En quête du passé (Riki)

Une première semaine de service pour l'inquisition venait de passer pour Riki Bago. Par trois fois on avait demandé ses services de consductrice pour des opérations secrètes. Les deux premières fois, elle devait reconduire ,durant la nuit, une homme portant une combinaison noire, un masque à gaz et un très long fusil.



Il ne disait rien, ne faisait que regarder la fenêtre quise tenait devant lui. Une fois arrêté, il rentra machinalement dans un imeuble. Il revint 5 minutes plus tard avec une balle en moin à sa ceinture. Il déclara à travers son masque « mission accomplis» et retomba dans le silence. On pouvait facilement imaginer le pire dans cette maison.

Pour la troisière fois, ce fut une jeune femme un peu plus vieille que Rki. Elle avait les cheveux blond court et un aire assez rebel. Celle-ci était plus d'humeur à discuter, de n'importe quoi, en autant que cela ne consernait pas son emploie. Elle dû aller dans plusieurs coins de rue d'un cartier des plus sombre afin de faire sa collecte d'information. Une fois la pile de rapport assez épaisse, elle jugea qu'il était temps de revenir à la caserne.

Finalement, deux jours plus tard, l'inquisiteur Matiel la recontacta. Mais, cette fois-ci, ce fut lui qui fit cette demande personnellement. Il lui donna comme instruction de le retrouver dans le parking habituel de la caserne Sanctum.

Quand Riki se raprocha, elle pu voir l'inquisiteur parler avec vigueure au commissaire de police.

Il y a de ses journées qu'on serait rester couché. Eh bien s'en était une pour la gamine. D'abord elle était rentré aux petites heures du matin à l'académie et vraiment pas des plus ajeuns. Et c'est la qu'elle vue la note venant de l'inquisition. Sur sa porte de chambre. En étant dans un état second Riki avait arraché la feuille et lu très rapidement pour ensuite la chiffonné et la jeter dans un coin de sa chambre. C'était Matiel qui lui demandait de venir le rejoindre le lendemain. Elle sentait déjà le mal de bloc être de la partie. Non vraiment Matiel aurait pu choisir une autres journée. Elle ne voulait pas entendre parler de mutants ou de zoomorphe versus les humains. D'ailleurs elle espérait que ses incartades ne se retrouvent pas dans les oreilles de notre cher Inquisiteur. Elle avait été dans un bar avec son ami Andrej...et les choses ne s'étaient pas très bien dérouler. Une bagarre générale avait éclater entre les humains et des nons-humains. Riki avait réussi par s'en sortir avec Chernov en lançant des cocktails melotov et en coupant le courant.

Ces dans des ses souvenirs embrouillé que la gamine se réveilla. Elle avait l'impression encore que la planète tournait autour d'elle. C'était toute une cuite. Mais ce n'était pas sa première ni sa dernière. Aller hop deux tylenols et un grand verre d'eau. Après tout Riki était encore toute jeune. Pour se rendre à la place demandé par l'inquisiteur, la rouquine emprunta un moyen de transport de l'académie. Elle ne se souvenait plus si elle avait récupéré sa moto ou non. Cette partie était très flou dans sa tête. Elle se disait que par chance, qu'elle avait des goggle sur ses yeux. Ceux-ci était rouge de fatigue, due a l'alcool. Mais tout dans sa démarche trahissait son état. Peu importe elle allait tout de même se rendre au lieu du rendez-vous.

Sur place, l'inquisiteur était dans une discussion animé avec un comissaire. La gamine sortit donc de la voiture et s'approcha doucement, mais pas trop près. Juste assé pour entendre des bribes de conversation. Elle espérait que cela ne la concerne pas. Concernant la merde qu'elle avait fouttu au souk durant la nuit.

Les deux hommes n'avaient même pas prêté atention à la voiture qui venait de se stationner, ils étaient encore trop absorbé dans leur conversation enflammé. Matiel semblait garder son calme, mais le commissaire lui ne se retenait point.

