Nouvelle arrivée

Une main sur la cuisse Katrine prenait une pause. Elle venait de monter et de descendre à plusieurs reprises les 5 étages qui séparait la porte d'entrer du bloc appartement et le petit 1 ½ qu'elle venait de se trouver. Avant la jeune femme habitait dans une chambre et elle se débrouillait avec les moyens de bord afin de se faire à manger. Comme elle voulait un peu de vie privé, elle avait travaillé dur et fort afin de déménager. Elle ne possédait pas grand-choses pour meubler son appartement. Une petite table a mangé pour 2 personnes, une causeuse défraichie, un matelas directement placé sur le sol qui lui servait de lit. Dans sa cuisine pour ce faire des repas elle avait une plaque chauffante avec 2 ronds dessus et un mini frigo qui ne fonctionnait pas toujours. L'objet qui était le plus précieux à Kat était sa petite cafetière 5 tasses, qu'elle avait réussi à se trouver. L'odeur du café lui rappelait les déjeuners de familles avec sa mère lorsqu'elle était plus jeune. Sinon le reste de son appartement était sans intérêt, il n'y avait aucune décoration, une seule fenêtre et une seul ampoule sur un pied pour l'éclairer le soir

Elle reprît l'ascension de la dernière volée de marche qui lui restait, après elle allait enfin pouvoir se reposer. Quoiqu'avant elle devait mettre les choses à leurs places, ce qui allait prendre un certain temps et une bonne dose de courage. Katrine déposa la boite sur la table et referma la porte derrière elle avec un soupire de soulagement. Son regard fit le tour de la pièce, une dizaine de boite de différentes grosseurs traînaient un peu partout, son lit et son divan semblait déjà en place. Pour lui faire un salon parfait, il lui manquait simplement une télévision, ce qu'elle n'avait pas encore eu les moyens de se procurer.

Elle prit le temps de s'étirer de tout son long avant de se mettre à l'action.

- À l’attaque, *Ce dit-elle*

La première boite qu'elle rangea était la tonne de document confidentiel ou bien de message qu'elle avait copié, falsifié. Elle n'avait jamais trouvé la force de s'en débarrasser, même si elle savait très bien qu'il pourrait être très dangereux pour sa vie de garder toutes ses preuves contre elle. Katrine avait surtout peur que ces papiers se retrouvent entre de mauvaises mains si elle les jetait. Les gens malintentionné il y en a partout, elle en était le parfaite exemple. Kat prit donc le soin de cacher la boite derrière une partie du mur qui se bougeait et elle poussa son divan directement devant.

Environ 30 minutes plus tard tous semblait dans un ordre respectable. Elle se dirigea vers sa cafetière et se prépara du café. Il s'agissait d'une récompense personnelle après une longue journée. Dehors le soleil commençait à descendre à l'horizon, du moins c'est ce qu'elle croyait comme il faisait de plus en plus noir. Elle ouvrit l'armoire afin de se sortir une tasse... Une tasse et merde elle avait oublié son carton de tasse en bas à l'entré. Elle leva les yeux au ciel totalement découragé

- C'est reparti pour un entrainement des cuisses, en espérant qu'elle soit toujours là...

Soulagement, une fois rendu en bas tous était encore bien présente dans la boite, elle avait été chanceuse de ne pas se faire voler. Kat souleva la boite avec un gémissement de douleur, son dos la faisait souffrir. Son dernier parcours lui pris beaucoup plus de temps que les autres, sont corps commençait à ne plus vouloir coopérer. Arrivé devant sa porte, la jeune femme retira la boite de sur son épaule et c'est à ce moment qu'elle décida de fendre en deux et que toutes les tasses se retrouvent sur le sol en morceau. Découragé et épuisé dans par sa situation Katrine donne un coup de pied dans la porcelaine fracassé sur le sol en lâchant un cri puis pour se mettre à pleurer par la suite. Quel meilleur moyen de faire bonne impression au prêt de ses nouveaux voisin.

Ceci ne faisait que deux jours qu'Andrej venait de déménager du quartier militaire pour un plus tranquille. L'appartement était un peu plus grand mais n'avais rien de plus. Au moins ceci faisait changement du dortoir qu'il devait partager avec d'autre soldat. Après s'être installer comme il le voulait dans sa demeure, il était allé visiter le coin par habitude de vouloir conaître le coin où il vit et de savoir a quoi s'attendre. Alors qu'il revenait de faire quelques achats, en montant les marches, il y vit une jeune femme qui montait une boîte.

Avec toute cette fatigue, ça n'a pas l'air d'être sa seule boite.

Tandis qu'elle montait sa boîte, Andrej sorti ses clés pour dévérouiller sa porte quand il entendit un long fracas derrière lui. Il retourna sa tête pour voir l'origine de ce bruit et vit la jeune femme se mettre à pleurer. Andrej mit ses achats sur le coin du mur a l'intérieur et referma la porte pour ensuite ce dirriger vers la pauvre. Arrivé près d'elle, il se pencha pour l'aider à ramasser la porcelaine fracassés au sol. Avec un léger accent, il se mit à lui parler.

-Laisser moi vous aider.

