Le commencement des évaluations ( Yaël Mikry)

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À la caserne Sanctum, les choses brassaient. On avait créé des standes devant une énorme porte où ont avait entassé des centaines de personnes. La file était sans cesse bousculé par des agents de la loie qui gardait les gens en ligne par force. Peux importe si quelqu'un se faisait piétiné, la ligne devait continuer.

Arrivé aux grandes portes, on redistribuait les gens avec des indications pour rencontrer un inquisiteur afin de procédé à l'évaluation obligatoire. Puis, il fallait monter les escaliers qui menèrent à une salle d'atente où de nombreux nons humains atendaient en silence de traverser la porte où l'on avait inscrit « Inquisiteur Matiel.» Après un certain temps on indica à un femme mentre religieuse que s'était son tour à passer.

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À l’ instant où Yaël avait entendu parler du marquage des non-humains, elle avait commencé a paniqué.

*À cause de l'abus de tolérance des non-humains, l'inquisition se voit forcé d'augmenter sa sévérité sur les châtiments donner.

À partir de maintenant, tous les non-humains seront marqué au fer plat sur une partie du corps visible. Cette marque indiquera la catégorie de créature qu'il fait partie ainsi que son degré de dangerosité. Elle sera imprimée dans les bureaux de l'inquisition, à la caserne Sanctum. Tous les non-humains doivent s'y rendre dans les plus brefs délais afin de se faire examiner par un inquisiteur. Ceux qui ne passeront pas le test seront considérés inapte à la société, les autres auront ressue la permission de vivre.

Prendre note que le degré de dangerosité sera mis sous forme de nombre fractionnaire, plus le premier chiffre est bas, plus que vous devez vous en méfier.

Passé une semaine, tous non humains qui n'auront pas de marques visibles seront exécutés à vue par les autorités.

Cette nouvelle politique à été amené et approuvé par la très sainte inquisition.*

Elle ne voulait pas être marquée comme un simple animal de ferme ou une bête de cirque. Elle ne comprenait pas les soudaine motivations du l’inquisiteur a vouloirs tout les identifier par ordre de dangerosité. N’importe qu’Elle être sensé aurait vu et comprit que les humains et les robots sont tout aussi dangereux que les zoomophormes et les mutants. Mais quand elle y pensait bien elle ne voulait pas non plus être tué a vu par les autorités de la ville. Sinon qui se promènerait dans les rues de cette ville désolé pour soigner les plus démunie.

C’est avec c’est pensé que Yaël avait commencé à faire la très long file de zoomophorme et de mutants devant les bureaux de la Sanctum. Elle avait eu le temps de regarder en détails l’architecture très bien entretenu du bâtiment. La mante religieuse le trouvait à la fois vraiment beau et très désolant. Elle ne comprenait pas comment un si beau bâtiment pouvait y cacher de si vilain dessin. Elle regardait a quel point les symbole de la ville et ceux de l’inquisition se mélanger a merveille sur la brique en presque parfait était et sur les statues trop bien entretenu a comparé du reste de la ville sur lequel il veillait.

La file dura plus de 2 heures, elle avait vu toutes les sortes possibles et imaginables de zoomophorme. Autant d’homme-chat et de femme-chien que de zoomophorme aviaire et reptile. Elle voyait en eux toutes sorte de réaction tous plus mélangé les un que les autres. Certain avait le gout de se révolté d’autre voulait simplement que ça se termine au plus vite pour qu’ils puissent rentrer chez eux voir leurs famille. Les mutants étaient ceux qui étaient le plus indignés avec la nouvelle loi qui les interdisaient de se reproduire, Par chance Yaël était une zoomophorme elle avait le droit d’avoir des enfants le moment venu. Par contre, le groupe était entouré en permanence de garde très bien armé qui veillait au calme de la situation. Certain on même était expulser de la file et on du revenir une fois calme sinon il se faisait tué sur place

La mante religieuse entra enfin dans le bâtiment qu’elle contemplait depuis plusieurs heures. L’intérieur était tout aussi magnifique. Tout n’était que confort et décoration moderne. Elle s’installa dans un fauteuil devant la porte sur lequel il était écrit Inquisiteur Martiel. Yaël trouvais l’endroit tellement fascinant qu’elle n’avait même pas remarqué qu’il y avait des gardes a l’intérieur et même plus qu’a l’extérieur.

