Au resto Toubibe 3h30 ( Pv nicolas)

Bon sait-on jamais on peu espèrer c'est encore donner au gens normaux non? Phélia avait envoyer une lettre au milicien. Elle aurait bien aimer voir son petit chez lui, mais bon une revendeuse dans la caserne sanctum avec l'inquisition juste à côté sans façon déjà qu'elle allait attendre le vendredi de cette semaine pour aller se faire marquer. Se faire marquer... il faudrait qu'elle pense à prendre un truc pour couper cour à la douleur. Pour sur le week-end elle le passerait à se remettre du trauma. Pour l'heure elle attendait gentilment assise à une table comme tout le monde.

Elle avait donner un rendez-vous au milicien. La lettre avait été coordiale écrite et dénondait simplement l'envie d'ophéie de faire connaissance avec l'inconnue milicien.

L'après midi était bien entamé et le soleil s'abaissait doucement dans le ciel d'été. La chaleur était présente ,mais pas trop étouffante du moins pour un mutant qui n'avait pas a porter rien que des vêtements conventionnels. Remarque le souk était un des quartiers les plus ''cleané'' avec celui des résidances.

Ophélia portait un écouteur a l'oreille et laissait aller la musique de son discman. Elle avait revétit sa robe préfèrer sa belle robe brise foncé et bande rouge elle avait tendance a mettre en valeur ces forme féminine et sans être trop provocante invitait le regard. Ophélia ne se rait pas permit autre chose elle n'était pas du genre vulgaire. Elle avait placé sur ces cornes des rubans s'accordant avec sa robe soit gris foncé, noir et rouge et les bijoux qui pendait ou courait sur les petite corne chaotique était couleur argenté au pierrerie de verre blanche, onyx et rouge.C'est cheveux était bien peigné , mais restait lache dans son dos lui arrivant au mi-dos. Avec grand soin elle avait revétit ces longs gant de satin noir. En sommes elle s'était tout de même fait jolie pour être agréable au regard de tous.

Elle avait commander pour le moment un coke dans un verre et le sirotait. Une fois de plus elle était en avance et poirotait a présent. Travailler avec des junkie l'avait habitué à préfèrer arriver bien avant plutôt que trop tard et cette habitude ne la quittait plus même quand les rendez-vous étaient fixé avec des gens plus que normaux. Ophé voyait cela positivement elle était ponctuelle et c'était à son avantage.

C'était un de ces matins ou il aurait voulu que la Terre s'arrêta de tourner, question de pouvoir dormir sous la couette. La veille avait été singulièrement pénible, depuis qu'il avait abandonné Ophélia dans le quartier avec l'homme-serpent. Il n'arrêtait pas de se remémorer l'étrange sourire du zoomorphe, comme si il était heureux et malheureux à la fois ... Cruel et Joyeux. Nicolas se demandait pourquoi Valérien abordait cet air étrange en tout temps.

Le temps de travail n'avait pas été mieux : Il avait même retourné sur les lieux et la découverte du cadavre d'une civile visiblement torturée l'avait encore plus ébranlé. Il avait l'impression d'avoir la mort de la mutante sur la conscience. Il s'imaginait qu'elle n'était pas bien loin, peut-être derrière une poubelle ou bien quelques rues plus loin... Les hommes lui dirent de se calmer, mais il en fut incapable : Ce n'était pas dans sa nature de se foutre des autres.

Nicolas était du genre à vouloir le bien autour de lui. Ce n'était pas pour rien qu'il était resté dans l'armée. Inconsciemment, il mettait déjà de l'énergie pour le bien des autres ... Autant pour lui de le mettre à profit.

La seule exception à règle était les zoomorphes... Il n'aimait tout simplement pas être en contact avec eux, à cause de leur instincts animaliers.

Il avait posé son aile protecteur sur Ophélia et il eu craint d'avoir échoué. Il s'imaginait qu'elle était par terre, le sang coulant de ses longs cheveux argentés...

C'était pour cela que lorsqu'il arriva pour dormir, il en était incapable. Tous ces évènements tournaient en boucle dans sa tête, comme un affreux cauchemar. Il ne réussit à s'endormir que vers l'heure du souper. Car n'oublions pas que notre milicien fait les tours de garde durant les périodes nocturnes. Heureusement qu'il était en congé, ce soir là.

Il finit par se lever, nonchalant. Il regarda l'immondice qui se trouvait face à lui ; c'est-à-dire la vaisselle. Il décida qu'il allait fumer un cigarette avant de l'affronter. En voulant traverser le corridor, il trouva une lettre au chaussé de sa porte. Une toute belle enveloppe blanche. Curieux, il l'amena avec lui à l'extérieur, et commença à la lire tout en fumant sa cigarette.

Ça venait d'Ophélia.