- J'espère que c'est une plaisanterie inquisiteur!

- Rien de plus sérieux commissaire, c'est dans notre intéret à tous.

- Et vous voulez me faire croire qu'elle ne va pas vous trahir? Surtout après avoir optenue du top secret sous les mains?

- Si elle a vraiment du sang de son père, je n'ai aucune crainte.

C'est à ce moment que Riki fu assez proche pour ne plus passer inaperçue. Le commissare la fixa trois seconde, secoua la tête de désaprobation et retourna à son bureau. Il semblait plus désespéré de la situation que de la fille. L'inquisiteur lui reste ici et ouvra les bras.

- Ha, miss Bago, en forme j'espère.

Il n'y avait aucun sarcasme dans sa voie.

La conductrice écoutait attentivement la conversation. Elle pouvait mettre sa main au feu qu'il parlait d'elle. La jeune femme écouta la conversation attentivement. Ainsi le commissaire avait peur qu'elle trahisse l'inquisition. Et pour une raison obscur aux yeux de Riki, Matiel lui faisait une confiance aveugle. Surtout à propos de son père. En fait la gamine était surprise de voir que l'homme au long manteau lui faisait temps confiance. Mais qui était donc son père? Sa famille....

- Ha, miss Bago, en forme j'espère.

Cette phrase la sortie de sa pensée. Elle était entrain d'analysé 'l'incident' qui avait causé la mort de son grand-père. Tout devait avoir un lien. Son père avait du être adopté suite à sa mort...par qui? Elle ne le savait pas....

''Top shape...''

Même si elle ne voulait pas son ton était sarcastique. D'ailleurs Riki remarqua en ce moment que sa voix était légèrement enroué. Du à l'heureux mélange d'alcool et de cigarette la nuit dernière. Par chance il ne pouvait voir le visage de la jeune femme.

''Heum, c'est moi ou toi et le commissaire vous parliez de moi....et qu'il ne semble pas être d'accord ni me faire confiance, comparativement à toi qui me semble faire une confiance aveugle...."

Bon fallait dérouiller cette voix. Riki semblait amuser par la situation. Elle savait que son travail était sérieux, c'était plus le fait que le commissaire ne lui fasse pas confiance qui l'amusait.

- Aveugle, je n'irais pas jusque là, mon bureau vous gardes à l'oeuille constament. Mais il faut quand même que je vous paille.

L'inquisiteur n'en rajouta pas plus, il se revira brusquement et se dirigea vers la voiture noire et luisante.

- Nous avons une destination spécial, je vous donnerais la trajectoire une fois sur la route.

Sur ces mots, il ouvrit la porte et se mis sur le banc passagé.

Bon les gens étaient à cran. Mais c'est vrai qu'avec la pagaille qu'il y avait eu au Souk à cause d'une bataille générale aillant pour motif pro-humain-vs -prononhumain. Elle ne devait pas être la seule dont la nuit avait été courte. Sans dire mot, la jeune femme rousse alla se glisser derrière le volant de la magnifique voiture de luxe de l'inquisiteur. La gamine démarra la voiture doucement. Elle n'était pas encore assé réveillé pour chauffer vite et dangereusement. Être seul, elle l'aurait probablement fait. Mais elle ne voulait pas être accusé du meurtre de Matiel non plus.

''Alors cette destination?''

Riki essayait d'avoir l'air le plus jovial possible malgré les coups de marteaux qui cognaient dans sa tête.

- Commencé par allez tout droit, ensuite, tourné à droite à la deuxième intersection de rue.

Matiel la laissa allez avec ça, une minute plus tard, il donna une autre indication, suivit d'une autre et ainsi de suite. C'était un trajet généralement très peu populaire, mais il semblait mener au centre de commandement, ou du moin dans le coin. On pouvait vite distinguer l'écart de richesse entre ces logements proche de l'ancien Time Square et ceux des autres cartiers. Riki finit par tomber sur une allée assez longue, l'inquisiteur décida donc de passer à une petite discution.

