Au travail (TOPIC TERMINER)

Messages : 55 Date d'inscription : 31/12/2011

Yaël travaillait depuis plus de deux ans au centre hospitalier du district 6. Elle était rentrée en fonction grâce à son amie Érika qui était elle aussi infirmière. Au travail, elle n'avait pas à cacher sa condition de zoomophorme mante religieuse. Ces collègue de travail la connaissait et savait qu'elle était compétente dans ce qu'elle faisait. Au début de sa carrière, Yaël avait dû faire ces preuves. Avec un bras humain et un autre de mante religieuse il n'était pas toujours facile de montrer que nous sommes aptes à faire le métier d'infirmière. Avec l'expérience qu'elle avait pris, il lui était maintenant possible de se servir de son bras non-humain de façon qu'elle n'aurait jamais pu imaginer. Son bras de mante religieuse étant plus fort que son autre bras pouvait l'aider à soulever des gens. Il était plus long aussi alors c'était plus aisé d'aller chercher des objets hors de porter dans l'urgence.

Seul côté négatif cela faisait souvent peur aux gens surtout au jeune enfant. Elle devait attendre que ceux-ci soit plus à l'aise avec sa condition pour les aider. Parfois elle devait même faire appel à une autre infirmière.

C'était une journée comme les autres. Cela faisait plus de douze heures que Yaël était en service, la zoomophorme commençait à être fatigué, mais elle était toujours aussi efficace. Elle venait juste de finir une perfusion dans le bras d'une dame entre deux âges qu'elle se rendait déjà dans une chambre pour débarrasser le repas d'un patient qui avait terminé de manger. Un médecin l'arrêta dans son élan pour lui parler.

-Yaël tu vas devoir te rendre aux urgences tout de suite, il parait qu'ils sont débordés.

*Les urgences, encore un endroit où je ne pourrais pas sortir avant encore cinq heures au moins*

Sur cette pensée, elle adressa un signe de tête affirmatif avant de se rendre au lieu demandé. Cela lui pris quelque minute. Les couloirs remplient de patient en attente l'empêchait de marchait à la vitesse voulut. Plusieurs personnes l'arrêtaient en chemin pour lui demander des indications ou avoir des renseignements. Une fois rendue, elle regarda les cas présents dans la salle. Elle vit plusieurs mutants et humain, quelque zoomophorme complétait le tableau. Elle s'élança pour aller voir l'infirmière en service pour savoir par où elle devait commencer.

-Commence par les zoomophormes je crois qu'ils seront plus à l'aise devant ta situation.

L'infirmière avait dit le mot situation avec dégout. Cette infirmière n'avait jamais aimé Yaël, mais la zoomophorme se passa de commentaire pour l'instant il y avait trop de gens dans le besoin. Elle se dirigea vers un zoomophorme renard. Au premier coup d'œil elle se dit qu'elle aurait préféré avec cette transformation plutôt que la sienne. Mais elle retira mentalement ses pensées. Ce qui lui était arrivé avait forgé qui elle était aujourd'hui.

-Bonjour monsieur, que puis-je pour vous aujourd'hui?

Elle avait posé sa question avec toute la gentillesse, le calme et la patience qu'elle pouvait. Yaël savait que les urgences pouvaient parfois être assez stressantes et cela ne lui tentait pas vraiment de voir le renard et ses muscles en action ici.

Mhiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnn!!!! Bang. Cadran de merde... Je déteste me faire réveiller par ce truc, mais c'est la seule alarme assez forte pour couvrir mes propres ronflements. Je me lève péniblement dans mon petit lit bien vide. Faisait longtemps que je m'étais pas réveiller a côté d'une femme. Faudrait que je parte a la chasse bientôt. Bon, on prend une pointe de pizza sur le bord du comptoir, cadavre du souper de la veille, une petite gorgée de la bière qui traîne juste a côté qui semble visiblement pas avoir été finit. D'après le gout, pas certain qu'elle date d'hier, mais bon, une bière c'est un bière hein. J'enfile des pantalon cargo militaire noir ainsi qu'un t-shirt noir, le tout compléter par de lourde botte de combat en cuir, des grosse lunettes soleil d'aviateur et une ceinture a laquel pend le holster de mon beretta 9mm.

