Le passé nous rattrape toujours. (nuit)(libre)

«Tout est noire autours de moi, seul une petit lumière semble briller au loin. Je marche inlassablement vers cette seul source de vie et plus j'avance plus j'ai l'imprévision que la noirceur me dévore lentement. J'avance de plus en plus vite, je sens qu'on m'épie et la peurs commence à me tenailler. Enfin la lumière est à porter, je la franchit à la cours et mon sentiment de sécurité fut anéantie. Non, non, je ne pouvait pas me retrouver ici. Le bureau du maitre semble vide, le feu crépite encore dans le foyer et le bureau est encore remplit de paperasse. Soudain une vive douleur apparus au niveau de mon épaule et avant que je comprenne se qui viens de se passer, le décor changeas. Je suis maintenant devant le grand escalier, j'ai une atroce douleur à l'œil gauche. Une marre de sang sécher est à mes pied mais je ne la voie pas, car là devant moi, Mark se tenait debout, il avait le visage déformer et en sang. Il s'approche lentement de moi, je n'arrive pas à détourner le regard. Je ne peu plus supporter cette vision, mais la peur m'empêche de bouger. La cadavre s'immobilise devant moi, il leve une main pour la déposer sur ma joue. Je ferme les yeux incapable de le regard plus longtemps.

- Qu'a tu fait?

Je rouvre les yeux, mon père est devant moi sa main sur ma joue. La déception et la peine se lit parfaitement sur son vissage, il retire lentement sa main. Je veux lui dire que je suis désoler, mais aucun mots ne sort de ma bouche. La culpabilité me ronge et le regard de déception de mon père me transperce telle une lance en plain cœur.

- Part en reviens plus jamais.

Tout redeviens noir, le maitre se tien devant moi une dague à la main. Il me regard avec une regard noir et remplit de haine. Un sourire démoniaque est accrocher à ses lèvres et son visage est déformer par sa haine.

- Tu vas payer pour se que tu a fait!

Il s'élance vers moi, la dague bien en main.........»



Maeve se réveilla en criant, la féline était toute en sueur et sa respiration était saccader. Elle venait de refaire le cauchemar qui la hantait depuis qu'elle était partit de son district et à chaque fois qu'elle le fessait sa culpabilité augmentait. La jeune mercenaire passa une main sur son visage avant de se lever, elle replaça sa camisole blanche ainsi que ses pantalon en coton. Puis Maeve se dirigea lentement vers la salle de bain, elle espérait ne pas avoir réveiller Sébastian. La zoomorphe fit couler de l'eau dans levier, elle s'aspergea le visage d'eau avant de refermer le robinet. La féline déposa ses main sur le bord de levier puis releva la tête pour observer son reflet dans le miroirs. Son passé ne la laissera donc jamais vivre en paix. Soudainement, la jeune mercenaire donna un coup de poing dans le miroirs, elle ne pouvait plus de voire cette cicatrice qui a tous déclencher. Maeve resta immobile quelque seconde, son poing commençait à saigner et le sang coulait lentement le long de se qui restait du miroirs. La zoomorphe se sentait étouffer, elle avait besoins de sortir, surtout pour aller se changer les idées. La jeune mercenaire sortit de la salle de bain, elle ne prit pas le temps de nettoyer et de panser sa plaie. Elle ne fit que se diriger vers la porte de l'appartement, attrapent au passage son manteau. Rendu à l'extérieur du batiment, Maeve partit à la course, elle ne savait pas trop ou aller. Alors elle laissa tous simplement ses pieds la guider.



Après plusieurs minute de course effrénée, la zoomorphe arriva au Souk. Elle s'immobilisa tout près d'un arbre et après s'être lourdement assis en dessous de celui ci, la féline sortit une flasque d'alcool en métal polie. Maeve prit une longue gorger du liquide, avant de ranger la flasque dans son manteau. Elle ferma les yeux, l'alcool lui permettait de momentanément oublier son passé tout comme l'exécution d'un contra ou même la douleur. La jeune mercenaire savait que sa main saignait quant même beaucoup, mais elle sens foutait, cette petit douleur était comme une libération pour son esprit torturer.

Zaranarch titubait dans la rue...

Ealing veillait sur lui, embêté de devoir garder son maître ivrogne dans les rue peu sûre du Souk.

Z: - Tu sais Ealing, tu es mon seul vrai copain....