Le jeune russe fit un petit tas avec la porcelaine brisée qu'il mit à coté de la porte et referma la boîte de ceux qui semblaient encore intacte. Voyant qu'elle était fatigué, il ne se gêna point pour s'attribuer la tâche de nettoyer l'accident.

-Je passerais un petit coup de ballait pour le reste ne vous en faite pas.

Sur ces paroles, Andrej lui fit un sourire amical et soulevât la boîte.

- Laisser moi vous aider

Surprise de voir quelqu'un venir lui porter secoure, Katrine se ressaisie rapidement. Elle chassa les larmes de son visage avec ses mains. Le temps qu'elle reprenne le contrôle de ses émotions et arrive à formuler une phrase pertinente, le jeune homme avait fait le plus gros du travail.

- Je passerais un petit coup de ballait pour le reste ne vous en faite pas.

La jeune femme se croisa les bras, gêné de la situation. Ses yeux étaient rougis par les larmes. Ses habits de déménagement ne devaient pas offrir la meilleure première impression, mais bon il était trop tard. Elle s'éclaircit la gorge avant de parler.

- Merci de votre aide, j'ai eu une longue journée.

Pour ne pas le laisser attendre avec une boite dans la main Katrine sortie rapidement ses clefs et déverrouilla la porte. Elle hésita une seconde avant d'ouvrir. De l'autre côté c'était un véritable Chaos, pour elle c'était bien rangé, mais pas suffisamment pour recevoir un homme chez elle. Un homme chez elle, ce n'était jamais arrivé qu'un homme, à part son père, entre dans sa vie privée. Le stresse lui donna une bouffé de chaleur, elle se passa rapidement une main dans les cheveux, pour finalement se dire que peu importe il allait comprendre la situation. Elle poussa la porte et l'invita à entrer.

- Vous n'avez qu'à laisser la boite sur la table. Au fait je m'appel Katrine.

Elle lui tendit la main. Bien qu'elle veuille voir à quoi ressemblait le bon samaritain elle avait de la difficulté à le regarder en face. C'était tellement ridicule d'avoir pleuré pour quelque tasse brisé. Elle s'était beaucoup trop laissé emporter. En ne voulant pas le regarder, elle remarqua tout de même qu'il faisait pratiquement la même grandeur et il avait l’air relativement jeune. Elle se souvint l'avoir entendu parler avec un accent étranger. Katrine avait toujours aimé les accents, son père en avait un, elle n'avait jamais apprit de qu'elle régions.

Des bruits de pas se fit entendre dans l'escalier, visiblement quelqu'un étais en train de monté a l'étage. On pouvait également entendre un léger sifflement suivant un air joyeux. Sébastian arriva enfin a l'étage et en tournant le coin, il aperçut l'homme et la fille en train de ramassé quelque chose déparpillé sur le sol. C'est a ce moment-là qu'il s'aperçut qu'il n'a jamais pris la peine de connaitre ses voisins et visiblement ceci était une occasion en or.

-Je passerais un petit coup de ballait pour le reste ne vous en faite pas.

- Merci de votre aide, j'ai eu une longue journée.

sébastian s'élança et se présenta devant les deux inconnus et leur dit :

- Bonjour, je me présente, je me nomme Sébastian et je vis sur cette étage. Je ne m'éterniserais pas avec vous car selon ce que j'ai entendu, vous avez eu une rude journée c'est simplement pour faire connaissance avec vous.

-Moi c'est Andrej.

Katrine lui sera délicatement la main. Sa main avait l'air délicate et fine dans la main d'Andrej. Le contact avec la peau de l'homme lui fit chaud au coeur. Il était très rare qu'elle avait des contacts aussi humain avec quelqu'un, la majorité de ses relations étaient simplement utilitaires. La belle brune devins rouge durant un moment. Jamais elle n'avait pensé qu'elle serai capable d'être comme ça avec un homme. Elle était majoritairement si timide et discrète, Katrine se trouvait déjà très bonne de ne pas avoir bafouiller ou bien tremblé. Sinon il lui était déjà arrivé de se sauver à la course parce que la gène l'avait envahi, mais dans la situation actuel il serait très étrange qu'elle parte et qu'elle le laisse chez elle. Quoiqu'elle pouvait toujours le mettre dehors.

-Vous êtes d'ici? Je veux dire native du District?

Elle hésita quelque seconde avant de répondre, elle n'avait jamais été habituée à répondre à des questions. Que quelqu'un voulais apprendre à la connaitre. Elle dû prendre un moment afin de se souvenir de sa vie. Comme si son passé semblait vraiment loin, comme si elle avait un blanc de mémoire. Elle prit un grande respiration, elle devait apprendre à ce calmé, ce n'est pas parce qu'elle n'était pas familière avec les contactes humains qu'elle devait absolument les fuirent. Pour une fois elle allait prendre son courage et apprendre a connaître quelqu'un. De plus, le jeune homme avait l'air doux, sympathique et honnête. Le genre de personne en qui elle pouvait avoir confiance. Surtout qu'il l'avait aidé alors qu'il ne la connaissait pas du tout. Était-elle trop naïve? Est-ce qu'elle se faisait trop d'idée sur sa première impression? Seul le temps allait pouvoir lui répondre.