On se coince une clope entre les dents et on est prêt pour une autre merveilleuse journée. Merveilleuse mon cul, je regrette déjà le confort douillet de mon lit, avec mon matelas dont je peux ressentir chaque ressort «caressé» mon corps de leurs présence a des endroit si peu agréable de mon corps... Des fois je dors dans le bain, c'est quasiment plus confortable. Ça change le mal de place en tout cas. Faut vraiment que je me trouve une femelle. Qui sache faire des massages de préférence, j'ai un de ces mal de dos, pff....

Je sort donc dans la rue, clope au bec. Je fais ma part pour polluer notre oxygène quoi, c'est un effort collectif quand même. J'ai pas de véhicule, je fais comme je peux. Et c'est les mains dans les poches que je dirige vers la caserne, vers les quartiers de la Cameleon. Les dogs tag qui me pendent au cou affiche assez clairement mon appartenance a l'armée. C'est pas rare étant donner la conscription, mais disons que moi, mon adhésion avait pas vraiment été un choix, encore moins que les conscrit.

Je soupire... Je sais pas pourquoi, mais il me semble que ça sens les emmerdes tout d'un coup... Je sais pas si c'est mon indéfectible instinct animal, ou le fait que j'ai trois gars qui me bloque la sortie de la ruelle et que je sais avec pertinence que j'en est un dans le dos.

-Bon.... Écouter les gars, j'ai pas d'argent sur moi, j'dois être encore plus paumer que vous, je veux pas d'emmerde, laisser moi juste aller régler mon éternelle dette a l'état...

La compassion a pas l'air de les animer bien bien. J'crois pas que je vais les toucher par les sentiments... Je dégaine mon pistolet rapidement, leurs poussant quelque tir de sommation en direction de ceux devant, quelques centimètre au dessus de leurs têtes. L'action a l'effet escompté. Ils détallent sans demander leurs reste. Lorsque je me retourne pour faire face a celui que j'avais dans le dos, je sens quelque chose de froid pénétrer lentement mes chairs... Mon poursuivant vient de m'enfoncer un couteau de bonne taille dans l'abdomen. Je me plis en deux sous la douleur pendant que l'homme détale a son tour. Je n'ai même pas le temps de voir son visage.... Peut importe, on va survivre, après on s'occupera d'eux. A priori, a par la douleur de la plaie, aucun organe important ne semble avoir été toucher, le sang a la bonne couleur et la bonne texture. C'est déjà ça, si ils y avait eu des liquides gastriques mélanger a celui si, sa aurait été un peu plus grave. Je retire mon t-shirt, le roulant en boule pour me faire un pansement improviser, appuyant fermement sur la plaie pour arrêter au mieux l’hémorragie.

Ha bah changement de plan, direction l'hosto et que ça saute. Je m'y rend de peine et de misère et une fois arriver, on se contente de me donner de la morphine en comprimer et me faire faire asseoir dans la salle d'attente. Ha bah oui, j'aurait le temps de crever d'ici a me faire soigné....

-Bonjour monsieur, que puis-je pour vous aujourd'hui?

Je suis torse nue, mon t-shirt est une des seule chose qui m’empêche de crever, quoi demander de mieux? Je ne me retourne pas tout de suite, continuant a fixé un point au sol pour oublié la douleur.

-Ha, non. Ça va, je devrais m'en sortir. Le mec qui tousse la bas est surement plus prioritaire que moi. Il doit avoir un rhume, ou un machin comme moi... Mais bon, si vous avez le temps, j'prendrais bien un double cheese burger bacon. Ou bon, je sais que c'est beaucoup demander, mais j'ai une plaie ouverte au niveau du ventre, je sais pas si je suis au bon endroit, mais bon, si y'avais moyen de me recoudre ou un machin du genre, je sens que ma journée pourrait être plus belle.