Ealing: ...Miaw....(T chaud dude)

L'anarchiste croisa Maeve qui était dans une déprime du soir. Le genre de déprime qui accompagnait le cirquien dans sa nuit sans étoile.

Z: - Tiens! Salut Maeve!

Est-ce qu'elle allait le croquer? Le cirquien ce posa la question. Autant il vivait pour les bêtes, autant les zoomorphes étaient le mystère de sa vie. Il les traitait toujours avec un respect mythologique et ceux-ci se flattaient d'un tel respect. Il se demandait toute fois si un jour il aurait une relation sans frasques et artifices avec eux. Il avait l'impression que le racisme était une réciprocité inévitable.

Le cirquien s'approcha et s'accota à proximité.

Z: - Dit moi,...qu'est-ce que tu fais ici? Seule les âme damnées perdent leur temps à déambuler dans les rues vides sous le regard moqueur des nuages de mort. Tu devrais plutôt être heureuse au sein de ta guilde, non?

- Tiens! Salut Maeve!

La féline rouvrit le yeux puis elle posa un regard éteint sur Zed. Maeve ne bougeas pas lorsque le cirquien approcha, elle ne fit que l'observer.

- Dit moi,...qu'est-ce que tu fais ici? Seule les âme damnées perdent leur temps à déambuler dans les rues vides sous le regard moqueur des nuages de mort. Tu devrais plutôt être heureuse au sein de ta guilde, non?

La jeune mercenaire eut un petit sourire qui s'effaça aussitôt, elle dit lentement en posent son regard dans celui de Zaranarch:

- Je suis heureuse dans ma guilde, mais aussitôt que je ne suis plus occuper par une mission ou que mon esprit n'est plus embrouiller par l'alcool ou même la douleur, elle déposa un doigt sur sa tempe gauche, il me rappelle inlassablement se que j'ai fait.

La zoomorphe enfonça légèrement sa griffe dans sa chair, un peu de sang se mit aussitôt à couler, elle ajouta en fessant glisser lentement sa griffe le long de sa joue.

- J'ai l'impression de devenir folle.

Maeve eut un petit rire, elle détourna le regard pour le poser sur sa main. La féline commença à retirer les éclats de verre, après plusieurs seconde de silence elle ajouta:

- Pour se qui est de ma présence ici et bien javait besoins de sortir, de tenter de fuir mes pensées et ce même si c'est impossible.

La mercenaire bougeas ses doigts, de sa main blesser, pour s'assurer que tout était correcte. Elle ressorti sa flasque d'alcool puis elle dit après avoir prit une gorger:

- Toi que fait tu ici?

La zoomorphe félin attendit en silence la réponse du cirquien, le regard perdu dans le vide.

Sébastian se réveilla belle et bien lors du cri de Maeve et il ne put s'empecher de tomber du lit. Il remonter sur son ''lit'' et fit comme s'il s'etait rendormis. Lorsqu'il entendit le mirroir se briser, Sébastian soupira et ferma les yeux. Il entendit Maeve s'avancer ver s la porte d'entrer et elle la referma. Sébastian se r'habilla et descendit quelques minutes plus tard. Il la suivit comme son ombre. Lorsqu'elle s'arrêta près de l'arbre, il se souvint de leur première ''rencontre''. Elle sorti une falsque et en but une gorgée et pas longtemps après Zaranach apparut en état d'ébriété avec Ealing. Il discuta un moment et Sébastian decida de se montrer. Il se dirigea d'un pas nonchalant vers les deux individus. Il dit :

- Tu sais très chère, si tu souffres il faut en parler. De ce fait tu as également brisé mon mirroir si cher a mes yeux. * Un sourire étira ses lèvres* Je plaisantes, mais laisse moi te définfecter cela.

Il sorti une bouteille d'alcool pour désinfecter de son sac ainsi que des pinces.

- Allez donne moi ta main qu'on n'en retir les plus petits morceaux.

Il lui prit la main délicatement mais avec fermeté. Il commenca a retirer les petit qui était innacessible.

Zaranarch s'assis sur des marches à proximité de Maeve.

Maeve: -Toi que fait tu ici?

Z: - Je suis ici parce que je veux savourer ma dernière nuit d’insouciance. Lorsque la mission sera déclenchée, je serai avalé par mon passé et je devrai me battre chaque seconde pour ne pas être avalé par les ténèbres qui l'accompagne.