Une dame entre deux âges arriva prêt de la zoomophorme pour lui remettre un questionnaire et un crayon pour le remplir. C’était des questions s’usage, son nom, son âge ainsi que la catégorie de zoomophorme dont elle faisait partie. Lorsqu’elle eu terminé de le remplir la même dame passé à côté d’elle et lui prit le document des mains. La dame habillée d’un tailleur grise avec de subtils talons hauts entra par la suite dans le bureau. Elle en ressorti aussi rapidement les mains vide. Elle avait du déposé les questionnaires sur le bureau de l’inquisiteur.

Le premier zoomophorme fut appelé a entré dans le bureau. Il se passa plusieurs minutes durant lesquelles rien de bougeais. On n’entendait rien à travers la porte de bois massif du bureau. Après presque 30 minute d’entrevue le zoomophorme canin ressorti avec une marque sur l’avant-bras. Une fraction écrit avec de gros chiffre romain. La marque avait l’aire d’avoir été brûlé a même la peau de l’homme-chien. Moins d’une minute s’écoula entre la sortie du dernier marqué et l’appel du prochain.

-Yaël Mikry

L’appel avait frappé comme la foudre à l’oreille du la mante religieuse, Elle était maintenant plus apeurer que jamais a l’idée d’entré dans se bureau. Allait t’elle en ressortir aussi mutiler que les autres personnes qui y était passé. Yaël se rendit compte qu’elle n’avait même pas bougé un cil encore. Elle était paralysée par la peur.

*Allé va-y bouge sinon il va peut-être t’arrivé pire*

LA voix l’appela encore, mais avec plus de conviction cette fois-ci. La zoomophorme se mit de peine et de misère debout. Elle tremblait comme une feuille a l’automne. Elle ne pouvait rien faire d’autre que d’avancer faire la porte de bois. Elle prit la poigné de sa main humain et la tourna. Il lui sembla que le bruit que la porte fit en s’ouvrant fut la pire torture qu’elle entendit de toute sa vie.

Quand Yaël fut entrée dans le bureau une chaude lumière lui éclaira le visage. Le soleil entrais par une énorme et magnifique fenêtre qui ce trouvais dernière le bureau de l’inquisiteur. La mante religieuse ne savait pas ce qu’elle devait faire ou si elle devait faire quelque chose en particulier alors elle garda le silence. Elle s’approcha lentement d’un des deux fauteuils qui ce trouvais devait le bureau. Yaël si affala plus qu’elle ne si assis. Elle croisa les mains sur ses genoux pour être sur que son tract ne paraisse pas trop. Yaël attendit que l’inquisiteur prenne la parole faute de faire autres chose.

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Assis confortablement dans son fauteuil, l'inquisiteur Matiel commençait déjà à empiler les multiples dossiers qu'il venait de créer au début de sa journée. Cela formait une bonne pile imposante. Mais elle aurait été bien plus grande si Matiel n'en avait pas jeté quelques un. Il se disait tout simplement qu'un mort n'avait plus rien à lui apprendre.

À l'entrée de la femme mante-religieuse, l'inquisiteur fut soulagé, voir même satisfait. Cette femme était encore loin du stade des autres horreurs qui venait de passer. On pouvait encore voir des parties humaines sur son corps. Mais il devait quand même procédé à une inspection visuelle. Il écrivit donc un rapide paragraphe sur son apparence physique alors que la zoomorphe s'avança vers la chaise faisant face au bureau avant de s'y assoir.

Une fois cela fait, il reprit le premier formulaire que lui avait amené sa secrétaire et releva la tête soudainement. Son aire semblait sévère et sa voie inspectrice ne faisait qu'empirer les choses.

- Yaël Mikry, c'est bien ça? Vous êtes mélangé avec le corps d'un insecte, mais heureusement pour vous, cette fusion n'est pas encore totale. Vous allez commencer par me dire quand et comment sont arrivés vos premiers changements physiques.

Une fois que sa bouche se tut, Matiel mis son poing au-dessus de son nez et plongea son regard dans celui de la zoomorphe.

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Yaël ne se sentait pas du tout a sa place dans se bureau. Elle voyait l’inquisiteur qui déployais tout c’est richesse devant elle. La jeune femme ne savais vraiment pas comment agir ou se tenir dans la situation qu’elle vivait en se moment. Elle aurait préféré être ailleurs. Yaël s’avait pertinemment qu’elle était ici pour son bien. Par contre, elle aurait peut-être aimé mieux se battre contre une armé entière plutôt que de se trouvé dans le bureau où elle était. Maintenant elle n’avait plus le choix elle allait devoir resté ici et répondre aux questions.