Le ton que j'avais prit s'étais voulu plutôt blaser, mais une petite teinte d'ironie et de sarcasme avait voulu y faire un saut. Bah, j'y peut rien moi. Je me retourne vers l'infirmière lentement et.... Je la regarde. Bah, c'est pas le plus beau spécimen que j'ai vu, mais tant qu'elle fait son job, ça va.

-Vous me jurez que vous allez pas me couper en deux avec votre arme de destruction massive? J'vous suis, j'vous promet de plus faire de commentaire.

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-Ha, non. Ça va, je devrais m'en sortir. Le mec qui tousse la bas est surement plus prioritaire que moi. Il doit avoir un rhume, ou un machin comme moi... Mais bon, si vous avez le temps, j'prendrais bien un double cheese burger bacon. Ou bon, je sais que c'est beaucoup demander, mais j'ai une plaie ouverte au niveau du ventre, je sais pas si je suis au bon endroit, mais bon, si y'avais moyen de me recoudre ou un machin du genre, je sens que ma journée pourrait être plus belle

Pour qui se prenait-il-lui. Yaël eu soudainement le gout de revenir d'où elle était venue et de ne plus revenir aux urgences de son existence. Elle ne comprenait pas que des gens peuvent être aussi méchant face à des personnes qui veulent leur bien. La façon dont il la regarde par la suite lui donne un frisson dans le dos. Le zoomophorme qui est devant elle la regarde comme si elle était une merde. Elle pris une grande inspiration pour ne pas le gifler très fort.

Son professionnalisme reprit le dessus quand il lui montra sa blessure. Premièrement, cela lui permettait dans voir plus la musculature de l'homme devant lui, mais elle put comprendre pourquoi il était présent aux urgences.

-Vous me jurez que vous allez pas me couper en deux avec votre arme de destruction massive? J'vous suis, j'vous promets de plus faire de commentaire.

Yaël ne fit aucun cas de se commentaire désobligent. Elle allait lui en reparler une fois la blessure recousu et le danger écarté.

Elle s'agenouilla à la hauteur de la blessure pour mieux la voir. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval pour ne pas être embarrassé par sa chevelure durant son travail. Son uniforme d'infirmière lui permettais de bouger s'en la limiter. Elle avait, par contre, été dans l'obligeance de couper une manche pour que son bras qui n'était plus humain puisse bouger.

La blessure avait été faite avec un couteau, c'était facile de s'en rendre compte juste à la regarder. Elle approcha sa main ganté de la blessure pour voir si les contours de la blessure se reprochait bien l'un de l'autre. Elle fit cela avec une très grande douceur pour ne pas créer de douleurs à son patient.

-Il va m'être possible de recoudre cette blessure sans trop de difficultés. Suivez-moi en mettant une pression sur votre blessure

La zoomophorme se dirigea vers la salle d'examen vide le plus proche. C'était une salle très simple sans fenêtre. Les murs d'un blanc déprimant étaient d'une propreté étonnante. Il y avait un bureau avec des papiers dessus avec une chaise et une lampe. Il y avait aussi un lit inclinable pour le patient.

- Couchez-vous confortablement sur le lit je reviens dans quelque instant.

Yaël sortie par l'autre porte qu'il y avait dans la pièce. Elle revient quelque minute plus tard avec un plateau sur lequel il y avait tout le nécessaire pour faire la suture de la blessure. Elle installa le tout sur une table à roulette qu'elle approcha de la table.

Suite a mes commentaire, le visage de la jeune femme changea. Et pas pour le mieux. Visiblement elle n'avait pas trop apprécié ses commentaires. Ouais, bon, j'ai tendance a avoir un humour noir quand je suis sur le point de mourir. J'y peu rien, c'est ma nature... En même temps, sa m'arrive pas tout les jours. C'est plutôt la première fois en faite. J'ai pas été souvent blessé, d'habitude j'essais d'évité. Ça fait mal quand même, et en plus je déteste les hôpitaux, plein de vieux séniles qui se plaignent de tout et de rien, des gamins qui braille et des ados boutonneux qui voulait pas aller a l'école. Rien de plus déprimant. En plus les infirmière on aucun sens de l'humour... Non mais c'était quand même pas si mal mon histoire de cheeseburger...

