Nom: Matiel
Prénom: Felias
Age: 56 ans
Sexe: Masculin
Race: Humain
Classe : Inquisiteur
Point de vie : 12
Physique: Matiel est d’une grandeur imposante. Son corps est toujours recouvert d’un long manteau arborant plusieurs symboles occultes de son ordo ainsi que des seaux de puretés retenant des déchirures de pages de textes religieux. L’inquisiteur à la peau blanche, presque fantomatique. Sa tête entièrement rasé est souvent recouvert d’un large chapeau de cuire. Bref, quand on le croise dans la rue, on ne peut voir que ses yeux remplis de froideur.
Mentalité:
La fin justifie les moyens. Matiel fera tout pour mener sa mission à bien et utilisera tous les moyens à sa disposition (même ceux qui sont à l’encontre de son ordre.) Cela fait de lui un être extrêmement radical. En général, la terreur est son outil préféré. Il n’hésite jamais à afficher son grade dans la rue et s’assure que tous citoyens le respectent. C’est un homme très froid qui accomplis ses atrocités sans remord. Il a un air sévère constant, cela rend les gens généralement inconfortable dans une discussion. Les formalités passent avant tout, car Matiel ce considère plus qu’un homme, il est un symbole.
Caractéristique
Force : 2
Dextérité : 2
Constitution : 2
Intelligence : 4, lire et écrire ( Français, anglais, russe, latin.)
Charisme : 4
Compétence
Course 1
combat armee 1
Conduite : 1
Résistance à la douleure: 1
Savoir occult: 1
Combat armé ( arme de tir légère) : 1
Empathie : 4
Intimidation : 2 (+1 rajouté)
Persuasion : 1
Historique
Ressource : 3
Allier: 3 (dévots)
Contact: 3
Background
Je ne sais pas ce qui est arrivé a mes parents. L’orphelinat n’a jamais voulu répondre à cette question, «classifier B» nous répondaient-ils. Les rumeurs circulaient parmi les élèves que nos parents étaient mort par les radiations, les créatures courants les égouts, voir même par le gouvernement. Ceci ne restait que de simples hypothèses.
Dans ce district, un tel événement signifiait généralement la mort du nouveau née. On l’aurait abandonné dans son berceau jusqu’à ce que la mort vienne. Mais nous, nous faisions partie des rescapés, recueillis alors que nous étions bébé par l’une des rares orphelinats du District 6, voir même la seule. Il s agissait d’un programme mis sur pied par notre gouvernement actuel. Le but était de regrouper des enfants du plus jeune age qui n avait rien en ce monde, puis de les former afin que plus tard, ils deviennent de parfait servants, obéissant au doigt et à l’ œil aux directives du gouvernement. La plus part irait ensuite servir dans la milice policière, ou dans les blacks cobras. Mais moi, je fus dans un département un peu plus unique...
Mon emploie du temps était donc tout simplement séparée entre les études et l’endoctrinement. Nous commencions chaque matin au garde a vous pendant que le prêtre nous répétait a chaque fois le même sermon, puis il finissait toujours par : «Rappelez-vous, saint du corps, saint d’esprit».
« Saint du corps, saint d’esprit », cette phrase revenait souvent dans notre programme. On pensait à l’époque que c’était pour nous motiver a resté en forme, mais le vrai sens, je le compris bien plus tard. Rendu a nos 17 ans, l’administration nous a dit qu il était grand temps de «payer notre dette », la société avait maintenant besoin de nous. Je suis donc devenue ce que je m’étais tant entraîner toute ma vie pour pour : un agent de l’inquisition
Je ne savais même pas ce que voulait dire inquisition, le monde ne dehors de notre école nous étaient étranger. Notre première mission fut de nous rendre dans un appartement installé dans des plus bas fond du district et d’éliminer la famille qui y vivait. Ils ne nous ont rien dit de plus et nous ont laissé dans l’ignorance. Mais on nous avait habitués à l’orphelinat à ne jamais poser de questions, simplement de remplir la mission. Nous étions arrivés à destination, et ce fut d un grand coup de pied dans la porte que nous fîmes notre entrée.