Était-elle correcte? Il lui avait bien dit de le contacter si elle était en cas de problèmes. Rapidement, il continua sa lecture, constatant qu'elle voulait simplement le rencontrer pour faire connaissance. Ainsi donc, elle allait bien.

Il s'en voulait, de l'avoir abandonnée hier soir. Il était également curieux de savoir le dénouement de cette histoire. Il regarda quand est-ce qu'elle voulait le rencontrer... Mais ... Mais c'est pas mal maintenant !

Il retourna dans sa chambre, à la course, attrapa une paire de pantalons beige et tenta de trouver une chemise. Il relut l'adresse et envoya promener mentalement la chemise toute propre et mit un de ces chandails de travail. Puisqu’il allait au Souk, il s'en foutais puisqu'il devait mettre sa combinaison de toute façon. Notre garnement avait mal lue l'adresse, visiblement.

Vite comme l'éclair, il était parti... Abandonnant encore une fois sa vaisselle sale.

Arrivé à la destination, il reconnu très rapidement Ophélia dans le restaurant ; Pas difficile de la trouver, avec toute cette blancheur... Comme toutes les mutantes, celle-ci profitait avantageusement de la chance de pouvoir se promener à l'extérieur sans grosses combinaisons. Elle portait une jolie robe qui la rendait toutes petite .... C'était la première fois qu'il pouvait l'observer à la lumière du jour, et il fut étonné par la beauté lunaire de la mutante.

Il se dit que cela devait être tout d'un coup de chance de pouvoir ainsi garder des attributs très féminins... Il pensa à sa mère, qui avait eue pour sa part une étrange peau verdâtre et visqueuse comme mutation.

Avant de la rejoindre, le serveur lui proposa d'enlever sa combinaison. Le restaurant avait ainsi donc les moyens de se payer de l'air conditionné ...

Il arriva vers Ophélia, en lui disant un gentil '' bonsoir '' et se proposa pour lui faire la bise, comme dans les vieilles coutumes Québecoises que sa mère lui avait appris.

Il se rassit à sa place.

- Alors, tout vas pour le mieux ?

Dit-il avec un grand sourire. Il était content de voir qu'elle n'avait rien.

Elle eu un franc sourire au dent blanche et entretenue. Un fin gloss transparant était poser sur ces lèvres fines. Finalement il était venu bon, elle regarda sa montre à cette pensé, un peu en retard, mais était-ce si grave... Non pas du tout. Ophélia l'invita à s'assoir à la place libre devant elle.

-oui oui ne vous en faites pas hier au soir vous m'avez simplement laissé avec un collègue de travail. J'espère que vousn e vous en êtes pas trop voulu vous avez quitté avec un air troublé je trouve.

Son ton était franchement amical sans rancoeur visiblement elle ne lui en tenait pas rigueur pour hier. Elle dégageait une facilité toute naturelle à se trouver en société. Se qui changeait de la plus part des mutants qui avait nature à se replié sur eux-même une fois les première mutation apparue. Ophélia n'était pas une grande prêcheuse de cette attitude.

- Donc ainsi j'ai cru lire que vous vous nommiez Nicolas jolie prénom par contre votre nom ma laisser un peu perplexe Anderstone? N'est-ce pas supossé être Andersone?

Puis Ophélia le détailla un peu d'un yeux discrêt. Tenu décontracté bonne idée et le choix de noir et de beige donne une tenue plutôt neutre très militaire. La camisole laissait appercevoir sa musculature bien entretenue, cependant rien d'anormal s'il était milicien c'était un pré-requit. Continuont, bras méchanique...étrange j'en ai rarement vu...semble pas des génération les plus rescente je me demande d'ou ils viennent. Sa lui donne un charme mystérieux une fois qu'il commencera à parler on sera fixé.

Elle vient joindre ces doigt ensemble posant ces coude sur la table et son menton sur l'entrelassage. Cette soiré allait être intéressante et la sortirait de sa routine qu parfois lui pesait un peu sur les nerfs.

Une petite araignée fit son apparition entre les rubans sur c'est corne. Elle était toute gracieuse avec de fine patte et de couleur noir ce n'était pa sune veuve noir ,mais certain aurait pu s'y méprendre. Ophélia ne l'avait pas remarquer et l'arachnide se faisait un plaisir d'aller doucement sur les corne sans que la femem ne s'en soit rendu compte pour l'heure.

- Je suis plutôt heureuse que vous soyez venu, j'avais quelque appréhension.

Comme elle était belle! C'était étrange de voir une mutante aborder une telle sensualité... Malgré sa différence, qu'elle profitait, même, qu'elle décortiquait pour la mettre à son avantage... C'était un peu troublant. Nicolas était curieux d'en connaître un peu plus sur cette belle aux cheveux de soie.

-oui oui ne vous en faites pas hier au soir vous m'avez simplement laissé avec un collègue de travail. J'espère que vous ne vous en êtes pas trop voulu vous avez quitté avec un air troublé je trouve.