-Hey, le prenez pas aussi mal m'dame, j'voulais pas vous offensez hein... J'ai tendance a pas être de bon poils quand je commence la journée en me faisant poignardé. Ça te gâche une motivation quand même... Et en plus j'ai mal dormis... Et le gamin qui étais assis a côté de moi dans la salle d'attente devait venir se pisser dessus, sa sentait la charogne... S'pas toujours un avantage d'avoir un nez ultra-sensible vous savez...

Huuum... Cheeseburger... Ça serais quand même vraiment bon en se moment. Rah...Je commence a avoir faim, c'est vraiment pas le moment d'avoir le ventre qui gargouille... Je suis l'infirmière, essayant de pas faire de commentaire sur les cisaille qu'elle à la place du bras. Sa doit être pratique pour arracher la tête des gamins qui se pisse dessus en braillant quand même. Mais bon, une autre histoire quand on faire de l’origami. Mais qui fait de l'origami de nos jours? Pas elle en tout cas. Et j'en fait pas non plus.

-Hey, vous savez, j'fais pas d'origami moi non plus, vous en faites pas.

Fallait que sa sorte, même si mit hors du contexte de ma tête, ça pouvais avoir l'air idiot. Bon, j'ai rien trouvé de mieux pour essayer de me racheté. C'est pas mon genre de m'excuser, je fais ce que je peux quand même. Elle m’emmène dans une petite salle d'opération au mur blanc. Tirer sur des gens, ramper dans des cadavres, passer des semaines a pas dormir dans des conditions minable, ça va encore, je suis dans mon élément. Ici, c'est pas trop ma place, je commence a avoir quelque sueur froide et a pas me sentir très bien... Bon, d'accord, le fait que j'aille un trou dans le ventre dans doit pas aider.

-Vous allez pas me faire plein d'injection hein? J'vous jure que je vais pas faire de commentaire sur votre bras... Ça vous donne un certain charmes vous savez? J'suis pas bien mieux vous savez, j'ai des griffes au bout de chaque doigts moi, ça fais de moi un plutôt piètre masseur. C'est pas terrible au près des femelles.

Elle quitte la salle, me disant de m'installer sur le petit lit... J'e m’exécute sans rien ajouter, allant m'asseoir puis m'étendre sur le lit inclinable. Ouff, c'est nettement plus confortablement que mon lit chez moi ça... Je m'installe aussi confortablement que je peux, multipliant les grimaces de douleur a chaque contorsion. Et puis je l'attend, avec la douleur comme seul chose qui puisse m’empêche de sombrer dans le sommeil...

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-Vous allez pas me faire plein d'injection hein? J'vous jure que je vais pas faire de commentaire sur votre bras... Ça vous donne un certain charmes vous savez? J'suis pas bien mieux vous savez, j'ai des griffes au bout de chaque doigts moi, ça fais de moi un plutôt piètre masseur. C'est pas terrible au près des femelles.

Un homme viril et muscler comme lui qui avait peur des injections.Yaël sourit. S’il n’en avait pas peur il n'avait pas l'air de la personne des plus à l'aise. La façon dont il tentait de ce racheté était des plus charmantes. Tenter de se rabaisser en faisant de l'humour avait toujours fonctionné avec Yaël. Même si elle était plutôt certaine qu'il ne devait pas avoir de problème avec la gent féminine elle trouva la phrase bien tourné.

-Ne vous inquiéter pas monsieur. Je n'ai pas besoin de vous faire d'injection pour cette sorte d'intervention mineure.

Elle commençait vraiment à lui trouver un certain charme peut-être dans sa façon de parler, surement à cause de son corps muscler ça aide toujours. Elle s'approche du zoomophorme couché sur le lit. Yaëlcommença par retirer délicatement le chandail recouvert de sang qui couvrait la blessure. Elle appliqua ensuite une pommade qui allait réduire la sensibilité de la plaie tout en gelant la peau pour le permettre de coudre sans avoir à occasionner de grandes douleurs à son patient.

