... Bon, bah je vien d'ici. J'ai grandis dans les rues, j'ai trouvé un vieux fusil dans les décombres d'une maison en me promenant un peu a l'extérieur de la ville et je me suis entraîné au tir. Et pis après, bah, on m'a proposer l'armée ou la prison après avoir malencontreusement exploser la tête d'un milicien. La seule raison pourquoi ils m'ont donné l'option de l'armée, c'est que j'étais a deux cents mètres avec une vieille arme sans lunette de visée... Du coup, me voila ici avec une solde qui suffit a peine a payer un petit appart et de la pizza. Le reste est prit par l'état pour remboursé ma «dette». Voila, sa resemble a ça ma vie. Et toi?
Il commence a me raconter sa vie, mais a vrai dire, sa m’intéresse pas vraiment. Ma vie c'est pas totalement passer comme je l'ai décrit. Les grande lignes, ouais, mais bon la vrai histoire est plus complexe un peu et légèrement plus longue:
Mes parents? Je les connais pas. Ils sont peut-être morts, ou peut-être encore en vie. Peut-être mutants même. Mais sincèrement je m'en fou un peu. Je suis pas du genre a m'apitoyer sur mon sort, je suis pas un orphelin j'ai simplement pas été élever par ceux qui m'ont mit au monde. A vrai dire, j'ai jamais vraiment été élever. On vivait comme une petite communauté dans les rues du district 6. Pas le gros luxe mais je préfère ça au grand manoir et la haute société. C'est en se battant pour survivre que l'on ce rend compte de la fragilité de la vie. Elle est trop prise pour acquis.
Une poignée de zoomorphe, de mutant et une minorité d'humain, une petite cellule hétéroclite vouer a la survie des ses membres. Chacun était un maillons d'une petite chaines qui marchait plutôt bien. Certain avait la tâche de tenir les autorités a distance, d'autre de trouver un endroit où passer la nuit et les autres s'occuper de voler des vêtements, de la nourriture et de l'argent. Ma dextérité manuelle me plaçais dans la dernière catégorie. Une vie plutôt simple et toujours devoir se battre pour rester en vie ça avait un certain charme.
Tout bascula le jour où en volant quelque fruit je vis une jeune femme sur un balcon. Je n'ai jamais vu une aussi belle créature... Et en plus, elle jouait du violon et sa réussi a toucher mon petit côté mélomane. Je revint donc l'observer quelques fois. Elle était tout simplement parfaite... Des courbes suaves, elle n'était pas très grande et de long cheveux couleur d'or lui tombait en vague sur les épaules... Parfaite, ou presque. Et elle jouait d'une manière tout simplement divine. Je l'ai observer longtemps, souvent... Deux fois en faite, et seulement une poignée de minute. Elle avait un petit truc qui clochait a vrai dire. Je crois que c'est le fait qu'elle avait vingts doigts qui me dérangeait. Dégoûtait, pour être plus précis. L'histoire fini aussi rapidement qu'elle avait commencé. Tout ce blabla pour rien que vous vous dites probablement. Vous avez raison.
Là, on en arrive a l'histoire du fusil. Ouais, c'est le moment intéressant dans tout ça. On avait trouver quelques combinaison anti-radiation. Pas des machins ultra classe, mais bon ça faisait la job comme on dit. Ça nous a permit quelque sortie a l'extérieur de l'enceinte du district. Pendant une de nos exploration de ruines environnantes on est tombé sur une vieille cache d'arme. La plupart étaient en trop mauvais état pour être encore utilisable mais on en tira quand même quelque pistolet, deux carabines et une poignée de munition. La première fois que j'ai tiré avec une des carabines fut une véritable révélation... Il faut tiré pour savoir ce que c'est et je crois que c'est une des plus grande drogue. Visé une cible, comme si rien d'autre n’existait, atteindre un état de concentration si intense que tu a l'impression d'être en transe. C'est plus qu'une question coordonné les mains et les yeux, c'est nettement plus complexe. Pour faire un tir parfait tout le corps est impliquer. Il ne faut pas complètement arrêter de bouger, c'est trop peu naturel et c'est un effort inutile. Il faut plutôt s'adapter au petit mouvement naturel du corps. Le tir n'est pas une question d'immobilité, mais de timing. Il faut contrôler sa respiration, son rythme cardiaque et la position de son corps. Et ensuite lorsque que l'on appuis enfin sur la détente, on ressent le recul de l'arme, l'odeur du carbone qui se consume en une fraction de seconde. N'importe quel tireur connait cette odeur et pourrait la reconnaître entre milles. L'odeur est si enivrante... J'ai l’impression que même lorsque je ne tire pas, je l'ai toujours imprégnée dans le nez.