- Oui je suis du District 6, c'est tout ce que j'ai connu. Si tous aurait moins, dangereux, plus simple, j'aurais aimé voir le monde, l'extérieur...

Elle laissa sa phrase en suspens pour lâcher un cri de surprise. Un jeune homme avec des oreilles de chats venaient d'enter et de se présenter, a moins qu'il était la depuis un moment et qu'elle ne lavait tout simplement jamais remarqué. Sébastian était son nom, elle trouvait qu'il avait l'air gamin, toutefois elle ne serait incapable de lui donner un âge.


-Bonjour, je me présente, je me nomme Sébastian et je vis sur cette étage. Je ne m'éterniserais pas avec vous car selon ce que j'ai entendu, vous avez eu une rude journée c'est simplement pour faire connaissance avec vous.

Katrine sentie un léger malaise a laissé une deuxième personne entrer dans son appartement alors qu'elle n'était toujours pas installé. Mais comme il s'agissait des gens qu'elle allait probablement voir tous les jours, elle devait donc se montrer aimable. D'un geste de la main elle l'invita donc à entrer chez elle.

- Enchanté, moi c'est Katrine et voici Andrej, il habite aussi sur l'étage. J'allais servir du café vous en voulez un?

La question était posée aux deux hommes présent dans son appartement. Deux hommes. Simplement à y penser c'était presque irréel pour elle. Katrina n'avait jamais eu vraiment d'amis, personne proche d'elle avec qui partagé, à vrai dire il s'agissait du premier café qu'elle allait partagé depuis qu'elle était partie de chez ses parents. Elle se retourna et se dirigea vers la boite sur la table afin de sortir des tasses pour tout le monde. De dos à Andrej et Sébastian un large sourire s'afficha sur son visage.

Sébastian hésita a entrer mais lorsque Katrine l'invita, il entra. Lorsqu'il aperçut toute les boites empilés les unes par dessus les autres, il y vit une autre occasions de faire plus ample connaissance.

- Enchanté, moi c'est Katrine et voici Andrej, il habite aussi sur l'étage. J'allais servir du café vous en voulez un?

- oui volontié je prendrais un café, j'ai du temps en masse. Je ne crois pas me tromper en disant que vous êtes en train d'emmenager ? Si c'est le cas, je vous propose mon aide pour tout déballer.

Voyant Andrej sursauté a son apparence, Sébastian comprit que ce a quoi il ressemblait était peu commun ailleur...ou du moins de ce qu'il pense. Lorsqu'il l'aperçut reprendre contenance et lui tendre la main. Sébastian serra la main d'Andrej avant de lui dire :

- Bonjour Andrej, heureux de vous connaitre. Sans vouloir être indiscret ce n'est pas commun comme nom en tout cas je n'ais jamais entendu quelque chose dans ce genre.

Il remarqua dès lors qu'il vouvoyait des gens qui étaient dans la même tranche d'âge que lui. Rougissant légèrement il dit:

- Désolé si je vous vouvoies, j'ai pris cette habitude durant mes quart de travail. Je sais que cela offusque certaines personnes et je m'en vois désolé.

- oui volontié je prendrais un café, j'ai du temps en masse. Je ne crois pas me tromper en disant que vous êtes en train d'emmenager ? Si c'est le cas, je vous propose mon aide pour tout déballer.

-Je n'ai jamais vraiment goûté au café, mais je veux bien essayer.

Katrine eu un petit rire de surprise à ce que Andrej venait d'affirmer. Pour elle il était totalement impossible de vivre sans café, elle adorait le goût, mais elle était surtout devenue accro. C'était inimaginable pour elle de commencer une journée sans prendre un grand café et même par moment deux. C'était uniquement après ça qu'elle était en état de commencer sa journée. Elle approcha les tasses de la cafetière sur le comptoir et les remplient. Elle prenait son café noir, mais très peu corsé, pour Andrej comme s'était son premier essai elle lui mit un peu de lait et de sucre et elle le laissa noir pour Sébastian. Katrine s'était dit que s'il avait voulu du lait et du sucre il lui aurait précisé. La jeune femme se retourna et leur mit chacun une tasse devant eux sur la table afin qu'ils puissent les prendre.

- hum oui je viens tout juste d'arrivé. C'est gentils pour votre aide, mais j'aime mieux faire les choses à mon rythme.

C'était une demi vérité, ce n'était pas t'en le rythme qu'elle voulait respecté, mais plutôt le fait qu'un parfait inconnu fouille dans ses objets personnels qu'il puisse en apprendre sur elle, sur sa vie et son passé sans avoir à lui poser de question. Surtout en faire l'interprétation qu'il voulait et découvrir une femme qu'elle n'est pas.

- Bonjour Andrej, heureux de vous connaitre. Sans vouloir être indiscret ce n'est pas commun comme nom en tout cas je n'ais jamais entendu quelque chose dans ce genre. Désolé si je vous vouvoies, j'ai pris cette habitude durant mes quart de travail. Je sais que cela offusque certaines personnes et je m'en vois désolé.