-Yaël Mikry, c'est bien ça? Vous êtes mélangé avec le corps d'un insecte, mais heureusement pour vous, cette fusion n'est pas encore totale. Vous allez commencer par me dire quand et comment sont arrivés vos premiers changements physiques.

Comment osait-il lui poser cette question. Elle n’avait jamais raconté son histoire à personne. Elle ne voulait surement pas le raconté ici et maintenant dans ce bureau aucunement chaleureux et qui ne lui donne pas le gout de se confier à personne. La zoomophorme sentait le regard de Martiel la transpercé. Elle le sentait déjà fouillé dans sa tête dans ces souvenirs. Toute sorte d’émotion lui passait sur le visage.

La colère, la honte, l’agressivité. Elle ne voulait laisser paraitre aucunement c’est émotion. Cela lui était totalement impossible. C’est yeux s’embrouillèrent et le rouge lui monta au joue. Elle ne voulait pas raconter son histoire, elle ne savait même pas s’il allait lui être possible de bien la raconté.

-Pourquoi est-ce que je vous raconterais cela. Je n’étais pas sensé être ici seulement pour que vous sachiez si je suis dangereuse ou non? Je ne vois pas la pertinence que je vous raconte ma vie.

Plus elle parlait plus sa voix montait dans les aigus. Yaël tentait de contrôler du mieux qu’elle le pouvait ces émotions, mais revivre cette fameuse nuit lui était très difficile. Des larmes commençaient déjà a coulé sur son visage et elle n’avait même pas encre commencé a raconté son histoire. Son regard fuyait celui de l’inquisiteur. Elle ne voulait pas que celui-ci voit son trouble.

-Il n’y a pas un autre moyen pour que vous m’évaluiez.

Sa voix se brisa. Les larmes coulèrent sur son visage en silence. Rien au monde n’allait la forcer a raconté son histoire.

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Malgrés la nature de la chose qu'il devait évaluer, Matiel pouvait très bien comprendre la peur et la méfiance que celle-ci éprouvait. De plus, il commençait à avoir une certaine habitude avec ce genre de réaction. La meilleur chose à faire était d'utiliser la raison, répondre par les émotions pourraient déclancher une grand chaos dans ce bureau.

- Madame, la raison de votre nature fait parfaitement partie de mon évalutaion. Quelqu'un qui se serait volontairement exposé à la radiation présente un déséquilibre psychologique bien important, et donc un dangé pour la société. Rassurez-vous, ces documents resteront classifier. Maintenant, veyez reprendre votre calme et répondre à ma question, à moin que vous ne vouliez qu'on termine par celle-ci et que l'on passe à une autre.

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- Madame, la raison de votre nature fait parfaitement partie de mon évaluation. Quelqu'un qui se serait volontairement exposé à la radiation présente un déséquilibre psychologique bien important, et donc un danger pour la société. Rassurez-vous, ces documents resteront classifier. Maintenant, reprenné votre calme et répondre à ma question, à moins que vous ne vouliez qu'on termine par celle-ci et que l'on passe à une autre.

Sa nature. Elle ne comprenait pas l’homme devant elle la traitait comme un monstre ou une chose venu d’une autre planète, elle ne comprenait pas. Yaël était une jeune femme avant comme lui. Mais malheureusement elle n’avait pas croisé les gens qu’elle devait à un certain moment. C’est tout. Elle ne savait pas comment raconté sin histoire sans tomber dans le pathétique et le drame. Elle désirait rester forte et fier dans cette épreuve que la vie lui envoyait. La zoomophorme pencha la tête pour ne pas que Matiel voit son visage. Elle ne voulait pas que l’inquisiteur voit la peur et la tristesse dans ses yeux noire et globuleux.

-Je me suis retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment…

Plusieurs flash d’image de cette journée fatidique lui revenait a l’esprit. Les hommes qui la regardaient comme si elle était de la viande. Un scientifique qui se décide a la prendre de force. A transformé sa vie en enfer. Elle serre les poings très forts pour que cela arrête. Elle se force a voir le positif qui était très difficile a faire ressortir en se moment.