- Dites-moi, avez-vous repensé à l'information que je vous ai donné?

Riki suivait les indications à la lettre. Elle n'avait jamais mit les pieds dans ce quartier-ci. Elle se demandait bien qu'elle route l'inquisiteur lui faisait prendre mais ne posa pas de question. Ce matin cela n'allait pas être la gamine qui allait partir la discussion. L'inquisiteur de toute façon s'en chargea lui même en lui demandant si elle avait pensé à l'information qu'il lui avait donné. Évidemment qu'elle lui avait pensé. Mais chercher plus loin. Non. Son emploi du temps ne lui permettait pas.

''Repensé.Oui.Cherché.Non''

Elle était sur le mode automatique se matin on dirait.

''En fait quelques options et théorie m'ont traversé l'esprit. Commençons d'abord par l'incident qui a tué mon grand-père...Je ne crois pas en la théorie d'une explosion. Les Storm Riders ont parmis eu les meilleurs mécanos, les meilleurs conducteurs. Ils connaissent trop leur machine pour penser à un accident. Suicide collectif? Ah moins de raison religieuse et obscurs....des héros n'ont pas de raison de se suicider tous ensemble. La théorie d'un complot pour sauver des héros...pffff Pas assé honorable pour un soldat. Trop croche. Et de ce que je sais s'il fallait sauver des héros...ben mon grand-père est mort donc. Il reste la théorie du meurtre. Voici ce que je pense. Ils en savaient trop sur quelque chose. Maintenant quoi. Je le sais pas...''

La jeune fille avait dit le tout sur un ton presque neutre. Elle était fatigué de sa nuit d'hier. Malgré tous les efforts qu'elle faisait pour ne pas que sa paraisse, cela transparaissait. Elle l'a déja dit, elle mentir et cacher des choses. Pas capable.

''Pour mon père suite à ça eh bien, soit il a été envoyer a la crèche, soit il a été immédiatement adopter...Maintenant par qui ou comment...j'ai l'impression que notre présence dans se quartier n'y est pas pour rien...''



Effectivement, elle commençait à comprendre une chose avec les hommes comme Matiel rien était laissé au hasard...

L'inquisiteur pu entendre un sifflement de la gamine. Elle admirait le bâtiment, elle n,avait jamais vu quelque chose du genre malgré ses voyages. Elle avait vu plusieurs choses dans sa vie, mais généralement cela restait dans les quartiers pauvres. Telle que demandé Riki baissa la vitre et montra son badge au gardien. Elle entra doucement dans l'allé. Ce n'était pas une place pour faire la folle en voiture. Elle monta ses goggle dans ses cheveux. Vue qu'elle n'était pas à l'extérieur elle pouvait se le permettre. Elle voulait mieu voir ce qu'elle avait devant elle. Il était rare que ses yeux exprimaient de la fatigue. Mais aujourd'hui oui, Riki avait effectivement plus l'air fatigué

''C'est ici que mon père fut envoyé...''

La forge des loyaliste....Cela sonnait quand même extrémiste dans ses oreilles.

''Et qu'est-ce exactement les loyalistes?''

La gamine ne connaissait pas grand chose de l'histoire du district 6. Et cela l'intriguait beaucoup. La forge des loyalistes. Comme si c'était un camp de recrutement pour former des jeunes. Un peu comme Andrej lui avait déja raconté à propos de la deuxième guerre

Les grillages souvraient devant eux et leurs donnaient accès à la grande court, pas loin de l'entrée principale. Matiel lui montra l'endroit où se stationner tout en décrivant l'endroit.