-Détendez-vous cela ne dura pas tellement longtemps.

Elle prend dans sa main humaine l'aiguille et le fil déjà mis ensemble pour plus de rapidité. Elle utilisa les deux pics au bout de son bras mutant pour rapprocher les contours de la plaie. La zoomophorme trouvait cela étrange de toucher quelqu'un avec son bras non-humain. Elle ne trouvait pas que c'était la même sensibilité. La zoomophorme ressent plus de choses avec son bras de mante religieuse. Seulement avec le simple contact elle pouvait ressentir les grains de la peau, la sueur, le sang sur la blessure. Elle pouvait aussi ressentir les muscles sous la peau qui se contractait à chaque fois qu'elle insérait l'aiguille et le fil dans la peau du renard. Yaëln'était que concentration en ce moment. Elle voulait que son intervention ça parfaitement réussi pour ne pas avoir à recommencer ce qui venait d'être fait. Déjà qu'elle allait devoir lui enlever ces points dans quelques jours. Le revoir dans quelque jour... À cette pensée elle sourit. Elle allait devoir se revoir cet homme charmant. Que son métier était difficile.

Elle coupa enfin le fil. Elle avait terminé et elle était très fière de son travail. Yaëlenleva son gant de plastique et le déposa sur son plateau.

-Vous allez devoir venir me voir d'ici quelque jour pour faire enlever ces points de suture. Je me présente je me nomme Yaël.

Elle lui sourit en lui tendant sa main humaine. La zoomophorme l'aurait bien invité à manger un cheeseburger ou faire de l'origami, mais elle était trop timide.

J'avais pas réellement peur des injections, j'aimais simplement pas le principe de me faire pénétrer par un long machin et me faire remplir d'un autre machin... Dit comme ça, ça peut être mal interpréter, mais bon, sa aussi je suis pas fan. J'aime pas tellement l’idée de me faire recoudre non plus mais ça c'est nécessaire. La jeune femme revint avec son matériel de torture. Et maintenant le supplice commence...

Elle retire le t-shirt pour examiner et nettoyer la plaie pour ensuite mettre une petite crème pour gelée la peau autour de la blessure. Sa et la morphine qui m'ont donner a l'urgence, ça devrais pas être si mal quand même... J'ai quand même un peu de misère a me faire a l'idée que c'est une femme avec une seule main qui va me recoudre. Mais bon, rendu la, j'ai le choix entre possiblement la vexer et qu'elle me réduise en miette avec sa pince ou tenter le coup. Aucune des deux idée ne me semblait vraiment être envisageable...

Une grimace déforme mes lèvres quand l'aiguille rentre une première fois. Bon, plus vraiment le choix maintenant. J'endure le supplice tout le temps qu'il dure, essayant de trouver des formes vraiment très inexistante dans le mur blanc pour me concentrer sur autre chose. La blancheur des murs aidant vraiment pas a trouver autre chose à faire que penser au fait que je me fais traiter comme une vieux vêtement dans lequel il y aurait un bon trou... Au moins, la jeune femme avait du talents, fallait l'avouer malgré son gros handicape. Me détendre, me détendre... C'est pas parce que tout les muscles de mon corps son contracté et j'ai l’impression que je fais m’égrener les dents a force de les serrer aussi fort. C'est pas tant la douleur que l’inconfort de sentir un machin glisser a l'intérieur de ma peau. Je détestais la sensation.

Aussitôt finit:

-Vous allez devoir venir me voir d'ici quelque jour pour faire enlever ces points de suture. Je me présente je me nomme Yaël.

Ha, ouais, revenir. C'est certain...

-Vous faite pas de suivit a domicile? C'est pas le cinq étoiles, mais y'a assez de place pour deux. J'aime pas particulièrement les hôpitaux, disons. Sa pue...