Un collègue de travail hein? Elle était donc une mercenaire. Ah, ça commençait déjà à sentir un peu le bizarre. Un milicien dînant avec une paria? Et puis bon, ce dit-il, ce n'était pas la première fois qu'il se retrouvait dans ce genre de situations... Lui qui était reconnu pour être un peu laxatif sur ses actions... Ces nombreuses brosseries entre copains... Que souvenirs.

- Non, ça va … Tout se qui comptais c'est que tout le monde soit sain et sauf …

Il lui adressa un grand sourire. C'était pas le moment de lui lancer un monologue sur sa vision zoomorphes carnivores.

- Mouais...

Il se frotta le derrière la tête lorsqu'elle fit allusion à son nom de famille. Ce n'était pas nécessairement une fierté... Comment allait-il aborder cela? Que son père était un drogué... Hmm. Néanmoins, il parlait à une fille qui consommait. Sa réaction risque d'être minime.

- Disons que c'est en quelque sorte un héritage familial... M'enfin, vois-tu, moi père était un soldat qui affrontait les dangers en évitant de souffrir... Sa fait des gags parmi les rangs et ça resté... Eh Oui, le Fils d'Anderson le '' Stone '', c'est moi …

Il fit un sourire discret.... Et puis il la vit. La velue. C'était quoi, depuis quand les araignées se promenaient dans les restaurant? Il fit de grands yeux, semi-horrifié et alerte.

- Je... je ne veux pas vous ennuyer mais … Vous avez une araignée sur votre corne...

hum intéressant j'imagine qu'il prenait surtout de la mari, sinon il devait tomber dans les drogues un peu plus dur...mais il n'aurait pas été apte au combat.

Elle eut un petit moment de silence pensive. Peut-être que de détaillé ces connaissances sur le drogue n'était pas la meilleur des idées. Au final boulette pensa t'elle avec une petite apréhension.

C'est un jolie nom tout de même.

Elle le pensait vraiment au moins se nom de famille faisait différent de se qu'elle attendait habituellement et il faisait un peu plus rafraichisant. Il semblait ouvert d'esprit. Puis elle vit son regard changé et fut étonner voir décontenancé. Il avait peur... elle lui faisait peur ou quoi... Puis vient l'explication.

oh...

ELle fut légèrement gèner elle aimait bien ces protèger , mais savait a quel point les gens avait tendance à les prendre en horreur. Doucement elle tendit un doigt avec les indications de Nicolas pour la prendre.

pardonner la... et pardonner moi je ne croyait pas qu'elle était dans mes...cheveux...

la gène était palpable que dire, quoi faire elle ne pourrait pas se résoudre a l'écraser elle ne s'en remettrais jamais. par contre elle trainait toujours 2-3 fiole au cas. C'est ainsi qu'en peu de temps la petite arachnide se retrouvais dans la petite cage de verre. Voilà le bordel bien sur elle faisait maintenant surement parti de la classe marginal. Elle soupira a son tour grattant sa nuque.

désoler bref... elle ne nous dérangera plus...innofensive dans sa petite fiole...J'aime bien ces petites créature vous en offusquez pas s'il vous plaît...on déteste trop rapidement c'est créature... Je dois paraître pour la pire des fèler à présent...

- hum intéressant j'imagine qu'il prenait surtout de la mari, sinon il devait tomber dans les drogues un peu plus dur...mais il n'aurait pas été apte au combat.

Il eut un rire gêné.

- En fait j'en ai aucune idée pour être franc …

Elle prit l'araignée pour la glisser dans un bocal. Pendant un instant, pendant qu'elle était en train de ranger la créature, ça l'avait frappé. Qu'est-ce qu'il faisait ici déjà? Ce n'était pas pour voir si elle était toujours en parfaite état? Il était là, dans un restaurant avec une fille... Attendez un instant... Est-ce que c'était une date? Tout d'un coup, il s'en foutait un peu de l’araignée. Une freak, peut-être bien. Il se demandait maintenant pourquoi elle venait de l'inviter comme ça, pour souper. Nicolas commençait à être inquiet. Ça faisait vachement longtemps qu'il n'avait eu de fréquentations qu'il ne savait même plus en reconnaître une quand il y avait des invitations comme celle-ci qui se pointait.

Pas qu'il ne l'aimait pas, mais... Plutôt qu'il fut surpris. Ça venait de lui péter dans la face, comme on dit. Mais bon, en même tant, qu'avait-il à perdre? Une discutions gentille, gentille, comme ça, avec un souper... Il y avait rien de mal là dedans, non? Peut-être bien qu'elle était intéressante...

Il prit une gorgée dans le verre d'eau qui était devant lui. Il eu soudainement la vision d'Ophélia nue dans son lit... Il manqua près de s'étouffer. Il remit le verre à sa place et prit une serviette en prenant bien soin d'essuyer son chandail.