- Cette orphelina est probablement la seule dans ce district. Elle appartient au gouvernement. On s'en serre pour acceuillir les jeunes enfants qui n'ont plus rien dans ce monde et on les formes afin qu'ils deviennent de parfaits loyaliste. Des hommes et femmes qui obéiront au doigt et à l'oeille au centre de comandement. Ils dédiront leurs vies pour le centre du district, car c'est leurs raisons d'être. On les envoie ensuite soit dans l'armée, la police ou l'inquistion. Ils deviennent des hauts gradés en un rien d'temps

L'inquisiteur ouvrit sa porte et détacha sa ceinture de sécurité. En se levant, il remarqua les deux adolescants qui montaient la garde en avant de la porte. Ils étaient encore très jeune et ne semblait pas dutout à l'aise à tenir une arme dans leurs mains. Matiel s'anvaça vers eux et fit signe à Riki de le suivre. À la vue les deyx représentant de l'inquisition, les deux jeunes hommes s'agenouillèrent comme on leur avait de faire. Matiel leur fit signe de se relever et d'allez chercher quelqu'un de l'administration. Puis les deux jeunes partir à courir. Ils revinrent une minute plus tard avec un homme en complet cravate, il semblait paniqué.

- Bonjour Inquisiteur... heum, y a t-il un problème?

- Non, ça va, mon agente aurrait une requête à vous faire.

Dit-il en désignant Riki

Ce n'était pas le moment de crier, mais elle en avait envie. Elle trouvait que c'était du n'importe quoi. Une vrai usine à lavage de cerveau. Mais son père en avait fait partie. Pourtant il avait fuit. Il y avait donc quelque chose qui clochait. Une idée lui passa par la tête. Et si le gouvernement lui-même montait 'ses accidents' afin de créer des orphelins pour en faire des zombies? La gamine chassa vite de son esprit l'idée. Sa rage allait commencer à paraitre. Peut-être que ses points serrés allaient la trahir.

Rendu devant la porte, elle fut surprise de voir deux adolescents qui s'agenouilla. Elle n'était pas plus vieille qu'eux de beaucoup. Deux ans gros maximum. Elle refusait qu'on agenouille devant elle. On pouvait lire sur ses yeux de l'Indignation. Elle devait ce contrôler si elle voulait découvrir la vérité.

'Heum, oui j'ai une requête. Je crois que mon père est un de vos anciens pensionnaires. Eric Bago?''

Demanda t'elle d'une voix ferme.

L'homme devant l'entrée semblait soudainement soulagé, bien qui ne semblait pas comprendre quel genre d'enquête l'inquisiton pouvait bien mener.

- Ho, bien sure! Quel honneur d'avoir dans cet établissement la fille du célèbre Major. Les archives de monsieur Bago ont été gardé dans la rangé d'honneur, vous pouvez la trouver dans le pavion éclésiarchique à votre droite.

- Parfait.

Lui répondit simplement Matiel avant de rentrer sans hésitation à l'intérieur. Il invita Riki à le suivre.

L'intérieur était un mélange de vieux et de nouveau. On pouvait remarqué certains pilliers qui avait miraculeusement survécu à l'attaque atomique, on avait remplacé ceux qui était détruit par une bare de fer envellopé dans du ciment. L'imeuble était composé de trois étages à plafond ouvert, grimpable par les excaliers uniquements. On y voyait des écritaux acroché sur les rampes où y était écrit: « le devoir se termine seulement dans la mort.», « la gloire se calcule par le sang que vous avez versé pour la cause.» et bien d'autre ainsi. Les étudiants en uniforme marchaient d'un pas cadencé sur le planché de tuiles blanches pour allez à leurs prochains cours.

Matiel retira son masque à masque et tourna vers la droite. Tout en marchant, il regardait de temps en temps à gauche et à droite l'architecture unique de cet Orphelina.

- Comment trouvez-vous l'endroit miss Bago?

Éclé? Religion...Riki voulait fuir cet endroit. Cet idée d'endoctrinement aussi jeune lui donnait le tournis. Elle enviait son enfance. Certe elle était fille de militaire. Son père était stricte et protecteur. Mais il lui parlait souvent de liberté. Et il lui rappelait combien eux ils étaient libre. Son père c'était-il rebellé contre-eux? Elle avait juste envie d'arracher les posters. Mais elle se contenta de garder son masque à gaz. Mélange d'attitude et de cacher son inconfort. Oui elle était dans l'armée. Mais pas pour son pays. Pour l'honneur. Pour faire comme sa famille. Elle savait qu'elle était du genre indiscipliné...