Une fois qu'elle a finit, je reprend mon t-shirt. Je suis pas particulièrement confortable torse nue. Je le remet donc, malgré qu'il soit couvert de sang maintenant, sa m'importe peu a vrai dire. J'attrape une des cigarettes de ma poches, la portant a mes lèvres avant de l'allumé, sans vraiment me soucié que l'on soit dans un hôpital. Je tire quelque bouffer en se replaçant un peu mieux sur le petit lit, m'asseyant.

-Alors, c'est fini? J'ai le droit a de la morphine ou d'autre pilules du genre?

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-Vous faite pas de suivit a domicile? C'est pas le cinq étoiles, mais y'a assez de place pour deux. J'aime pas particulièrement les hôpitaux, disons. Sa pue...

Aller chez lui. Cette pensée n'Avait jamais effleuré l'esprit de la zoomophorme. Elle était allée j'ai un garçon pour la dernière fois... Elle ne se rappelait même plus quand. La dernière fois qu'elle s'était retrouvée seul avec un homme dans le cadre d'une activité personnelle, elle s'était enfuie parce qu'elle croyait qu'il allait la violer. Yaël ne c'était pas remis psychologiquement du viol qu'elle avait subi plusieurs années plutôt. Malgré le fait qu'elle désirait de venger et faire payer au salopard ce qu'ils lui avaient fait, elle ne se sentait pas vraiment à l'aise d'être seul avec un homme hors de son milieu de travail.

*Tu te fais un scénario ma grande. Il ne veut juste pas avoir à revenir à l'hôpital*

C'est sûr que l'intention du renard devant elle n'était pas de coucher avec elle. Même s'il avait parlé de massage tout a leurs. Yaël n'était pas vraiment bonne pour faire des massages. Son bras de mante religieuse ne lui permettait pas de faire cela pour que sa soit plaisant pour l'autre. Qu'est-ce qui l'empêchait d'aller chez cet homme seulement pour l'empêcher de revenir à l'hôpital... rien ne l'empêchait.

-Alors, c'est fini? J'ai le droit a de la morphine ou d'autre pilules du genre?

AH. Il avait déjà changé de sujet c'était peut-être déjà une blague qu'il avait fait.

-Oui je vais vous donner des médicaments contre la douleur. Ils vont être à prendre aux huit heures au besoin. Bien suivre la posologie parce que si vous en prenez trop cela peut-être dangereux pour votre santé D'accord. Je reviens dans quelque instant avec tout cela.

Elle reprit la porte par laquelle elle avait passé quelque minute plutôt. Yaël trouva rapidement un médecin pour qu'il puisse faire la prescription suggérer et préparer la dose de médicament nécessaire. Yaël revint moins de cinq minutes plus tard avec le tous en main. Il y avait dans un petit pot transparent des petites pilules rouges et blanches.

-Il y a assez de médicament pour une semaine, s'ils sont pris aux huit heures comme prescrit. Si vous ne voulez vraiment pas revenir je peu bien me rendre chez vous pour vous enlever vos points de suture. Cela va vous empêcher de revenir dans cet endroit qui pu.

Yaël lui fit un sourire mi-sarcastique mi-amusé. Elle savait pertinemment que cela n'était pas vraiment des plus professionnels, mais cela lui avait fait le plus grand bien.

Une petite blague rien de plus... Mais visiblement, mon ton d'un naturel blasé est plutôt dure a déchiffrer. Un de mes grand problème, malgré que pour moi mes blagues semble vraiment en être, les autres remarques généralement pas le changement dans le ton de ma voix. Ou très peu. Sommes toute, la jeune femme face a moi semblait dans un profond dilemme après ma proposition. Et je dois avouer que c'était plutôt marrant de la regardé se posée tant de question pour une simple petite proposition que la plupart se serait empresser de refuser. Qui serais assez taré pour suivre un renard de un mètre quatre-vingt dix a tendance psychotique, asocial et gambler dans son trou a rat a peine assez grand pour lui tout seul? Dit comme ça, je suis un vrai monstre là... En tout cas, personnellement, je me sentirais pas a l'aise en tête a tête avec moi même dans un endroit où personne ne m'aurait entendu crié. Et puis... Qu'est-ce que j'aurais a me dire de toute façon? Avoir une conversation avec moi même serait surement long et ennuyant. Mais c'est vraiment pas la question a vrai dire. Je ne devais pas avoir l'air des plus brillant lors de mes dilemmes mental. Peut importe, ça avait prit a peut près autant de temps qu'elle a aller chercher des médicaments. Hein? J'en est manquer un bout moi. Quand est-ce qu'elle a dit qu'elle partait chercher ça?