- Eum... Non, c'est super les araignées, quand sa reste dans une cage …

Le serviteur arrivait avec les menus. Enfin, un sortie fiable d'un moment de malaise! Par contre, il sentait qu'il y avait quelque chose de bizarre qui se tramait... C'est vrai quoi, un restaurant avec serviteurs et menu dans le District... C'était pas gratoss tout sa. Il ouvrit le menu, par peur. Il grimaça des dents : Il n'y avait pas grand chose qui était dans ses prix. Il ne fallait pas sur-estimer le salaire d'un milicien! Il regarda Ophélia … Il se demandait si il allait devoir payer sa part également … La galanterie chez les femmes dans le District, est-ce que sa existe toujours?

Vite comme ça... Il allait prendre une soupe comme entrée, tien.

bon ne l'inviton jamais a la maison... Il mourrait sur place le pauvre avec Any, Maty, Sornak, Mary...Elle arrêta l'énumération des nom des araignées laisser en liberté chez elle, car autrement demain elle serait encore la. Autrement Bravo Ophé a parler de son père tu la encore plus gèner...T'es vraiment gourde quand c'est de socialiser avec autre chose que des mercenaires.

La mutante eu un nouveau soupire puis Nicolas s'étouffa et elle eut un petit sourire. Sans savoir à quoi il avait penser cette réaction l'amusa grandement aller savoir pourquoi. Finalement elle devait être aussi peu à l'aise que son comparse.

Le serveur arriva et Ophé pris son menu. Elle avait choisie le resto pour le chef. C'étais une habitué de son commerce et elle avait échanger un service contre un autre. Il n'était pas une grand consommateur il ne prennait que du pot et elle avait pris habitude de fumé un joint de temps à autre avec. Quand elle avait vu l'opportunitée elle avait échanger quelque mois de joint contre un bon petit souper sur le bras du chef. Une bonne balance qui profitait plus au chef qu'a elle. Est-ce que cela la dérangeait? non du tout l'argent n'étais pas tout.

N'étant pas uen grande mangeuse outre les joints et les rages qui s'en suivait elle ne commenda pas d'entré et demanda simplement un refile à son coke. Voyant un certain nouveau malaise au vu du manu par son interlocuteur. Ophélia lui sourit doucement pour le rassurer.

Ne vous en faites pas, j'ai un arrangement avec le chef cela ne vous coutera rien...du moins rien de monnétaire, juste un peu de votre temps et de voter patience.

Se rendant compte que son discman était toujours sur la table elle le rangea rapidement dans son sac bandoullière passer sur le dossier de sa chaise.

Il ne voulait pas profiter de la situation. Déjà de voir qu’elle s’était payé qu’un simple refile de coca, ça le rendait un peu malaise de commander quelque chose de plus gros. Il se demandait pendant un instant comment elle pouvait se permettre un repas comme ça, gratuitement. Il n’osait pas lui aborder la question. Selon lui, cela manquerait beaucoup de savoir-vivre de sa part. Il s’imagina donc pendant un instant qu’elle devait avoir un emploi très flatteur, du genre mannequinat chez les mutants… C’est vrai qu’elle représentait une certaine perfection avec toute cette blancheur… On aurait pu dire un ange … Il se rappelait du coup que cela faisait des années que ce type d’emploi n’existait plus dans le district. Puis, il fabulait sur l’idée qu’elle était peut-être une danseuse. Oh sa, il y en avait encore beaucoup dans le coin. L’idée n’était pas tant propre, mais selon Nico, la vie avait déjà son lot de difficultés et il pouvait comprendre, voir respecter les femmes qui faisait ce type de métier. Très payant, d’ailleurs. Ou peut-être une prostituée … Non, ça il refusait de supposer que la femme devant elle se rabaissait à ce niveau.

Il regarda son Disc-Man.

- Au fait, tu écoutes quel genre de musique ?

Pas qu’il était un amateur, parce qu’en fait, il n’en connaissait rien à rien. Il avait vraiment l’impression d’essayer d’entrer en contact avec cette personne avec une telle difficulté … Quelque chose bloquait.

Il aurait voulu lui aborder de sujets d’actualité, comme le marquage imposé par l’Inquistion ou la rumeur d’une Mini-Vendetta qui courrait dans les rues… Mais il ne voulait pas l’enquiquiner avec sa … Quoi discuter avec une fille qui semblait avoir réussi haut la main malgré cet handicap qu’est la mutation ?

j'écoute un peu de tout se que je peux trouver dans le souk. Par contre les Cd que je garde le plus souvent avec moi et que j'écoute son du classique et quelque vieille toune...par ci par la elle sont pas toute joyeuse,mais j'aime bien. Vous connaissez Édite Piaf? ou Charles Aznavour? je dois avouée que quand je tombe sur un cd ou il n'y ne serais-ce qu'une seule chanson de ces auteurs de l'ancien monde je l'achete.