Elle remarqua aussi l'architecture particulière. Ça avait son chic. Cela allait probablement avec l'honneur et le sentiment d'appartenance et le sentiment de supériorité. La voix de Matiel sortie Riki de ses pensés.

''Crois-moi...tu veux pas mon opinion en ce moment. Mais l'architecture est charmante....''

Cela paraissait qu'elle tentait de se maintenir.

''Bon allons aux archives...''

Elle regarda rapidement pour voir par ou fallait qu'elle se dirige, mais elle ne connaissait pas l'endroit. C'était immense.

Matiel resta tout simplement indifférent à la réponse de Riki et continua leurs progression. Après 7 minutes de marches, il finir par arrivé à une chapelle où un prêtre était en train de faire le cermon aux enfants qui restaient au garde à vous.

Ils étaient au bon endroit. Félias cogna trois fois à une porte situé dans le département où y était inscrit un nom assez dure à prononcer. Un vieillard en robe blanche ouvrit la porte et leur répondit.


- Qui est-ce? Ho... Inquisiteur Matiel! Quel honneur de vous voir, est-ce que vous êtes venu pour recruter de nouveaux disciples?

- Pas cette fois mon père, je suis venue avec une de mes nouvelles agentes.

Le vieillard essaya de l'examiné, mais il fut visiblement destabilisé par le masque à gaz.

- Miss Bago, enlevez ce masque!

Lui ordonna Matiel. Le prêtre sursota alors.

- Bago? Vous avez la fille du réputé Major, quelle chance vous avez inquisiteur!

- Elle souhaiterait voir les archives de son père justement.

- Mais bien sure!

S'exclama le vieu, il les invita dans son bureau et montra à la jeune fille quel classeur fouiller.

elle souhaiterait regarder les archives

Oh non...un prêtre. Riki voulait fuir à toute jambe. Mais elle ne pouvait pas. Elle sentait ses jambes plus lourde qu'à l'habitude. Comme si celle-ci serait implanté dans le sol. Lorsque l'inquisiteur lui ordonna d'enlever le masque, c'était contre-coeur qu'elle l'enleva. Elle démontra alors son visage juvénile. Avec les cheveux cours elle seraient le portrait de son père au même âge.

La gamine suivait les deux hommes sans rien dire. Il valait mieu ainsi. Elle ne se sentait pas à sa place. Elle était scientifique. Elle n'y croyait pas à la religion.

Lorsque le prêtre lui démontra le classeur, la jolie rouquine s'y rendit, elle fit un signe de tête en guise de remerciement.

''Merci mon père....''

Et elle se mit à fouiller dans le classeur. Tout était placer en ordre alphabétique. Elle n'avait pas à fouiller longtemps....

Pendant qu'elle fouillait dans le classeur, l'inquisiteur et le prêtre tomba dans une discution, utilisant une langue hors du commun.

Elle tomba dans la rangé «B», le «A» suivit ensuite et le tour était joué. Elle tomba alors sur un album photo. Une photo de classe en noire et blanc d'une qualité moyenne. Une trentaine de jeunes enfants d'à peine 6 ans, en uniforme qui se tenait droit avec un visage neutre. On avait entouré Un jeune homme en particulier au marqueur, il avait certains traits allant avec son père. Une autre de l'année suivante suivit, puis une autre. Rendu à 4 ans plus tard, tous tenaient déjà leurs armes en main.

Riki trouva ensuite un dossier où son nom était marqué, il sagissait de son relevé de notes, que des notes remarcables, un vrai génie à première vue. Vint ensuite son dossier disciplinaire. Celui aussi était bien garnie. Il semblait qu'il ne ratait jamais une occasion de faire un mauvais coup. À plusieur fois il fut mis en correction pour indicipline, bris matériel et bien d'autre.