Z: - Quelles pensées peuvent te provoquer le même état d'âme que le mien? Surement quelque chose que tu aimerais parler. Puisqu'on a vécue quelques trucs morbides toi et moi ça fait qu'on est copain. Je ne suis pas l'ami le plus divertissant, mais je suis attentif et j'ai de sages conseils pour qui sait prêter l'oreille.

Sébatian: - Tu sais très chère, si tu souffres il faut en parler. De ce fait tu as également brisé mon mirroir si cher a mes yeux. * Un sourire étira ses lèvres* Je plaisantes, mais laisse moi te définfecter cela.

Z: - Tiens, salut Sébastian.

L'anarchiste prit une gorgé de rhum coupé et flatta son «chat».

Je suis ici parce que je veux savourer ma dernière nuit d’insouciance. Lorsque la mission sera déclenchée, je serai avalé par mon passé et je devrai me battre chaque seconde pour ne pas être avalé par les ténèbres qui l'accompagne.

La féline réprima un frisson lorsqu'elle entendit les mots «Avalé par les ténèbres qui l'accompagne» à chaque fois qu'elle se retrouvait seule avec ses penser, elle avait exactement cette impression, l'impression de se faire avaler sans rien pouvoirs faire.

- Quelles pensées peuvent te provoquer le même état d'âme que le mien? Surement quelque chose que tu aimerais parler. Puisqu'on a vécue quelques trucs morbides toi et moi ça fait qu'on est copain. Je ne suis pas l'ami le plus divertissant, mais je suis attentif et j'ai de sages conseils pour qui sait prêter l'oreille.

La zoomorphe eut un faible sourire, elle voulut répondre, mais l'arriver de Sébastian attiras son attention.

- Tu sais très chère, si tu souffres il faut en parler. De ce fait tu as également brisé mon miroir si cher a mes yeux. * Un sourire étira ses lèvres* Je plaisantes, mais laisse moi te désinfecter cela. Allez donne moi ta main qu'on n'en retir les plus petits morceaux.

Maeve donna sa main au félin, elle laissa le zoomorphe retirer les petit morceaux du miroirs. Le regard de la zoomorphe se déposa sut le sol, elle prit une autre gorger avant d'ajouter.

- Je ne suis plus capable de faire inlassablement le même cauchemar. Ça me détruit et je m'en veux de plus en plus d'avoir agis impulsivement.

Elle prit une autre gorger.

- J'ai peur que le maitre me retrouve et.... et qu'il me fasse payer mon acte.

La jeune mercenaire se tut, elle secoua légèrement la tête. Il ne pourrait jamais la retrouver. Maeve porta encore un fois la flasque à ses lèvre, elle semblait perdue dans ses penser.

L'anarchiste sourcilla.

Z: - Le maître? De quoi tu parles?

Z: - Tiens, salut Sébastian.

- Bonsoir Zaranach, tu te tiens toujours a la picole a ce que je vois. J'crois pas que ton foie aime sa. *Il lui adressa un clin d'oeil et un sourire*

Il continua son travail et lorsqu'il jugea qu'il n'y avait plus rien, il versa un peu d'alcool sur sa main ce qui provoqua le picottement singulier de l'objet a l'utilisation.

Maeve - Je ne suis plus capable de faire inlassablement le même cauchemar. Ça
me détruit et je m'en veux de plus en plus d'avoir agis impulsivement.

- Tu crois que si tu n'aurais pas agis ainsi tu auras dans une meilleur position ? Réfléchis un instant, si tu n'auras pas fait cela tu sauras probablement morte ou pire encore sous leur bottes a te faire ruer de coups. Je ne dis pas que tu as ait la meilleur action mais le passé reste ou il est, c'est bien d'en garder souvenir mais ils doivent rester ou ils sont et ce qu'ils sont. Des souvenirs rien de plus.

Maeve - J'ai peur que le maitre me retrouve et.... et qu'il me fasse payer mon acte.

- Je ne crois pas qu'il te retrouve, la logique veux qu'il croit que tu t'es enfuis chez les mercenaires et que tu y loges or tu loges chez moi et de ce que j'en penses, personnes chez les silvers scales ne sait que tu loges chez moi. S'il advenait qu'i lte retrouve, alors il devrait me passer sur le corps avant de te faire quoique soit.

Sébastian passa un léger bandage sur la main de Maeve en ensuite il déposa son sac sur le sol et grimpa dans l'arbre, sur la branche la plus basse il se laissa pendre la tête vers le bas.