Bon, visiblement, je devais avoir eu l'air un peu plus retarder que je l'imaginais. Professionnalisme, tout est dans le professionnalisme. Professionnalisme de quoi? Je suis assis sur un lit d'hôpital, fraîchement recoud, vêtu d'une camisole ensanglantée. Si elle pose des questions, j’essaierai de faire passer ça pour des effets secondaires de la morphine! En v'la une idée! J'suis génial.

-Il y a assez de médicament pour une semaine, s'ils sont pris aux huit heures comme prescrit. Si vous ne voulez vraiment pas revenir je peu bien me rendre chez vous pour vous enlever vos points de suture. Cela va vous empêcher de revenir dans cet endroit qui pu.

Hein? Quoi? Il c'est passer quoi la? Huit heures, ouais ouais ouais, huit fois toute les heures. Roger out Doc. Je peu pas avoir congé moi aujourd'hui? Je me sens pas trop en état d'aller travailler.... Attend, est-c qu'elle vient d'acceptée mon invitation ma petite dame insecte juste là? Totalement ridicule ça...

-Heu, bah, a vrai dire c'était plutôt une blague vous voyez... Je pensais pas vraiiiment que vous alliez accepter, hein... Faudrait que je fasse la ménage et tout et tout... J'en aurait pour des semaine a faire le ménage et une journée a pas trop y réfléchir et bang! C'est tout a refaire... Non, non, ça va je vais revenir ici.

Ménage, beuuuurk. Je vois sincèrement pas comment je pourrait faire ça. Je crois que j'ai même pas assez de rangement pour tout ranger ce que j'ai chez moi. Mes peut-être que je retrouverais mes boxer porte-bonheurs... Qu'est-ce que je raconte, j'ai jamais eu de boxer porte-bonheurs. Je pourrais peut-être en trouver un dans mon bordel. Je dit jamais non a une petit dose de chance superstitieuse de plus hein.

J'attrape les médicaments pour les fourrer au fond de ma poche, bon, faudrait que je revienne ici encore... Je sais pas ce qui est pire entre enduré l'hôpital et faire le ménage... Hum. Je crois que je préfère l’hôpital. Je me relève de la table de torture et je sort un carnet de note ainsi qu'un crayon d'une des poches de mes pantalons. J'y inscrit «Je n'ai pas de téléphone, mais un jour hein, on arrête pas le progrès.» dessus avant de le plier le plus de fois possible et de le tendre a jeune dame avec un sourire charmeur. Autant charmeur que peut être le sourire d'un homme renard géant.

-Mais si jamais vous voulez aller prendre une bière un jour, appeler moi, ça me fera plaisir. Et pis, je voudrais pas que vous veniez me voir pour le travail hein... Vous pourriez être accuser de fautes professionnel ou un machin du genre. Je me sentirais mal que vous ayez perdu votre travail juste pour mes beaux yeux.

Après toute cette joyeuse aventure, je crois que je vais prendre une journée de congé. Je le mérite bien quand même. Donc si elle n'a rien a ajouté, je retourne chez moi tranquillement, de préférence avant qu'elle ne se rendre compte de ce qu'il est écrit sur le bout de papier...

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-Heu, bah, à vrai dire c'était plutôt une blague vous voyez... Je pensais pas vraiiiment que vous alliez accepter, hein... Faudrait que je fasse le ménage et tout et tout... J'en aurais pour des semaines à faire le ménage et une journée a pas trop y réfléchir et bang! C'est tout à refaire... Non, non, ça va je vais revenir ici.