Katrine n'avait jamais eu bien de difficulté avec le vouvoiement a vrai dire avant que l'homme chat le souligne elle ne l'avait pas remarqué. Toutefois, la première question de Sébastian intéressa plus particulièrement. Elle c'était aussi demandé de où Andrej pouvait bien venir, elle n'avait jamais entendu un accent comme le sien dans le district et elle en était un peu fasciner. Comme si à chaque fois qu'il prenait la parole elle était attiré par ses mots, elle adorait sa façons de parler. Elle essaya cependant de cacher son enthousiasme elle ne voulait pas qu'Andrej la trouve trop facile ou bien naïve. Elle remarqua tout de suite après que Sébastian avait dit que le vouvoiement était une habitude dans son travail, elle réfléchi très rapidement à la question et se dit qu'elle allait lui demander plus tard.

- Je n'ai aucun problème avec le vous, mais tu peu me tutoyer.*Elle tourna son regard vers Andrej* Je me demandais la même choses, de où viens un aussi belle accent?

Bon il était trop tard Katrine s'était échappé elle avait belle accent, alors qu'elle ne voulait montré aucun enthousiasme face à sa prononciation. Mais bon il aurait remarqué un moment ou l'autre.

Andrej prit la tasse qui lui était destiné. Il regarda le liquide chaud et respira pour en avoir un avant goût. l'odeur était agréable et même invitante pour une gorgée. Il allait en prendre une lorsque Katrine reprit parole.

-Hum oui je viens tout juste d'arrivé. C'est gentils pour votre aide, mais j'aime mieux faire les choses à mon rythme.

Le jeune mercenaire compris assez rapidement. Peut-être qu'elle voulait suivre son rythme mais d'un autre côté, ce serait comme laisser fouiller la première personne du coin dans ses affaires. Tout le monde à droit à son intimité et c'est une bonne chose selon Andrej.

-C'est compréhensible.

Après avoir serré la main de Sebastian, ce dernier prit parole.

-Bonjour Andrej, heureux de vous connaitre. Sans vouloir être indiscret ce n'est pas commun comme nom en tout cas je n'ais jamais entendu quelque chose dans ce genre. Désolé si je vous vouvoies, j'ai pris cette habitude durant mes quart de travail. Je sais que cela offusque certaines personnes et je m'en vois désolé.

-Ne t'inquiete pas. Moi même je dit vous au premier contacte avec une personne, question d'avoir une certaine politesse.

- Je n'ai aucun problème avec le vous, mais tu peux me tutoyer

tandis qu'ils se parlaient, Andrej prit le temps pour prendre une gorgée du fameux café. Après cette gorgée, il fut agréablement surpris mais il fut vite ramené sur terre.

-Je me demandais la même choses, de où viens un aussi belle accent?

Le nouveau buveur de café eu un rire embarassé. C'était bien la première fois qu'on lui disait qu'il avait un bel accent. Andrej se reprit en mains rapidement et réponda aux questions.

-Cet accent viens de russie. Selon les dires de ma mère, c'était un pays magnifique en plus d'être le plus vaste de la terre. Ce qui est du nom d'"Andrej", c'est toujours d'origine russe, je me souvient que mon père me disait que ça voulait dire "guerrier" car je devais me battre.

Après avoir dévoilé les origines de son accent et de son nom, il se rendit compte d'une petite erreure de sa part. Dans leur tête, il vient de la Russie...ce qui est pas mal loin et faux.

-Pour être précis, je suis originaire de Metpo, un grand réseau de métro. Ses origines remontes à la grande guerre. Pour en faire une histoire courte, des troupes russes était au États-Unis durant la guerre et pour se protéger des bombes, ils se cachèrent dans les métros et avec le temps, ils y ont élus domicile. C'est pour sa que j'ai eu, au début, un léger malaise avec toi Sébastian, sans vouloir t'offenser. À Metpo, les seuls...non-humains que nous rencontrions n'était que des bêtes assoifées de sang.

Sébastian prit son café et en but une gorgée.

- hum oui je viens tout juste d'arrivé. C'est gentils pour votre aide, mais j'aime mieux faire les choses à mon rythme.

-C'est compréhensible.

Il comprit alors qu'il avait peut-être trop vite dans sa démarche, il était compréhensible qu'une nouvelle arrivante veuille défaire ses choses par elle-même et en plus il était un homme donc encore une fois, trop de risque de tomber sur ses affaires personels.

- Bien sur, je comprends mais si vous avez besoin de quoique ce soit, j'habite juste a côté.

- Je n'ai aucun problème avec le vous, mais tu peu me tutoyer.*Elle tourna son regard vers Andrej* Je me demandais la même choses, de où viens un aussi belle accent?

- A bon d'accord, je suis heureux de ne pas vous avoir offusqué.

Sébastian prit une autre gorgée lorsqu'il entendu Katrine demander a Andrej d’où venait son si bel accent. A ces mots il s'étouffa légèrement non pas a cause que la gorgé était trop grosse mais il ne s'attendait pas a l'entendre de façon si directe. Sébastian la regarda et il aperçut un mélange d’enthousiasme et peut-être un peu de gêne d'avoir été si directe.

-Cet accent viens de Russie. Selon les dires de
ma mère, c'était un pays magnifique en plus d'être le plus vaste de la
terre. Ce qui est du nom d'"Andrej", c'est toujours d'origine russe, je
me souvient que mon père me disait que ça voulait dire "guerrier" car je
devais me battre.