L'anarchiste ricanna.

Z: - Alors tu crois vraiment que tu vas empêcher un «maître» de se venger s'il le désir? Elle est mieux de rester de l'ombre. J'espère qu'elle n'a pas fait grand chose parce que moi, les grands que je connais ne lâcheraient pas le morceau. Pas à notre époque. L'espace est trop étroit pour tolérer des affronts impunis.

Tu me demandes si je vais empêcher un maitre de se venger ? Tout simplement oui. Y'a rien d'autre a dire sur sa. Je n'ais peut-etre pas vécu l'histoire de l'Esclave et du Maitre mais je sais que pour une amie je suis prêt a faire ce qu'il faut, j'en ferais de même pour toi Zaranach.

Le félin croisa les bras et a la force de ses abdominaux se releva sur sa branche pour s'y accoter.

La féline avait écouté en silence, Sébastian avait raison le passer reste ou il est, mais la zoomorphe ne pouvait s'empêcher d'y penser et de culpabiliser encore plus.

- Alors tu crois vraiment que tu vas empêcher un «maître» de se venger s'il le désir? Elle est mieux de rester de l'ombre. J'espère qu'elle n'a pas fait grand chose parce que moi, les grands que je connais ne lâcheraient pas le morceau. Pas à notre époque. L'espace est trop étroit pour tolérer des affronts impunis.

- Tu me demandes si je vais empêcher un maitre de se venger ? Tout simplement oui. Y'a rien d'autre a dire sur sa. Je n'ais peut-etre pas vécu l'histoire de l'Esclave et du Maitre mais je sais que pour une amie je suis prêt a faire ce qu'il faut, j'en ferais de même pour toi Zaranach.

Maeve soupira légèrement, elle passa un main sur son visage puis elle ajouta lentement.

- Zed a raison, tu ne pourra pas empêcher le maitre de se venger, il à beaucoup trop de contacte. Si il veut vraiment me retrouver, il devra faire le trajet du District neuf jusqu'ici. Il en est capable et ses se qui me fait peur.

La féline se tut pour prendre une autre gorger, elle ajouta en posent son regard sur Zed.

- Pour répondre à la question que tu a poser plus tôt, le maitre est l'homme qui ma forcer à vivre avec Mark, son fils, pendant près de 12 ans. Cette période a été la plus difficile à vivre jusqu'à maintenant. Mon père ma finalement retirer des griffes de se petit monstre, à mes 12 ans, pour m'entrainer jusqu'à mes 18 ans.

La jeune mercenaire se tut, elle ramena ses jambe le long de sa poitrine avant de continuer,

- Au début je croyait ne plus avoir à endurer Mark, mais aussitôt que j'eus terminé ma ''formation'' mon père m'emmena dans le bureau du maitre. Celui si me marqua et avant même que je ne comprennent se qui venait de ce passer, je devait protéger son fils des le lendemain. Pendant près de deux ans j'ai endurer Mark exactement comme lorsque nous étions enfant. Un soire peu après mon vingtième anniversaire, je ne me suis pas laisser faire et j'ai explosée dans une rage meurtrière après avoir reçus un coup de couteau au niveau de l'œil.

Maeve se tut puis elle secoua légèrement la tête.

- Je dois vous ennuyer avec toute cette histoire, dit-elle avec un petit sourire.

La jeune mercenaire porta son regard vers le ciel. elle n'avait jamais parler de ses crainte avant se jours si et à vrais dire elle se sentait beaucoup mieux à présent. Maintenant qu'elle avait des amis sur qui compter, Maeve se sentait capable de passer au travers et d'enfin commencer sa nouvelle vie. La féline rangeas sa flasque dans la poche de son manteau, elle ne sentait plus le besoins de boire pour l'instant.

- Zed a raison, tu ne pourra pas empêcher le maitre de se venger, il à
beaucoup trop de contacte. Si il veut vraiment me retrouver, il devra
faire le trajet du District neuf jusqu'ici. Il en est capable et ses se
qui me fait peur.

Qu'est-ce que vous croyez ? Si ce mec voulais vraiment te retrouver, il l'aurait fait il y a longtemps non ?

Lorsqu'elle conta en détail ce qui s'était produit, Sébastian serra les machoires, elle en avait enduré beaucoup trop.

Zaranarch vint plus près des deux matous.