Finalement, elle trouva ses photos personnelles. Le moment où il ressu son méritas d'exelence, il se trouvait en compagnie d'un jeune homme de son age aux cheveux longs. Les deux semblaits contants. Puis une photo où il était dans la corale. Il se trouvait avec le même jeune homme. Le club de course, le journal étudiant, ces deux semblaits avoir passé beaucoup de temps ensemble.

À ce moment, Matiel remercia le père et se retourna vers Riki.

Riki dévorait des yeux le dossier. Elle était curieuse de voir ce qu'elle allait y trouver. Voir des photos de son père ainsi la rendait vulnérable. Elle sentait ce sentiment de pression sur son cœur. La gamine n'avait pas l'habitude d'extérioriser sa peine. Elle refoulait le tout. C'était évident. Pendant que les deux homme parlaient, elle prit une photo de son père et la mit dans la poche intérieur de son manteau. Les larmes aux yeux. Des larmes qui se mélangèrent au rire lorsqu'elle vue le dossier disciplinaire. Être rebelle faisait finalement partie de son sang. Cela la rassura un peu.

Ensuite vint les photos personnelles. Toujours le même adolescent avec lui. Cela piqua la curiosité de la gamine. Elle attendit que Matiel se retourne vers elle.


''Qui est-ce?"

Elle montra la photo à Matiel.

''Il revient sur plusieurs photo, mon père et lui semblait proche. ''

Matiel pouvait sentir Riki plus vulnérable que jamais.

Matiel fouilla dans sa poche pour en ressortir un mouchoir et lui tendit. Il n'ausa pas parler de la larme qui était sur le bords de son oeuil, cela affecterait probablement le gros orgeuil de la gamine. Ensuite, il se pencha sur la photo.

- Proche en effet. Il sagissait du meilleur ami de votre père. Les deux sont arrivés relativement en même temps à cet Orphelina. Une grande amitié c'est dévellopé entre eux, suivit d'une grande influence de l'un pour l'autre. Ensemble, ils ont fait tous les coups inimaginables à ce collège.

La gamine refusa d'un geste de la main le mouchoir. Et écouta attentivement l'inquisiteur. C'était évident que c'était son meilleur ami. Ce qu'elle voulait savoir, c'était son nom, son poste et s'il était encore en vie. Si elle pouvait parler à cet homme. Une idée saugrenue lui passa par la tête que le garçon sur les photos étaient peut-être Matiel. Mais elle l'aurait probablement reconnue. Mais cela pouvait rester une option. Et toute les options dans ce cas-ci pouvait être envisageable. Rien ne pouvait vraiment être mit de côté à moins d'une évidence.

''Je veux dire, son nom.. Il est encore vivant? Il est devenue quoi après l’orphelinat?"

Riki avait toujours été une enfant très curieuse. Très intelligente, elle avait l'habitude de faire des liens entre le choses et de poser des questions. C'était son esprit scientifique. Oh elle n,était pas une grande scientifique, mais probablement que si elle avait été à L'école, elle aurait pu devenir recherchiste médecin, scientifique à faire des robots. Mais la vie lui avait offert d'autre opportunité. Aurait elle était mieu dans cet orphelinat? L'idée lui passa par la tête. Car si son père avait fuit avec elle....Peut-être que c'était parce que le gouvernement la voulait. Cet histoire commençait à la rendre paranoïaque.

Matiel sentait qu'il ne devait plus tourner autour du pot, après tout, cet information faisait partit de son paiment. Il se contenta de répondre à sa dernière question.

- Il est devenue inquisiteur, dernièrement il a recruter sa fille comme chaufeur privé.

Matiel fit un demi-tour et se dirigea vers la porte de sorti, inutile de s'assuré que Riki avait compris, elle avait prouvé être assez brillante pour faire la déduction par elle même. L'inquisiteur ne pouvait juste plus regarder ces photos, tant de nostalgie lui revenait.