Alors voila, tout ça pour dire que j'ai commencé a être accro au tir et je consacrait la majorité de mon temps. J'améliorais mes technique de jour en jour jusqu’à ce que toute cette pratique fut enfin ou malheureusement mit en action.
Ouais, là on en arrive au bout où je descend un milicien. C'est un jours où on devait s'en prendre a une grosse affaire que tout ça c'est passer. On devait aller voler une bonne petite réserve d'argent ce jour là. Un marchand qui refilait des machins usager a des prix beaucoup trop élever pour ce les objets valent. J'étais en retrait, je couvrait l'opération du haut d'un toit. Tout se passait bien jusqu'à ce que les foutu milicien rappliquent. Qui les a alerter, je crois que je le saurai jamais, mais on c'est fait prendre. Une des petites nouvelles, une gamines, fut celle qui eu droit au traitement exemplaire. Coup de matraque après coup de matraque, je prenais position... C'était la première fois que je visais une cible vivante. Je devais gérer le stress, la peur, la rage... Tout ça était nouveau, je n'avais jamais tirer sous l'emprise de tels émotions... Je tremblait comme une feuille... Je n'avais jamais tirer d'aussi loin. Deux cents mètre, a cette distance, sans lunettes de visée un simple centimètre d'écart faisait une différence d'un mètre entre la cible et l'endroit toucher. Une petite erreurs et je tuais un innocent ou même la gamine. Seule solution, faire le vide... La cible n'était pas humaine c'était une canette comme celle que j'avais transpercer des centaines de fois. Celle ci bougeait, c'était la seule différence. Je pris de grande respiration, avant de reprendre un rythme normal, contrôlant de mon mieux les battement de mon coeur... Je mire, puis je remplis mes poumons d'air, la mire monte doucement et au fur et a mesure que je les vides, ma mire baisse, baisse... J'enfonce lentement la gâchette, éliminant le petit jeu avant que le mécanisme de percuteur déclenche la l'amorce et lorsque la mire s'enligne enfin avec la tête... Bang. Toucher, couler. L'homme tombe au sol, raide-mort. La balle avait toucher la tempe et n'avait probablement pas ressortis vu le faible calibre de l'arme. Je tire quelque coup de plus, visant le sol pour tenir les miliciens a distance pendant que mes compagnons prennent la fuite avec la gamine.
Des sifflements résonne au dessus de ma tête et de petit nuage de poussière se forme un peu partout autour de moi. On me tire dessus, pas question je reste ici plus longtemps. J'attrape mon arme et je fonce, dévalant les escalier a toute vitesse pour descendre de ma cache. Mais rendu en bas, ce ne fut pas la liberté qui m'attendait, mais une crosse d'arme qui me frappa en plein visage. Tout devint noir... Et c'est dans une cellule que je me suis réveiller, menottes au poing.
-Zack Liams, t'es dans de beaux drap mon garçon...
Je cligne des yeux plusieurs fois, cherchant d'où vient la voit. Je vois un homme en habit militaire qui se tien près de moi, un demi-sourire pendu aux lèvres.
-Tu nous a fait un sacré numéro aujourd'hui p'tit gars... Je vais aller droit au but, t'a pas l'air d'un garçon qui aime les long discourt. T'es dans un sacré pétrin, mais ta du talents et c'est ce qui va te sauver. T'a deux choix. Sois tu fait de la prison a vie, sois je t’entraîne, je t'équipe d'un fusil mieux que ton vieux machin et tu travail a la Cameleon comme sniper au sein d'une section reconnaissance. Bien sur, la majorité de ta paye vas servir a payer ta dette a l'état, mais tu vas en avoir assez pour survivre.
Un long soupire plus tard, je relève les yeux vers l'homme qui me fera office de commandant pour les sept prochaine années.
-Quand est-ce que je commence boss?