Z: - Vous savez,...(prend une gorgée), une idée me traverse l'esprit. Pourquoi on ne va pas déraciner la mauvaise herbe avant qu'elle n'envahisse notre jardin?

L'anarchiste avait un sourire carnassier.

Z: Tu connais tout de tes ennemis Maeve. Nous pourrions faire un raid rapide. Ton ex-maître doit posséder des ressources dont nous pourrions tirer profits?

Maeve posa son regard sur Sébastian, elle dit lentement:

- Je ne sais pas pourquoi il ne ma pas encore retrouver. Peut-être qu'il pense que je me cache encore dans les district neuf.

La jeune mercenaire haussa des épaules, elle ne s'.était jamais vraiment demander pourquoi le maitre ne l'avait pas retrouver.

- Vous savez,...(prend une gorgée), une idée me traverse l'esprit. Pourquoi on ne va pas déraciner la mauvaise herbe avant qu'elle n'envahisse notre jardin?

La zoomorphe regarda Zed, elle pencha la tête légèrement sur le coté.

- Tu connais tout de tes ennemis Maeve. Nous pourrions faire un raid rapide. Ton ex-maître doit posséder des ressources dont nous pourrions tirer profits?

Maeve eut un petit sourire, elle ajouta:

- Le maitre des ressource certes, mais je pense pas que nous serrions capable de faire le trajet jusqu'au district neuf sans y perdre la vie.

La féline se tut pendant quelque seconde, elle ajouta:

- J'ai eu de la chance, beaucoup de chance pour arriver jusqu'ici.

Sébastian qui s'était tenu silencieux pendant que Maeve parlait, Lorsqu'elle eut finit, Sébastian sourit au clair de Lune.

- Tu dis que c'est de la chance ? Ce que tu considères comme étant de la chance moi je vois sa comme étant le destin. Ton voyage jusqu'ici a du être difficile et j'ose croire que durant ton voyage tu as voulu tout recommencer, peut-être as-tu voulue ne jamais avoir éxisté. Le destin t'as amener ici et ce même destin te mets actuellement a l'épreuve quant a savoir si tu veux avancer ou si tu veux rester dans le passé. Certaines personnes plus...rationnelles trouveront mes propos totalement stupides mais le destin y est pour quelque chose, le choix te reviens, soit tu vis dans le passé ou tu passes a autre chose et tu batis ta propre vie. Le choix te reviens.

Il s'étira longuement en laissant échapper un cri de satisfaction et sauta en bas de sa branche. Une fois au sol il se tourna vers Maeve, lui prit sa bouteille et en prit une gorgée et dit :

- Allez tu devrais rentrer, il est assez tard. Toi aussi Zaranach tu devrais rentrer. Surtout dans ton état.

- Tu dis que c'est de la chance ? Ce que tu considères comme étant de la chance moi je vois sa comme étant le destin. Ton voyage jusqu'ici a du être difficile et j'ose croire que durant ton voyage tu as voulu tout recommencer, peut-être as-tu voulue ne jamais avoir éxisté. Le destin t'as amener ici et ce même destin te mets actuellement a l'épreuve quant a savoir si tu veux avancer ou si tu veux rester dans le passé. Certaines personnes plus...rationnelles trouveront mes propos totalement stupides mais le destin y est pour quelque chose, le choix te reviens, soit tu vis dans le passé ou tu passes a autre chose et tu batis ta propre vie. Le choix te reviens.

Maeve posa son regard sur le félin, elle haussa légèrement les épaules. Il est vrais que la Féline avait voulut tout recommencer, mais en même temps elle ne voulait pas retourner la bas et perdre sa nouvelle liberté. Pour se qui est du destin, Sébastian avait peut-être raison.

- Allez tu devrais rentrer, il est assez tard. Toi aussi Zaranach tu devrais rentrer. Surtout dans ton état.

La féline soupira légèrement, elle se leva lentement puis posa son regard vers le ciel. Elle espérait que le destin lui réserve des jours meilleur et qu'un jour elle puisse se pardonner. La jeune mercenaire secoua légèrement la tête avant de poser son regard sur les deux hommes.

- C'est vrais qu'il commence à se faire tard, nous devrions tous retourner, dit-elle lentement.

Maeve attendit une réaction du félin ou de Zed avant de partir vers l'appartement d'un pas lent.


(Hrp: Je pense que le RP est pas mal terminer, à moins que vous ne vouliez ajouter quelque chose?)

( Rien a ajouté, on peut le considéré comme finit je pense)