C’était la première fois que je voyais un mutant, horrible, de la tête au pied, tout droit sorti de nos cauchemars. Mais ça c’était rien comparer aux enfants qu ils avaient eu ensembles, je ne pouvais rien distinguer d’humain en eux, de purent aberrations de la vie. «Saint du corps, saint d’esprit», cette phrase fit tout d’un coup plus de sens. Leurs chaires immondes montraient très bien leurs esprits tordus. Comment pouvait-il être saint avec une telle apparence ? Le père cria de rage et chargea vers nous. C’est sous une pluie de balle qu’il trouva la mort, suivit de la mère et pour finir, les enfants. De retour a la base. Nous nous sommes lavés le corps, puis nous avons fait une longue prière pour nous laver l’esprit. Un vieux prêtre est alors venu nous dires que nous avions passé l’initiation. Maintenant nous savions, nous savions qu’elle était notre raison d’être.
Je passa les prochaines années entend que dévot au service de l’inquisiteur Rikéuss. Par lui, j ai appris tout ce que j’avais à savoir. L’homme était autrefois maître de cette terre. La pure race créer en l’image de dieu, dédier à accomplir son œuvre saint. Nous avions des connaissances surpassant de loin la simplicité d’esprit des animaux, inventer tant de choses, construit des villes si grandioses qui ne sont plus que ruines aujourd’hui. Avec la tranquillité d’esprit, nous pouvions plus nous soucier de l’avenir que du présent. Il s’agissait de poursuivre, et non de survivre. Mais nous avons perdu ce privilège aux mains de ceux qui ne sont plus de notre race. La société essayait de trouver une explication rationnelle sur la présence des non humains, mais nous savions qu’il s’agissait d’êtres corrompus venus des enfers pour compléter le travail du diable. Leurs simples présences ridiculisent la grandeur de notre société. De la mauvaise herbe, voilà ce qu’ils étaient, il fallait la détruire avant qu’elle ne se répande. L’homme a le droit indiscutable de régner une nouvelle fois sur la terre, mais il arrivait que certaines créatures puissent se mettre en son chemin vers l’ascension. Nous étions la pour éliminer ces obstacles. L’inquisition n était pas la justice, l inquisition était au dessus de la justice. Elle agissait quand celle-ci ne pouvait guère afin de préserver l’équilibre du district.
Les exécutions sommaires faisaient parties de notre tache, cela dit, notre principale occupation restait la surveillance et les enquêtes. Evidemment, un génocide aurait vite régler la situation. Mais à défaut de soutient, nous devons nous contenter de régulariser les races, s’assurer que l’humain est toujours en pouvoir et en majorité. Nous devons être omniprésent et garder un œil sur tout ce qui n’était pas de notre race. Lorsque les mutations se développaient trop rapidement, ou que le côté animal ressort trop, ou que l’intelligence artificielle se dérègle, il fallait alors mettre un terme à leurs existences pour le bien commun. Mais sans ce genre de preuve, il fallait suivre le protocole et les garder a vue. En cas d’extrême nécessite, nous avions tout de même le anathéma Heretica.
Apres plusieurs années au service de l’inquisition, maitre Rikeuss commençait à voir du potentiel en moi. Il m’affirma qu’il était temps que je devienne plus qu’un simple dévot, j’allais devenir inquisiteur. Mon baptême de feu se fit sur la table d’opération ou l’on me tatoua à blanc mes nombreux tatouages de puretés. La douleur fut grande, mais nécessaire pour me protégé du mal et de la radiation. Puis, on me remis mon badge sous forme de rosette suivit de mes prochaines directives.
Ma mission est grande, mais les enjeux aussi le sont. Par mon pouvoir, j’empêcherais la mauvaise herbe de se loger. Car désormais, je suis plus qu’un homme, je suis un symbole de la plus grande pureté de l’homme, un inquisiteur.