La gamine resta bouche bée les photos dans les mains. Elle avait envie de le battre....mais l'homme semblait fragile aussi a ses souvenirs.

''Ça vous aurait tué peut-être de me le dire avant? JE SUIS ORPHELINE MOI AUSSI!''

Elle réalisa ce qu'elle venait de dire. Elle était officiellement orpheline de père. Elle n'avait jamais connue sa mère. Elle prit le temps de réalisé le tout. Elle avait comme un feu qui la rongeait. Elle sentait son sang bouillir en elle. Elle courra pour le rejoindre et marcher à reculons devant lui. Elle ne voulait plus tourner autour du pot. Elle voulait des réponses clair maintenant.

''J'en ai assé. Je veux des réponses.! Que c'est-il passé après l'orphelinat? Je veux savoir! Pas demain ou dans une semaine. MAINTENANT!''

La gamine semblait déterminé. La gamine avait épuisé ses sources de patience. Le sang battait dans ses tempes. Elle avait mal à la tête et était fatigué de sa nuit. Patience? Zero. Tant pis si le monde dans l'orphelinat l'entendait crier. De ce qu'elle avait pu voir elle n'était pas la première Bago à faire du grabuge dans cet orphelinat.

En quitant le bureau, le prêtre le salua d'un ochement de tête avec un grand souri au lèvre.

- Que l'impératrice vous gardes inquisiteur.

- Vous de même mon père.

Lui répondit Matiel en commençant sa marche vers le retour à l'entrée principale. C'est à ce moment qu'il entandit les plaintes de Riki. L'inquisiteur considérait cela tout simplement comme une crise d'adolescante en colère et essaya de ne pas y prêter atention. Et même quand elle se mis devant lui, il garda la tête droite et continua son chemin dans la plus grande neutralité. Grâce à sa grandeur, il pouvait facilement regarder par dessus la gamine sans qu'elle ne le gêne.

- Je ne donne jamais de paiment en avance miss Bago, alors vous devriez vous calmer maintenant.

Lui répondit-il d'un ton autoritère.

Il lui donnait encore plus envie de crier. Elle était en colère et en deuil. Tant qu'elle ne savait pas toute l'histoire elle ne pourrait jamais vraiment faire son deuil comme il se doit. Mais elle savait qu'elle ne gagnerait pas contre Matiel. Elle se demandait comment les deux hommes avaient pu être amis. L'inquisiteur était tellement différent de son père. Malgré son sang qui bouillait dans ses veines la gamine prit sur elle et se plaça sur le côté pour laissé place à l'inquisiteur. Elle savait que si elle se fâchait elle n'aurait jamais droit à la vérité. Matiel tenait Riki comme on tient une lionne en cage. La rouquine avait la rage au cœur mais elle ne pouvait l'exposer. Elle devait tout garder pour elle. Elle trouvait ça dure. Elle ravala son orgueil, ses larmes et sa colère.


''Bien Inquisiteur....''

Une phrase si courte mais si pesante. Sans dire mot, en regardant droit devant elle, tentant de garder la tête haute elle suivit l'inquisiteur. Elle n'était pas calme. Seulement enfermer intérieurement. Comment son père avait il pu être lié avec un homme sans compassion. Il avait du se passer quelque chose.

L'inquisiteur limita et marcha en ligne droite vers sa destination. À sa vue, quelques élèves se mirent au garde à vous, il n'en prenta pas vraiment atention. Une minute passa, Matiel senti que l'ambiance s'était un peu calmé, enfin, c'est ce qu'il croyait, il se relensa.

- Vous avez la mêm force de carachtère que lui, sans compté cette grande dertermination. Cétaient des qualités qui lui furent présieuses, chérissez les.

Dans un certain sens, cela lui faisait ça de moin sur les épaules. Maintenant, il pouvait parler de son vieil ami avec quelqu'un.

- Maintenant vous savez pourquoi le commissaire n'est pas trop d'accord sur la situation.