Elle eut un petit sourire replaçant une de cess mèche derrière son oreille.Ophélia s'était garder de dire qu'elle symphonie elle aimait car beaucoup avait oublié tout simplement le classique. Elle elle en mangeait et laissait toujours à ces plante une douce symphonie de chopin ou un doux cantique de mozart.

Et vous en écoutez vous de la musique? en dehors de la milice vous devez surement avoir des hobis non? Je sais ce n'est pas très original , mais il faut bien commencer quelqu epart pour faire déboucher une conversation.

La mutante affichait une tenue corporel qui invitait le milicien a se détendre. Ne démontrant pas d'attente ou de pression envers lui Ophélia voulait qu'il se sente à l'aise et non dans l'impression d'être pris au piège dans une ...toile...Était-elle entraint de faire une énorme boulette elle en doutait un peu.

Il croyait être l’un de rares qui s’intéressait encore à cette époque ! On pouvait voir une étincelle s’illuminer dans les yeux de Nico.

- Vous écoutez du Edith Piaf ? Moi aussi ! Cette musique me rappelle mon enfance … Tout aussi étrange que cela puisse vous paraître, un enfant écoutant ce type de musique. Mais c’était la préférée de ma mère… Parfois, pour me rappeler d’elle, je vais dans un pub à deux pas d’ici afin de me rappeler de cette époque… Il n’y a que ce type de musique, des vieilles chansons avant les années 2000… Je n’ai malheureusement pas la chance de posséder un lecteur CD, c’est une chance que je n’ai pas eue, même si à une certaine époque, j’étais plutôt un expert pour les fouilles dans les ruines…

Il venait de déballer son sac comme ça. Mais il était trop heureux de rencontrer quelqu’un qui s’intéressait à ce type de musique pour s’en apercevoir.

- Ma mère était devenue une mutante elle aussi… Tout comme vous. Sauf qu’elle a eue beaucoup moins de chance… Elle n’a pas survécu à ses modifications corporelles du moins, elle n’était plus autonome par elle-même …

Ophélia eut un franc sourire. Enfin enfin!!!! un sujet qui donnerais de quoi parler pour le souper si la discution continuait a être sipeu riche et malaisante elle pensait à fuire a toute jambes de honte. Bien heureuse et ravigorée de ces information Ophélia perdit par contre légèrement son sourire au profil d'une moue plus empathie a la mention de la mère de son voisin d'en face. Les alléas de la mutation était une plaie et c'était toujours comme jouer eu dès contre le chaos que d'espèrer bien s'en sortir.

vous m'en voyez désoler... Je sais que plusieur humain ne survive pas a leurs modification...Moi-même j'ai cru mourir pendant un mois entier...

Elle eut un frisson a cette penser revoyant le mois pénible ou c'est corne avait commencer à pousser perçant sa peau et compressant son crâne. C'était peut-être le pire momen de sa vie qu'elle n'arrivait pas à enlever de sa tête. EN effet l'évènement l'avait marquer au fer rouge, car elle c'était sentit si vulnérable et aurait aimer mourir tant la douleur était atroce. Un inquisiteur qui lui aurait fait une lobotomie n'aurait pas sue lui faire plus de mal.

J'espère qu'elle repose en paix aujourd'hui. Pour sur elle avait du goût en musique..par contre c'est plutôt atypique les gens préfère la musique anglaise habituellement par ici... Elle avait des racines nordique du coin du canada?

On lui avait parler d'un 'peuple'' humain bien distinct du reste de l'amérique pour leur parlé français et leurs manière peu commune.

Le serveur déposa la soupe sur la table devant Nicolas. Elle était d’une belle couleur apétissante, un genre de jaune ocre. C’était une espèce de purée avec une bonne odeur, mais il valait mieux pour tout le monde dans le restaurant de ne pas savoir se qui se trouvait là-dedans. Nicolas savait très bien que pousser des légumes frais et sains était quelque chose de difficile à faire, les seules plantations devaient être poussées dans des serres sur haute surveillance et le prix des aliments devait être abominablement cher … La soupe devait être faite avec des aliments hyper-résistants comme des patates que l’on a ajouté une belle saveur de carottes et de poireaux, même si peu de gens savait vraiment quel goût cela possédait. Nicolas ne connaissait pas le goût des vrais poireaux, du moins. Mais il savait que beaucoup de trucs étaient à la base de patate. Il y avait aussi la possibilité de voir des aliments dans ses assiettes, comme des tomates, des fèves, des carottes… Mais avec une haute teneur en agent de conservation. Mais personne n’était là pour faire les difficiles de toute façon. C’était moins pire que de tomber sur des cruchons de légumes conservés dans le vinaigre…

Le vinaigre… Quel ingrédient magique, pensa-t-il intérieurement.