Maintenant Yaël se trouvait vraiment conne. Elle avait prit la demande que s’il ne voulait vraiment pas revenir a l’hôpital. Pas comme quelqu’un qui faisait un blague sarcastique qui ne voulait rien dire seulement pour alléger l’atmosphère. Elle aurait tellement préférer disparaitre que d’être devant le renard. Elle commença à ramasser ce qu’elle avait utilisé pour s’occuper et ne pas laisser paraitre le mal aise qu’Elle vivait. Même si cela n’avait pas l’aire de vraiment marcher cela lui occuper les mains et cela les empêchais de trembler.

-Mais si jamais vous voulez aller prendre une bière un jour, appeler moi, ça me fera plaisir. Et pis, je voudrais pas que vous veniez me voir pour le travail hein... Vous pourriez être accusé de fautes professionnelles ou un machin du genre. Je me sentirais mal que vous ayez perdu votre travail juste pour mes beaux yeux.

Elle rougit et voulu partir en courant pour ne plus qu’il la regarde. Yaël maintenant savait pertinemment qu’il était sarcastique. Par contre quand, il lui tendit un bout de papier sur lequel il venait d’écrire son numéro de téléphone cela la déboussola. Pourquoi avait t’il fait cela? Il ne voulait pas d’elle et encore moins chez lui. Une bière pourrais peut- être lui faire du bien un jour en bonne compagnie. Elle prit le morceau de papier plié et le mit dans sa poche sans le regarder.

-Merci. Je vais vous rappelez quand je vais avoir un peu de temps libre.

Elle lui sourit avant de le reconduire. Ils sortirent de la petite sale d’Examen et se digèrent vers la porte de sortit de l’hôpital. Yaël tenu la porte pour que l’homme-renard ne soit pas à trop obliger forcer de façon inutile. Elle le regarda partir un moment avant de se détourné et d’aller dans la salle au mur blanc qu’elle avait utilisé avec le zoomophorme. Yaël regarda la salle dans son entier. Elle allait faire du ménage avant de lire le papier dans sa poche. La zoomophorme commença a ramassé. Elle jeta le file et mit l’aiguille qu’elle avait utilisée dans un plat pour les objets qui allait se faire désinfecter. Yaël alla porter son plateau dans à l’ endroit indiquer. Puis elle s’isola dans la sale de bain dans dame pour lire le papier donné par le zoomophorme qu’elle venait de soigné. Elle le sortit avec précaution de sa poche avec sa main humaine et le déplia lentement pour ne pas le déchiré. Elle le lu une première fois et ne comprit pas du premier coup ce qui y était inscrit. Yaël le relu une deuxième fois plus lentement. Elle senti une colère sourde commencé a émané d’elle. La zoomophorme devin rouge.

*Je n'ai pas de téléphone, mais un jour hein, on n’arrête pas le progrès*

-Le tarbarnak....AAAAAAAAAHHHHH

Son bras de mante religieuse se dépila rapidement comme une queue de scorpion et alla frapper la porte dans la cabine ou elle était caché. Les piques qui son a l’extrémité de son bras firent deux troue parallèle dans la porte. Elle sortit de la salle de bain et jeta le papier dans la poubelle la plus proche. Yaël se rendit directement voir son chef de quart de travail pour le demandé si elle pouvait retourner chez elle, car elle ne se sentait pas très bien. En la regardant rapidement le docteur en poste remarqua rapidement que la zoomophorme n’était pas au meilleur de sa forme.

Elle sortit de l’hôpital d’un pas rageur et commença à marcher dans le district pour se changé les idées, Elle se trouvait vraiment mais vraiment naïve d’avoir cru qu’un homme pourrait peut-être vouloir allé prendre une bière avec elle. Elle marcha plusieurs avant de se calmer et de se décidé a allé voir Érika pour lui parlé.

Yaël espérait revoir un jours ce renard…

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