-Un groupe d’homme cinq ou six, je ne me rappel plus très bien, m’ont fait cela.

La zoomophorme fixa Matiel. Celui-ci pu lire dans ses yeux que ce qu’elle venait de dire avait été très éprouvant pour elle. Yaël son joua dans les cheveux avec sa main humain. Un tic nerveux acquis au fil des ans. Elle comprenait de moins en moins la pertinence de raconté cela. L’homme en face d’elle ne pourrait pas faire grand-chose face a son apparence mi-humaine, mi-insecte. Même si sa conditio avait été dur a accepté elle ne la changerait pour rien au monde en se moment. Vivre les épreuves qu’elle avait vécues l’avait transformé a jamais. Elle ne pourrait pas revenir comme avant sans avoir à réapprendre sa vie au grand complet. LA zoomophorme préférait de loin le ici et maintenant que la personne insipide et artificielle qu’elle était avant.

-Tout ce que je sais c’est qu’après qu’ils ont… fait ce qu’ils avaient à faire. Je me suis reveiller ainsi.

C’était la pure vérité. Elle n’avait pas de besoin de raconté son viol collectif a tout le monde, sa grossesse difficile et son enfant mort-né. C’était son histoire. Elle espérait de tout cœur que cette parti de son histoire allait lui suffire et qu’Elle n’aurait pas besoin de raconté plus. Yaël savait pertinemment qu’un jour ou l’autre elle allait devoir raconter sa vie, mais elle allait le faire ou et quand elle le voudrait. Et se n’est surement pas dans se bureau à se moment précis.

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En entandant cette révélation, Matiel eu un profond dégout qui lui remontait dans la gorge. Il avat plusieurs catégorie sur sa feuille, mais rien qui ne pouvait décrir une telle horreure. L'inquisiteur marqua donc subtilement au bas de la feuille.

« Expérimentation»

C'était tout à illogique dans sa tête, comment est ce que des hommes pouvaient faire cela à sa prorpre race. Comment on t-il pu volontairement avancer l'humanité d'un pas de plus vers la damnation. Non, ce ne devait pas être des hommes, probablement des envoyés du mal incarné, évidament. Il fallait les purger à tout prix.

- Merci de votre collaboration. Si jamais après ces tests vous voulez faire une mention d'enquête, vous n'aurrez qu'à venir plus tard, et je ferrais payé ceux qui vous on fait ça.

Sur ces mots, l'inquisiteur se leva et ouvrit un meuble qui était en faite un réfrigérateur de fortune. Il en sortie alors une assiette et la déposa sur la table. On pouvait y trouver un fin morceau de viande, 3 feuilles à salades et un insect de mort.

- Passons au test no 2. Vous allez manger ce qui ce trouve dans cette assiète... À moi que vous en soyez dans l'incapacité.

Puis Matiel l'inspecta de nouveau. Le but était de voir ses réactions suite à cette dégustation. allait t-elle se régaler de l'insect, ou se dégouter de la viande, tout devait être détecté.

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- Merci de votre collaboration. Si jamais après ces tests vous voulez faire une mention d'enquête, vous n'aurez qu'à venir plus tard, et je ferrais payé ceux qui vous on fait ça

Yaël se sentit rassurer. Savoir que des gens pouvait lui venir en aide pour rattraper les gens qui lui avait fait était vraiment plaisant. Peut-être qu’elle ne retrouverait jamais ses assaillant mais tenter de le faire allait lui faire un grand bien. Elle s’imaginait souvent qu’elle rattrapait les gens qui lui avaient fait tout ce mal. Qu’elle les torturait à son tour pour ensuite les transformer en créature horrible qui allait les empêcher de vivre normalement comme ce qu’elle avait vécue. Yaël savait qu’elle ne serait surement pas capable de faire subir la même chose qu’elle avait subit. Elle ne voulait pas se descendre au même niveau que ce que les hommes lui avait fait.

Cela lui tentait plus maintenant de continuer l’évaluation. Elle savait que cela pouvait lui apporté du bien. L’inquisiteur se leva de sa chaise et se rendit à une armoire. Qu’est-ce qu’il faisait dans un réfrigérateur pour une évaluation? Elle le vit sortir un assiette sur lequel elle cru voir de la nourriture. Il voulait peut-être lui donné quelque chose a grignoté pour l’aidé a passé a travers le test au complet.