Le restaurant était bien, selon Nicolas. Pour diverses raisons mais surtout parce que les restaurateurs avaient beaucoup d’imagination pour cacher la pauvreté des aliments. De très belles présentations de pièces de viandes, qui sont pourtant très pauvre. Il regardait sur les tables autour de lui. Il y avait beaucoup de poissons, mais cela devait être un élevage personnel du restaurant. Il se dit qu’il allait commander cela, puisqu’il n’avait pas vraiment envie de se risquer dans les viandes rouges… Il n’y a pas vraiment de fermes dans le district, sinon quelques isolées … Alors les animaux abandonné dans le District font souvent de bon en cas quand ils ne sont pas mutés. Dire qu’à une certaine époque les gens trouvaient sa répugnant. Mais aujourd’ hui, il avait envie d’un peu de qualité.

Alors qu’il pensait à tout ça dans l’espace d’une fraction de seconde, son attention retourna sur Ophélia. Il se demandait si elle aussi elle s’était retrouvée cloitrée dans un lit, à voir sa peau tranquilement changer de couleur et souffrir du au changement de l’épiderme… Il posa un regard sur ses cornes. Avaient-elles poussées en peu de temps ? Il pensait à lui et sa mère, se promenant sous le gros soleil dans le temps que le District n’avait pas encore sa barrière…

- Je suis plutôt chanceux pour ma part de ne pas avoir encore muté. Je sais que cela arrivera tôt ou tard… J’ai vu les barrière se construire autour de la cité quand j’étais un kid. J’ai déjà joué dans les ruines pour chercher des outils utile pour la construction. Je connais peu de gens plus haut que mes 38 ans qui ne sont pas aujourd’hui des mutants ou qui ne sont pas morts de maladie.

Il eu un sourire triste. Tôt ou tard, il allait lui aussi souffrir dans un lit à voir son coprs se transformer.

- Mais au moins pour le moment, j’en profite avec se qui me reste …

Il commença tranquillement à boire sa soupe. Le goût était exquis et la chaleur réconfortante.

- Ouais… Mes deux parents étaient Québecois. Je n’ai jamais mit les pieds là-bas et de se qu’à raconté ma mère, l’endroit n’était plus aussi beau que se que son père lui racontait. À une certaine époque, on parlait du Québec comme une belle contrée enneigée ou il faisait très froid et que les gens parlait d’une façon sympathique… Maintenant il ne reste que la langue.

Prit d’un coup d’espièglerie, il se mit à dire un sacre pour lui prouver la bonne culture de sa langue maternelle.

- Câliiissse !

Il était fier de son coup. Néanmoins son sacre ressemblait à un Français qui tentait d’imiter un Québecois.

Ophélia eut un petit rire crystalin et innocent cette réplique visiblement l'avait amusée et l'atmosphère s'était d'un cran de plus détendue. Finalement il était bien se type et 38 ans il les faisait à peine. Belle gueule en soit et aucune mutation en effet c'était un exploit. Ah ophélia si tu continue il va vraiment te tapper dans l'oeil... et tu sais comment sa finit habituellement...

Elle se fit elle même taire mentalement pourquoi gâcher un moment précieux d'un court plaisir qui ne passera qu'une fois? Était-elle bien en se moment? oui excessivement alors pourquoi tout gâcher avec de noir penser. Laisser le destin faire son travail et vivre le jour et la minute présente on ne sait pas de quoi est fait le futur et le passer est passer se qui compte c'est maintenant.

Vous semblez avoir une belle personnalité je crois que le karma est de votre côté. Je ne suis pas diseuse de bonne aventure, mais je vous percois encore beaucoup de chance peut-être même pourrez-vous mourir bien humain. Quoi que le titre humain est sur fait je trouve. Les mutant son humain ils n'ont subit que des changements qui ne sont pas de leurs volonté propre.

Ah puis tait toi tu vas l'assomer avec tes palabres et te idées personnel sur la philosophie mutante... Pro mutante...Et alors? c'est un sujet uqi me tien a coeur ou non? Oui alors si cela ne lui tiens pas a coeur lui qui a connue la fin tragique de sa mère alors il n'a rien a faire dans ma vie...

Pouvait-elle avoir un calme apparent dans sa tête? c'était impossible sont esprit était aussi chaotique et déshordonner que ces cornes et toute ces petites pointes.

Et si je peux me permettre mon père a aidé à l'édification des barrières peut-être l'avez vous connue avant qu'il ne prenne sa retraite John O'cunagan il a quitté voilà environs 5 ans ou 6 ans si je me rapelle bien il a aujourd'hui l'âge vénérable de 55ans et pas une mutation.

C'est parent...Ophélia ne leur parlait plus beaucoup après les troubles survenue avec l'apparition de ces cornes elle avait couper beaucoup de pont avec des gens de sa famille. Non pas qu'elle avait honte, mais qu'elle ne se sentait plus autant à sa place. Cela avait été progressif si bien qu'elle ne voyait a présent ces parents que pour noël.