-Pour être précis, je suis originaire de Metpo,
un grand réseau de métro. Ses origines remontes à la grande guerre. Pour
en faire une histoire courte, des troupes russes était au États-Unis
durant la guerre et pour se protéger des bombes, ils se cachèrent dans
les métros et avec le temps, ils y ont élus domicile. C'est pour sa que
j'ai eu, au début, un léger malaise avec toi Sébastian, sans vouloir
t'offenser. À Metpo, les seuls...non-humains que nous rencontrions
n'était que des bêtes assoiffées de sang.

Sébastian écouta son histoire et lorsqu'il lui adressa la parole, Sébastian eut un petit rire et lui répondit :

- Non ne t'inquiète pas je sais que je ne viens pas du commun mais je ne me transformerais pas en bête assoiffée de sang sinon c'est ma mère qui va me remettre dans le droit chemin.

Il se mit a rire a la fin de ses mots, un rire chaleureux. Lorsqu'il eut terminer de rire, il reprit:

- Mais dit moi, pourquoi as-tu quitté le metpo ? Une catastrophe s'est produite ?

Lorsque qu'Andrej commença à parler elle se hissa sur le comptoir afin de laisser les deux chaises de la table à ses deux invités. Elle écouta le russe raconter son histoire, elle était fasciner. Son café tenu à deux mains aux bord des lèvres sans en prendre une gorgée. Elle était en mode écoute. La jeune femme était impressionné de savoir qu'il venait de si loin, qu'il venait de dehors des murs du district 6 alors qu'elle n'était jamais allée bien loin. Cependant, lorsqu'il précisa qu'il avait habité dans des tunnels de métros elle trouva cela plutôt triste. Un enfant n'avait pas à vivre dans ce genre de situation, n'y dans ce genre d'endroit. Encore moins avec des non-humains sanguinaires un peu partout. Un frisson la parcourue, elle se trouva soudainement chanceuse de la vie qu'elle avait mené.

- Mais dit moi, pourquoi as-tu quitté le metpo ? Une catastrophe s'est produite ?

La question de Sébastian était pertinente. S'il était bien la-bas avec tout les gens qu'il connaissait pourquoi était-il partit afin de rejoindre un endroit aussi désolé que le District 6. La vie n'était pas mieux qu'elle devait l'être à Metpo. Katrina y réfléchie quelques secondes. À bien y penser la place où elle avait grandit ressemblait beaucoup à celle de Andrej. Elle avait eu aussi beaucoup d'endroit dangereux à ne pas fréquenté, quand elle était petite elle ne sortait jamais seul et il lui était arrivée de se faire attaquer par des créatures qu'elle ne pourrait plus identifier aujourd'hui. Ils avaient vécu le même genre de situation, cependant Katrina les avaient vécu en voyant le soleil.

- Est-ce que tu est le seul à être venu au district?

C'est vrai que s'il était parti et qu'il avait pu rejoindre le district ses parents, ses amis, sa copine peu-être, avaient bien pu le suivre et venir s'installer ici.

Elle savait maintenant de quel endroit venait cette accent. Katrine était heure d'avoir entendu quelqu'un parler de cette façons au moins une fois dans sa vie. Elle était très curieuse de nature, donc elle se mettrait maintenant à la chasse au accent. S'il était tous aussi merveilleux que celui russe elle allait être heureuse de les entendre.

Katrine remarqua qu'elle et Sébastian questionnait beaucoup Andrej, peu-être qu'il n'avait pas envie de répondre à tous ses questions, il était peu-être mal à l'aise de se sentir interrogé de la sorte .

- Si tu n'a pas envie de répondre tu n'est pas obligé.

Dans la situation d'Andrej, la belle brun serait devenu muette comme un carpe. Se faire assaillir de questions par deux personnes totalement inconnue l'aurait rendu tellement inconfortable. Elle bu une longue gorgé de café chaud, un peu gêné de ce qu'elle faisait vivre à son invité

Elle écouta encore Andrej avec la même fascination. Il avait vécu de grande aventure, même si cela avait été très dur. Katrine était contente d'apprendre qu'il n'avait pas fait tout ça seul, n'importe qu'elle situation était toujours moins difficiles à deux. Toute en l'écouta elle buvait son café à petite gorgé, lentement, comme elle le faisait toujours. Afin de bien savouré ce moment ainsi que tout les souvenirs que cela lui rappelait.

- Wow je suis impressionné par ce que tu a traversé!

Et elle était très sincère dans son affirmation. Elle Katrine n'avait jamais entendu quelqu'un avec une histoire si tragique. Ce n'est pas tous le monde qui on la chance d'avoir eu une vie calme et paisible. Quoique la vie qu'offre le district est assez compliqué à gérer. Après qu'Adrej est fini sa réponse elle remarqua qu'il voulait changer de sujet. Elle ne se sentie pas mal à l'aise pour autant, jusqu'à ce que l'attention des deux hommes soient dirigé vers elle.

-Au fait, ton café est très bon Katrine.

- C'est vrai qu'il est bon ton café, c'est quelle marque ?