C’est a se moment qu’elle vit le morceau de viande la salade et l’insecte. Cela lui prit quelque seconde a réaliser ce qu’elle voyait. Pourquoi y avait-il un insecte dans l’assiette.

- Passons au test no 2. Vous allez manger ce qui ce trouve dans cette assiette... À moi que vous en soyez dans l'incapacité.

Elle écarquilla les yeux. Qu’est-ce qu’il voulait sir pas mangez? Yaël ne se voyait pas entrain de mangé un insecte. Elle avait toujours mangé des repas tout a fait normal depuis qu’elle avait été transformé. Elle prit délicatement le morceau de laitue dans c’est main et l’apporta a sa bouche. Yaël le mâcha lentement. Il ne goutait rien de particulier c’était une feuille de laitue comme les autres. Elle espérait qu’il n’y est pas de poison ou de sérum de vérité dedans. Cela l’étonnerait, mais c’est ton jamais. Malgré ses craintes elle mangea les trois morceaux.

Fut ensuite le tout de la viande. Elle le prit dans sa bouche. Yaël n’avait jamais vraiment aimé la viande crue. Elle en avait déjà mangé en cas de vraiment grosse nécessité. Elle mâcha rapidement la viande avant de l’avaler. Elle eu une grimace de dégout. Jamais elle n’allait remanger de viande crue pour un moment. Le goût lui avait causé un haut le cœur.

La zoomophorme regarda l’insecte pendant quelque seconde. Elle prit dans c’est main pour mieux le regardé. Il s’agissait d’un scarabée, noir avec sa carapace. Elle ne s’imaginait même pas entrain de posé les lèvres dessus. Yaël le redépose dans l’assiette.

-Je ne peu pas mangé cela. Les autres choses sa passe encore, mais sa je ne peu vraiment pas. Désoler. J’espère que je ne nui pas a votre évaluation.

La mante religieuse pousse l’assiette plus loin pour signifier qu’elle ne mangera pas plus. Elle attend ensuite le test numéro 3. Que va-t-il lui faire faire cette fois-ci? Combien y avait-il de test a cette fichu évaluation.

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Matiel fut d'un coup sur le suspent, notament sur le morceau de viande. Mais finalement, elle l'avala en entier. Il regarda maintenant l'assiette où ne trainait qu'au centre un simple insect mort.

- Non, ça va allez, vous pouvez laissez faire.

Déclara l'inquisiteur en reprenant quelques notes. Il décrivit sa réaction de dégoût suite au morceau de viande, mais rien qui n'allait à l'encontre de l'alimentation humaine. Puis, il se débassa de cette assiette pour revenir ensuite avec une blanche de bois, probablement pris d'un vieu poteau électrique qui avait cessé de fonctionner.

- Nous allons passez au numéro trois maintenant. Je veux que vous preniez...

Il pris un moment pour réfléchir. L'inquisiteur voulait désigner le bras diforme, mais ne connaissait point le mot. On lui avait appris à l'école que quand un zoomorphe à les ongles trop long, on appellait ça des griffes. Mais ce membre rétractant était bien au dessu de ses connaissances. Cela dit, Matiel se refusait d'appeller ça un bras, c'était trop impure pour en être.

- Votre membre de gauche et que vous essayez de forcer le plus possible dans cette planche.

L'agent de l'ordo Justicar laissa donc le morceau de bois aux soins de la femme insecte.

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Ouf. Yaël avait eu peur de ne pas avoir passé le deuxième test. Elle se rendit compte qu'elle ferait n'importe quoi elle passerait tout les tests. Il ne lui dirait pas le resultat avec la fin. Ce qui la stressa encore plus. Comment les gens pouvaient venir dans cette pièce et réussir à garder leur calme. C’est a se moment que l’inquisiteur sortit la planche. Une espèce de rondin de bois. Il avait l’aire usé jusqu'à la corde, mais il était quand même solide.

- Nous allons passez au numéro trois maintenant. Je veux que vous preniez...Votre membre de gauche et que vous essayiez de forcer le plus possible dans cette planche.

Elle le déposa sur le bureau et se leva debout. Elle appuya son bras de mante religieuse contre la planche de bois. La zoomophorme de sortit pas les pics qu’elle avait au bout de son membre pour ne pas effrayer l’homme. Elle appuya de tout c’est force. On a pu entendre le bois craqué et gindre sous la pression de la jeune femme (force: 3). On vit la trace de son membre s’imprimer légèrement dans le bois.