Le serveur revient finalement prendre la commande pour le plat principal. Ophélia sourit a celui-ci et sans même regarder le menu demanda un Steak frite. Elle se foutait que ce ne soit pas Hi class ces change de manger un steak et des frites en même temps était si rare qu'elle sautait litéralement sur l'occasion. Elle qui avait habitude de chipé un steak dont la cuisson n'avait pas convenue a un client ou bien un reste de frites qui avait été fait en trop un peu avant la fermeture du resto quand elle rejoignait le chef pour un joint entre ''copain''. De plus la mutante commenda un vin de la maison, certes pas le plus dispendieux et loin de la , mais un bon vin malgré tout. Son deal avait été fais et pour une fois elle en profiterais un peu, même si la soiré lui couterais tout de même cher au final dans le détour.

- Oui, vous n'êtes pas responsable de vos changements ... Personnellement, je vois la mutation plutôt comme une genre de dégénérescence, une maladie en quelque sorte. Je ne pense pas qu'il s'agit là d'un choix divin ou métaphysique, je ne suis pas un expert dans le domaine, mais pour connaître la cause de la mutation qui sont en fait logiquement ... les radiations ...

Il prit une pause, réfléchissant sur la question. Il avait sa main droite de métal sur ses lèvres et gardait les sourcils froncés.

- Certaines personnes déclarent que vous êtes le changement de demain, la version 2.0 de l'homme. Pour avoir vu des gens mourir de cela et voir des mutations qui sont plus ou moins utile, comme, sans vouloir vous offenser, vos cornes ... Je crois qu'il y a encore du chemin à faire pour que la mutation ait effectivement du positif pour l'humain en lui-même. ( + 1 Connaissances historiques = Darwin ftw)

Il croyait en la théorie de l'évolution de Darwin sans nécessairement l'avoir étudié. Il aimait simplement l'idée qu'un jour un homme ai pu observer la '' mutation '' si on préfère, des animaux pour survivre dans leurs espaces naturels. Ainsi, avec la procréation, les êtres aux avantages forts combinaient leurs force afin de permettre à la descendance d'avoir des gènes pour mieux survivre...

Il commençait à trouver Ophé de bonne compagnie. Pouvoir se permettre se genre de dialogue avec une personne, une mutante de surcroît, cela n'arrivait tout simplement pas à tous les jours.

- John O'Cunnagan ?

Nicolas se rappelait visiblement du bonhomme. Il y avait un petit ton sur-excité dans sa voix et il y avait là quelque chose de très enfantin dans sa façon de raconter son passé.

- Oui !!! je me souviens bien de lui ! Tout petit, je lui apportais des plaquettes de métal que je tirais avec des cordes, il me trouvait sacrément débrouillard pour un petit bout de 7 ans, mais à l'époque, je voyais tout cela comme un grand terrain de jeu ou il y avait de la construction, un beau terrain de cache-cache et des bonnes parties de cherche et trouve ! Bref, je rigolais pas mal...

Néanmoins le souvenir était flou. À cet âge, il est difficile pour en enfant de faire la distinction de l'âge des grandes personnes... En faisant rapidement le calcul, le père d'Ophélia avait 24 ans... Il se demandait si elle était déjà née ...

- Donc alors le bonhomme est en santé ! Je suis content pour lui !

Le serveur arriva au même moment. Il commanda joyeusement une assiette de poissons frais et des légumineuses.

Elle haussa simplement les épaules a la mention de la nature et du devenir des mutation. Ophélia ne voulu pas laisser montré un malaise, mais les dire de nicolas n'était pas tout à fais dans ces pensé de la mutation. Être une victime non jamais se réssoudre à cela...Une battente et surtout une optimiste voilà se qu'était la mutante. Sur d'autre n'avait pas la chance qu'elle avait et pourtant plusieur personne de son entourage maintenant n'était plus humain au sense physique du terme. Un mutant avais beau être hideux Ophélia voyait bien plus loin. Pourquoi? la souffrance bien sur elle l'avait vécu comme tous et c'est se qui finalement liait tout les mutants. Celle douleur cuissante et terrassante qui les rnedait disfonctionnel et délirant.

Elle eut un nouveau frisson. Cette état que partageais tout les mutant était un état ou la plus part avait penser au suicide plutôt que de continuer leurs transformation atroce et douloureuse. Combien de fois cette option avait été envisager par elle même , mais n'avait pu être mis à exécution parce qu'elle n'avait même pas la force de se lever...

Comment pouvait-on une fois encore vivant se voir comme une victime? COmment après tout se mal pouvait-on ne pas accepté se que l'on était et s'en relever car au moins la vie était de nouveau la présente dans le corps qu'elle avait déserté...