Ils attendaient les deux une réponses de sa part, un réaction. Le poids de la conversation était maintenant sur ses épaules. Il était de son devoir d’hôte de posé une question ouverte qui allait donné suite à la conversation. Elle s'empressa d'abord de répondre à Sébastian avant qu'ils ne trouvent sa réponse trop longue à venir et qu'un mal aise s'installe dans la pièce.

-Merci, je crois que c'est l'habitude qui lui donne se goût. Mais je ne connais pas la marque je l'achète dans le Souk.

Après sa réponse elle prit le temps de prendre une grande gorgé de café, elle devait pensé à quelque choses de pertinent et d'intelligent à dire. Katrina avala sa gorgé et regarda l'homme chat.

-Vous avez dit tout à l'heure que vous utilisé le vouvoiement dans à votre travail, vous faite quoi alors dans la vie?

Ce n'était pas une question très recherché, mais tous ce qu'elle avait pu pensé aussi rapidement. De toute façon elle ce posait déjà la questions avant de diriger son attention vers Andrej et son histoire. C'était le meilleur moment pour la posé et apprendre a connaitre le jeune homme. En attendant la réponse de Sébastian elle continua son café. Elle remarqua que le liquide brun diminua rapidement et comme ses invités aimaient ce qu'elle faisait les chances qu'ils en redemande était élevé. Elle s’affera donc à en préparer d'autre tout en continuant la conversation.

Alors qu'Andrej terminait son café, Katrine posa comme question à Sebastian quel était son emploie pour qu'il vouvoie naturellement. Ce dernier expliqua qu'il était un milittaire. Plus précisément, un scout comme lui.

-Très souvent, ils forme la première action sur le champ de bataille, la reconnaissance du terrain. Avec eux, le combat n'est pas de tirer en fou mais de calculer. Voir toutes les possibilités de réussites et d'échecs avant même d'avoir le doigt sur la gachette. C'est la vie d'éclaireur.

Andrej eut un sourire avant de déposer sa tasse terminée sur le coin de la table

-Quand je suis arrivé ici, j'ai été mit dans cette catégorie de l'armée mais je me pose une petite question. Quand j'était de service, les autres scouts avec moi étaient plutôt du genre à parler strict et de parler au "tu". Tu fais parti d'une section spécial?

Mais qu'elle heureux hasard que les deux personnes qu'elle avait invité chez elle faisait exactement le même emploie. Elle ne connaissait pas grand choses en ce qui concernait l'armée, donc les précisions d'Andrej et de Sébastian fut d'une grande utilité afin qu'elle aille une idée juste de l'emploie. Ce n'était pas quelque choses qui l'avait intéressé l'armé, la guerre, les combats, pour Katrine il y avait toujours un moyen non violent de régler un conflit. Du moins un terrain d'entente. La jeune femme était surprise qu'une personne qui avait l'air aussi naïve et délicat, comme Sébastian faisait partie de l'armé. Pour Andrej ça l'étonnait un peu moins il semblait avoir plus le profil de l'emploie.

La machine a café commençait lentement à ce remplir quand les deux hommes finirent leur tasse et la mirent sur la table. Katrine les saisis et les déposa sur le comptoir afin de les avoirs à porté de la main lorsque que le café serait prêt.

- Je ne m'imaginait pas que vous faisiez tous les deux parties de l'armé. Mais est-ce que le District a autant d’ennemie pour avoir besoin de toutes ses factions, cette surveillance? Disons que je ne pas beaucoup informée sur ce sujet...

C'était très vrai qu'elle n'était pas beaucoup informé. Elle lisait simplement le journal du district lorsqu'elle avait la chance de tomber dessus et il parlait très peu des conflits externe du district 6. De plus, Katrine ne s'informait pas par elle-même, surtout parce qu'elle n'était pas fasciné par les conflits. Mais comme ses invités en connaissait plus qu'elle, pourquoi pas en profité pour s’informer un peu plus.

-Quand je suis arrivé ici, j'ai été mit dans cette catégorie de l'armée mais je me pose une petite question. Quand j'était de service, les autres scouts avec moi étaient plutôt du genre à parler strict et de parler au "tu". Tu fais parti d'une section spécial?


Sébastian fut également d'apprendre qu'Andrej fesait partie des scout et sa question le laissa perplexe. Si il avait été dans le meme programme, pourquoi ne s'était-il jamais rencontré ? Il lui dit tout bonnment :

- Dans l'équipe ou j'ai apris nous n'étions que des hybrides il n'y avait que très peu d'humains. Je crois que notre commandant nous sous-traitait, d'ou vient probablement mon habitude a vouvoyez. C'est vraiment étrange, nous nous sommes peut-être entrecroisé quelques fois sans vraiment y prêté attention.

Il se tourna vers katrine qui venait de lui demandé si le district avait beaucoup d'ennemis pour avoir autant de faction prête. Elle tombait sur un sujet délicat car on lui avait demandé de ne pas trop en révéler la dessus. Il lui dit néanmoins :

- C'est principalement des ennemis du commun, parfois des mutants qui n'ont pas résisté au radiation, d'autres fois sa peu être un groupe de malfrats qui devient un peu trop omniprésent. sa varie toujours mais on s'entend qu'il n'enverront pas nécessairement les Scout pour un petit groupe de malfrat, peut-être un ou deux mais pas une escouade.