Pour être sur de bien faire, elle fit la même chose avec sa main humaine. La zoomophorme ne voulait surtout pas avoir à refaire tout c’est test. C’était déjà assez humiliant d’être considérer comme un monstre. L’idée de s’attaquer à l’inquisiteur lui passé par la tête. Elle aurait tellement pu facilement sortir les pics qu’elle avait dans son bras de mante religieuse et de lui planté dans la gorge. L’envie monta en elle de plus en plus fort. Mais le fait qu’il y avait surement des dizaines de garde à l’extérieur lui en empêcha. Elle ne se voyait entrain de se débarrasser de tout le monde.

-Est-ce que cela est suffisant pour vous?

Elle était sarcastique dans sa voix. Comment pouvait-il croire qu’elle est plus forte qu’elle le prétendait. Yaël n’avait jamais montré sa force à personne. Alors il allait être facile de faire croire à peu près n’importe quoi à cet inquisiteur de malheur.

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Matiel agrippa la planche de bois et pris le temps de l'examiner. Cette marque confirma ses inquiétudes, il devait la garder dans les pièces à convictions se dit-il.

Une fois le morceau de bois rangé dans un tiroir, l'inquisiteur se retourna vers la zoormorphe.

- Nous avons presque finit. Nous pouvons passer au test numéro 4.

Matiel se leva et se dirigea vers sa fenêtre, puis s'étira les bras pour fermer secement les épais rideaux. Ensuite, il se dirigea vers la lumière et tira sur l'interupteur. Désormait, la pièce était plongé dans la plus grande noirceur... Sauf un faisseau de lumière qui provenait du coin, probablement d'une lampe de poche. Mis à part ça, tout semblait mort, pas un son, aucun signe de vie.

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Yaël remarqua que l’homme rangea la planche dans un tiroir sans dire un mot. Elle en avait peut-être trop fait. Elle n’aurait surement pas du pesé aussi fort. Maintenant, elle se sentait conne. Si elle aurait fait attention peut-être qu’elle aurait eu l’aire moins forte et moins menaçante. La zoomophorme se mit à craindre d’être marquer avec un numéro trop fort et elle allait être dans de beaux draps. Peut-être est ce qu’elle allait aurait une interdiction de continuer à pratiquer son métier, a cause qu’elle est trop dangereuse. Son métier était tout sa vie. Jamais elle n’aurait jamais pu continuer à vivre normalement après se test sa c’était certain. Peut-être qu’elle s’inquiétait pour rien. Yaël allait arrêter de s’en faire et finir se test une bonne fois pour toute.

- Nous avons presque finit. Nous pouvons passer au test numéro 4.

L’inquisiteur commença alors à fermer les rideaux et la lumière. La pièce fut plongée dans le noir le plus complet. Sauf pour un trait de lumière qui venait du coin de la pièce. Elle n’avait aucune idée de ce qui pouvait causer cette lumière, mais elle était présente. Malgré tous, le fait d’être dans le noir le plus complet avec un inconnu la rendais inconfortable. Elle n’aimait pas du tout se quatrième test. Pourquoi est-ce que la lumière devait être fermé et pourquoi l’homme ne disait pas en quoi constituait le teste. Il restait monstrueusement silencieux.

-Qu’est ce que je dois faire en ce moment?

Elle ne comprenait vraiment pas le test. Le noir lui faisait très peur. Elle se sentait vulnérable et à la porté de tout ce qui se cachais dans le noir. Yaël sentait des gens se promener autour d’elle. La zoomophorme était surement entrain d’halluciné, car elle n’avait entendu personne entré dans la pièce.

-Est-ce que vous allez me dire ce que je doit faire?

Elle commençait à s’impatienté.

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Elle n'eu point de réponse, encore ce lourd silence qui planait dans cette pièce presque sombre. Pendant un instant, on aurrait pu croire que la lampe de poche semblait s'agiter dans le coin, brassant le faisceau de lumière.

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L’angoisse de Yaël monta encore d’un cran. Ne pas savoir ce qu’elle devait faire n’était pas vraiment son fort. Elle inspecta encore la pièce dans laquelle elle se trouvait. La zoomophorme ne voyait vraiment rien a part la lampe torche.