Elle eut un grincement de dent et secoua un peu la tête envoyant ces doux cheveux blanc frapper ces joues. Le brin d'histoire sur son père la ramenant a de plus claires idées

Santé c'est vite dis il a une toux récurante, mais il s'en sort pas mal depuis sa retraite.

Quand les plat finirent par arriver Ophélia détailla un peu l'assiette de son comparse. Poisson et légumineuse intéressant quoi qu'elle n'était pas fan de poisson par contre les légumineuse sa elle adorait donc l'assiette semblait balancer. Puis son regard se porta sur son assiette comportant un bon steak cuit mi saignant et une bonne portion de frite bien doré...LE BONHEUR! un petit récipant de ketchup et un autre de mayonnaise à côté. POur sur elle n'aurait pas beosin de manger pour le reste de la journée et même une parti de la prochaine.

Nicolas attaqua son repas avidement. Il commença par les crudités, voulant laisser le morceau de poisson pour la fin. Car notre homme est ainsi : Il mangeait toujours se qu’il aimait le moins en premier, sans rien mélanger, car comme sa, il pouvait terminer son repas en beauté par se qu’il aimait le plus et finissait toujours son repas. Étant plus jeune, il ne finissait jamais ses assiettes, faisant ressurgir la colère de sa mère. Néanmoins, après un régime intense d’un menu exclusivement identique durant 1 mois d’un met qu’il affectionnait particulièrement, il retourna dans une routine alimentaire normale. Toute cette petite histoire pour simplement raconter la façon que notre milicien mange depuis 20 ans.

Le repas s’entamait, laissant les estomacs tranquillement se remplir, sans que quiconque glissâmes un mot. Pour la part de Nicolas, il avait simplement trop faim pour avoir envie de continuer la discussion. Il savourait par contre chaque bouchée de son repas, appréciant la fine texture du poisson sur sa langue et le léger arôme de thym et de citron qui s’y accompagnait.

À un certain moment, la serveuse passa devant la table, il en profita pour redemander un grand verre d’eau et un bonus qu’il ne s’était pas permit depuis des années : Un dessert. Oui, Nicolas avait envoyé au diable le budget, il avait envie de passer encore du bon temps dans se restaurant en bonne compagnie, bien qu’il fut au courant que ses prochains repas allaient probablement être constitués du même aliment fade pimenté peut-être de sel : Du riz !

Il se sentait excité comme un jeune enfant, ne sachant trop quoi commander. Qu’avait-il vraiment envie ? De la crème glacée basé de lait mutant ? Un gâteau au fromage ? Un pouding au chocolat ? Il ne voulait tout de même pas exagérer dans le prix. Mais en même temps, il avait vraiment envie se laisser-aller, d’y aller avec une foli Il commanda le fameux gâteau au fromage, accompagné d’un café.

Il eut un sourire satisfait et se demanda si la belle mutante allait elle aussi se payer un luxe. Il se demanda aussi comment elle pouvait rester aussi mince en mangeant comme cela. Étrangement, son cerveau passa de cette réflexion à l’inquisition : Le tatouage devait être obligatoire, même pour Ophélia même si elle était bien jolie…

Du coup, il réalisa que cette femme vivait une vie de restrictions. Elle ne pourra pas se reproduire… Même avec un autre mutant. Il se demanda comment elle vivait cela, mais il trouva la question plutôt personnelle. Il préféra plutôt demander, malgré encore une fois l’étrange propos personnel :

- Quand-est-ce allez-vous à l’inquisition … ?

e.

Ophélia demanda gentilment au serveur qui passa près d'elle une fois son plat arriver de bien vouloir lui servire une bouteille de ketchup. Celui-ci s'exécuta et la lui ramena quelque minute plus tard. Le steak de 5oz était cuit à point et la mutante décopa de petit morceau qu'elle passa d'abord dans la sauce au poivre puis dans le ketchup avant de le manger. ELle ne semblait pas vouloir se presser à manger savourant chaque boucher à sa juste valeur. Sachant qu'elle n'en aurait plus l'occasion avant longtemps.

Une fois l'assiette vidé ou il ne restait plus que quelque cadavre de frite non manger Ophélia repoussa la repoussa un peu vers la table et pris le menu des dessert à son tour. Elle se laissa tenté par un mille feuille pour sa part avec un coulis de simili framboise.

Son compagnon lui fit alors cette étrange question au quel elle répondit spontanément.

Vendredi juste avant la fin de semaine ainsi je n'aurais pas l'impression d'avoir perdu une journée de ma semaine n'y une de ma fin de semaine. Pourquoi?

Pourquoi voulait-il savoir cela...Ce n'était pas franchement le sujet de conversation le plus intéressant du monde...il était même un brin lugubre. Malgré tout Ophélia masqua sont léger malaise et laissa l'homme ocntinuer s'il le désirait sur cette conversation.