Katrine écouta les deux hommes parler. Normalement c'était le genre de conversation à laquelle elle était plus habitué, les autres parlaient et elle, dans son coin, écoutait les conversations, apprenait des choses et satisfaisait sa curiosité. L'armée n'était toujours pas son sujet favori même après se qu'elle venait d'en apprendre, mais bon elle allait pouvoir être mieux informé et peu-être bien meublé une future conversation sur l'armée. Elle aimait bien que l'ambiance dans son appartement, la situation semblait se détendre la timidité s’effaçait lentement, les gens apprenait à se connaitre et un ambiance amicale se formait entre les trois. Serte ils n'étaient pas devenu les meilleurs amis du monde dans un si cours moment, mais il était possible de voir qu'une amitié à long terme allait bien pouvoir se développer.

Lorsque Andrej lui posa la question sur ses occupations dans la vie elle sembla être ramené à la réalité. Katrine sourie à son tour lorsqu'il la taquina sur son café. Se mot lui fit pensait qu'il y en avait en train de couler, elle lui jeta un rapide coup d'oeil afin de voir sa progression. Ils en avaient encore pour un petit moment à attendre.

- Hum dans la vie je suis messagère. Je travail à mon compte, je prendre des contacts un peur partout, je fait de la livraison aussi entres les institutions importantes du District. Je suis porter à rencontré les de gens un peu partout, donc j'ai toujours de plus en plus de contact.

Quand elle parlait de son travail elle ne pu empercher de jeter un regard discret dans la direction de la boite de message copier, de document falsifié qui se trouvait derrière un pan de mur derrière son divan. Katrine n'y attarda pas son regard trop longtemps et fit mine de regarder plusieurs choses dans son appartement afin de ne pas trop attirer l'attention.

- J'adore vraiment mon travail, comme je fait tous à pied je me garde en forme. Toutefois, je travail un peu trop par moment, je pense diminuer un peu. Mais bon je suis en pleine réflexion.

Elle espérait que cela allait répondre à sa question. Dison qu'elle en avait pas plus à dire sur son travail.

- Je me demandait Andrej, tu à dit que tu était dans l'armée à cause de la conscription. Qu'est-ce que tu aurait aimé faire si tu n'aurait pas été militaire?

-Eh bien je dois admettre que j'aimais bien m'occuper des orphelins à Metpo et que souvent j'écrivais des histoires pour passer mon temps. Malheureusement, un coup touché par la violence et les combats, il est difficile de revenir à une vie plus...paisible. J'ai déjà tenté de laisser mon manteau et mon fusil dans un placard mais on se retrouve tourmenté par les souvenirs de ce que nous avons fait. J'avais peur de refaire ce qu'un ancien soldat avait fait... donc j'ai continuer de faire parti des membre d'exploration. Mais je sais pas ce que je vais faire ici dans le district. Disons que s'occuper d'un orphelina ici est très difficiles et être écrivain est pas très utile et payant aussi. Pour le moment jedois aussi dire que je trouve que le taux de criminel parici est haut Je songe à rejoindre un groupe de mercenaire ou du moins, obtenir une liscence pour pouvoir un peu changer ça.

Andrej semblait avoir quelques mavais sovenir mais se remit rapidement de ses pensés.

-Mais messagère, sa doit quand même être dageureux comme métiers. Pourquoi une femme comme toi a choisit cette voie?

Ceci venait de sortir comme ça de la bouche du russe. Mais en quelque sorte cétait quand même vrai. Elle qui semblait sensible a autre et qui avait un beau charme était une messagère, un travaille qui peut coûter la vie de bien des gens.

Katrine trouva bien triste qu'il soit impossible pour Andrej de faire ce qu'il aimait le plus et dans vivre. Mais cependant le problème de la plus grande partie de la population du District. On ne fait pas ce que l'on voulait, on fait ce qui est nessecaire pour survivre. Toutefois s'occpuer d'un orphelina devait être quelque chsoes de très gratiffiant. Aider son prochain comme l'on aurait voulu être aidé, donner de l'amour, de la chaleur et un peu d'attention a tous ses enfants abandonné par leurs parents ou encore pire, seul au monde. Andrej avait cependant raison, il devait être très dur moralement pour une personne de s'occuper d'un orphelina sans vouloir sauver chaque personne qui passe.

- Je trouve dommage pour toi que tu ne puisse pas faire ce qui t'anime un peu, comme si, avec l'armé, on avait gaché un partie de toi...

La question suivant, que le russe avait pausé, avec son accent qui faisait toujours frémir la jeune femme, était très déroutante pour Katrine. Elle ne pouvait pas vraiment répondre la vérité, répondre qu'elle copiait, fascifiait, lisait et décryptait chaque message qu'elle transportait. Qu'elle connaissait de nombreux secrets et actions prisent par le district qu'elle ne devrait pas. Elle connaissait aussi plusieurs alliances secrets entres différents groupes ainsi que des fuites dans bien des domaines. La véritait pour couter très chère à Katrine. Durant un instant elle cru que Andrej pouvait bien être la personne qui la suivait durant un moment, qui essayait de la prendre sur le fait, de découvrire la vériter sur elle. La jeune femme agitait ses doigts sur sa tasse de café, sa nervosité montait, elle devait répondre quelque chose qui ne semblerait pas trop louche aux oreilles du russe.