*Bordel de merde j’haïs sa le noir.*

Elle n’avait pas vraiment beaucoup d’option. Soit elle se sauvait vers la porte qui était surement barré et doute façon elle se ferrait suivre par des gardes. L’autre option était de se diriger vers la lumière qu’elle voyait. La jeune femme marcha d’un pas lent en direction de la lumière qu’elle voyait dans la salle. En arrivant proche de la source de la lumière elle remarqua que c’était bel et bien une lampe de poche. Elle s’en saisit rapidement et éclaira autour d’Elle pour dissipé les ombre qu’il l’entourait.

Elle espérait vraiment ne pas voir des choses spécial qu’elle n’aurait pas été capable de sentir dans les ombres. Elle chercha aussi avec la lumière la position exact de l’inquisiteur. Yaël n’aimait vraiment pas se trouvé dans le noir avec quelqu’un qu’elle ne pouvait pas voir. Sa la rendait inconfortable et anxieuse.

-Et maintenant qu’est ce que je fait?

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En balaillant les ténèbre de la lampe de poche, elle finit par découvrir la grande silhouaite de Matiel qui remonta l'interrupteur. Une fraction de seconde plus tard, la lumière revint dans toute la pièce.

Matiel revint ensuite s'assoire très tranquillement, comme un automate. Il s'éclaira la gorge avant de lui déclarer

- Très bien, vous avez passez le dernier test. Vous venez de me montrer que vous n'êtes pas encore soumise à vos instincs animal.

Il reprit sa feuille de papier et son crayon et l'invita à se rassoire.

- J'ai maintenant terminé toutes mes évaluations. Avez-vous autre chose à déclarer avant de recevoir votre résultat?

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Quand le faisceau de lumière tomba sur l’inquisiteur sa rassura la zoomophorme. Elle pouvait ainsi voir que l’homme était dans la pièce et que rien d’autre de plus inquiétant ne se cachais dans la noirceur de la pièce déjà très peu rassurant a la base pour la jeune femme. Quand Matie alla ouvrir les lumières et qu’il revint s’assoir délicatement à sa place l’inquiétude la regagne. Qu’est-ce qu’il allait bien pouvoir lui faire faire maintenant. Elle se doutait que l’homme était plein d’imagination et qu’il allait trouver de multiple façon de tester sa transformation en insecte. Il allait peut-être même la faire souffrir ou lui demander un échantillon de peau ou de sang,

- Très bien, vous avez passez le dernier test. Vous venez de me montrer que vous n'êtes pas encore soumise à vos instincts animaux.

Instinct animal ? Elle n’avait jamais ressentit quoi que se soit de son côté animal. Mise à part le fait qu’elle était immunisée aux radiations et a toutes les maladies imaginables. Est-ce que sa veut dire que la prochaine fois qu’elle allait coucher avec un homme elle allait devoir lui couper la tête ? Yaël repensa alors a l’homme renard et se voyait bien le décapité. Elle sourit intérieurement a cette image qu’elle ne serait jamais capable d’appliquer. La violence n’était pas son fort. Le pensé était suffisant pour elle.

- J'ai maintenant terminé toutes mes évaluations. Avez-vous autre chose à déclarer avant de recevoir votre résultat.

C’était tout. Elle s’était stresser et angoissé pour ça. Elle avait seulement du mangé quelque morceau de viande et être dans le noire. La zoomophorme ne savait vraiment pas ce que l‘inquisiteur comptait vraiment analyser et évaluer avec c’est quelque test. Par contre, elle en était contente. La jeune femme avait réussis a passé au travers s’en trop de difficulté. Elle était même un peu fière d’elle. Un poids s’enlevait de ses épaules. Elle ne se ferait pas chasser a mort dans la rue du district a cause de ce qu’elle était. Le chiffre qui allait alors lui être gravé dans la peau ne serait surement pas très élevé et elle allait réserver une bonne surprise au personne qui allait la croire faible et sans défense.

- Non je ne suis rien de plus à dire. Je vous remercie d’avoir pris le temps de me recevoir.

Elle sourit à l’inquisiteur. Enfin elle allait pouvoir faire autres chose de sa journée.

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Matiel se posa des questions à la vue de la zoomorphe. Elle souriait? Comment un non humain pouvait se sentir bien ici? La raison de cet expretion de joie dépassait la logique de l'inquisiteur. Il se dit que cela pouvait être causé par la folie. Peut-être qu'un test mental pourrait révéler une partie de sa nature. Un peu de torture et le tour était joué. Mais Matiel laissa passé cette idée, il allait juste mettre une note.