- A vrai dire j'ai commencé cette emploie par pur hasard. Lorsque j'étais plus jeune je faisait beaucoup de sports, jaimais être active. Un jour mon père ma dit que l'hopital cherchait quelqu'un afin de transporter de la marchandise ainsi que des messages avec le centre de sience ainsi que l'armée. Comme je n'ai pas de permis et que je n'ai jamais vraiment apris à conduire j'ai proposé au centre hospitalié de faire le travail à la cours. Ils ont trouvé l'idée interressant, de plus qu'ils sauvaient de l'argent sur l'essence. J'ai adoré le travail que je faisait la-bas, j'ai donc commencé à chercher aupres d'autre factions s'il m'était possible de les aidés. C'est pourquoi je touche un peu à tous.

Katrine espérait vraiment que sa réponse allait convaincre Andrej qu'elle disait la vérité. À vrai dire l'histoire qu'elle venait de raconté n'était pas bien long de sa vrai vie, mais elle avait mentie à quelques endroits. Il arrivait que très rarement à Katrine de se laisser emporter dans de long discourt de la sorte, elle ne se sentait donc pas très bien dans sa situation immédiante. Elle se retourna donc vers Sébastian afin de lui demander:

- Et toi comment en est tu arrivé à faire ton métier?

Il pouvait être bien interressant de connaitre l'histoire d'un zoomorphe. Pour l'instant la seul histoire de zoophorme qu'elle avait entendu était elle de Yaël Mikry et elle avait trouver cela très touchant. Au même moment la cafétière avait terminé de couler, elle en profita donc pour se retourna et servire un nouveau café aux jeunes hommes. Comme ils ne s'étaient pas plaind la première fois elle le refit exactement de la même façons.

Sébastian écouta avec intérêt ce qu'Andrej aurait fait s'il n'avait pas
été conscrit. Andrej aurait donc voulu devenir propriétaire d'une
orphelinat ou écrivain , Sébastian comprenait bien ce que ressentait
Andrej a propos de son passé de conscrit. Cela vous fermes des portes
comme s'en ai pas permis.

- Je trouve dommage pour toi que tu ne puisse pas
faire ce qui t'anime un peu, comme si, avec l'armé, on avait gaché un
partie de toi...

Andrej lui demanda alors ce qu'elle fesait dans
la vie en dehors de la préparation de café et Sébastian ne put retenir
un sourire devant la blague d'Andrej. Cela intéressait Sébastian de
savoir ce qu'elle fesait dans la vie. Lorsqu'elle expliqua qu'elle était
messagère et qu'elle délivrait tout plein de message ou colis,
Sébastian fut surpris de la voir ainsi regardé partout dans son
appartement, il en déduisit qu'elle devait être gênée mais elle reprit
pas longtemps après car Andrej lui avait demandé ce qui l'avait poussé a
devenir messagère elle expliqua alors que quand elle était jeune elle
fesait beaucoup de sport et qu'une jour son père lui avait proposé de
faire des commissions pour les différentes institutions.

- Et toi comment en est tu arrivé à faire ton métier?

*Hé merde sa me tombe dessus*
- Hein ? heuuu désolé j'étais dans la lune. Sébastian sourit bêtement
avant de poursuivre. Bon comment j'en suis arrivée a faire ce fabuleux
métier ? En faite c'est rien de très impressionnant, il faut savoir que
je viens d'une famille pauvre donc on avait pas énormément d'argent et
notre condition de zoomorphe nous la donnait dure parfois, ma mère
n'avait aucun travail et mon père lui travail dans un magasin
d'impression mais son patron était un véritable enculé, n'importe
quelles raisons étaient bonne pour lui coupé son salaire. Un jour,
j'avais 17ans je crois bientôt 18 et j'avais décidé d'aller chercher du
travail et comme je vous l'ai expliqué, ma condition me valut plusieurs
refus. Sur le chemin du retour je suis tombé sur une affiche de campagne
de recrutement et cela ma tout de suite attiré malgré tout les risques et j'ai donc proposé mon idée a mes parents qui l'ont mal prit. Malgré leur refus j'ai tout de même rejoint l'armée et depuis je leur verse un montant de mon salaire pour les aidés a mieux vivre. Pour certain mon histoire semble être un conte pour enfant ou le fils veut sortir sa famille de la misère mais pour moi c'est la réalité.

A la fin de son réçit, Sébastian prit une pause et observa le plancher de la cuisine un sourire mélancolie et joie. Il reprit :

- Je suis content car je peux amélioré leur qualité de vie légèrement mais je ne peux les sortir totalement de la pauvreté mais bon ils m'ont affirmés qu'ils vivent selon les meilleurs conditions qu'on puisse leur offrir et ce grâce a moi, leur fils.

Sébastian regarda alors ses amis et leur sourit comme si de rien ne s'était passé et se fut avec joie qu'il observa Katrine préparé les cafés. Il lui proposa même son aide.