Il sorti un grand tampon et l'écrasa dans l'encre avant de le tapé sur la feuille d'évaluation.

- Par ma sainte autorité, je déclare votre niveau d'autorité à 2/4. Veuillez porter cette feuille au bureau de marquage qui sera à votre droite. Pour votre entière colaboration, vous avez le droit de décidé l'emplacement de la marque sur votre coprs.

Félias lui donna la feuille à bout de bras.

- Petit conseil, si vous voulez passer la prochaine évaluation, continuer à manger de la viande et controlé vos émotions. Aussi, si votre membre se transforme à une étape plus critique, vous devriez l'amputer.

Il rengea toute la paprasse qui trainait sr son bureau avant de conclure.

- Dernière chose, veyez laisser votre nom à la réception, on vous recontactera pour l'enquête sur ceux qui vous on fait ça.

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- Par ma sainte autorité, je déclare votre niveau d'autorité à 2/4. Veuillez porter cette feuille au bureau de marquage qui sera à votre droite. Pour votre entière collaboration, vous avez le droit de décidé l'emplacement de la marque sur votre corps.

Yaël n’était pas sur de si elle devait se réjouir de la nouvelle. Elle allait être marquée sur le corps d’un chiffre pour le reste de sa vie. Elle devait bien réfléchir à l’endroit exacte ou elle allait le faire mettre. Surement sur une cuisse, car c’était moins visible et qu’elle pourrait facilement le dissimuler avec un jeans. Certes quand elle allait se retrouvé seul avec un homme cela allait peut-être la rendre mal a l’aise, mais au nombre de fois que cela lui arrivais cela ne dérangerais pas vraiment.

-Je ne comprends pas vraiment la signification du chiffre est ce que vous pouvez m’éclairer sur sa signification.

2/4. Qu’est ce que cela pouvait bien dire. La zoomophorme ne connaissait vraiment pas le système de codification que l’inquisiteur utilisait. C’était surement un code inventé de toute pièce par l’inquisition. Cela leurs permettait surement de savoir l’information sur la dangerosité des zoomophorme avec un simple coup d’œil a leurs marque. Ce qu’elle ne comprenait pas c’était comment ils allaient savoir qu’elle était marquée si elle cachait son code. Allait-elle devoir se déshabiller devant chaque personne qui allait vouloir voir son marquage.

- Dernière chose, veyez laisser votre nom à la réception, on vous recontactera pour l'enquête sur ceux qui vous on fait ça.

Yaël fut surprise par cette demande. Elle resta bouché quelque seconde avec de remercier Matiel. La jeune dame ne s’attendait pas à avoir de l’aide de la personne qui fait marquer les personnes de sa race au fer rouge.

Messages : 173 Date d'inscription : 06/01/2012 Age : 32 Localisation : Sydney

- Ce chiffre est là pour montrer aux autres les points qui vous reste. Un zoomorphe parfait et totalement inofensif aurra donc 4/4, dans votre cas, vous êtes à mis chemin entre l'inofensif et l'incontrable. Ho, et je vous rappelle que cette marque doit être visible en tout temps. Si un de nos agents vous croise dans la rue et qu'il ne peut voir votre marque, il a pour ordre de vous abattre sur le champ. Bonne journée.

Lui dit-il froidement avant de retomber dans sa paprasse.

Messages : 55 Date d'inscription : 31/12/2011

Yaël sortit du bureau et alla voir a la réception elle donna son nom pour que le sanctum recommunique avec elle pour son histoire de viole et de violence qui on causé sa transformation permanente. Ensuite, elle se dirigea au bureau du marquage. Elle marcha dans un long corridor. La zoomophorme avait un peu peur de ce qu’elle allait trouver au bout de celui-ci. LA jeune femme arriva face à une grande porte de bois sur lequel il y était inscrit marquage. Après avoir prit une grand inspiration elle poussa le battant de la porte avec l’aide de c’est deux bras.

Elle découvrit un bureau tout à fait normal. Avec une personne assis a un bureau et une autre porte a sa droite. Yaël se présenta à la dame qui était assis au bureau. Elle portait un tailleur professionnel ainsi que de sublime talon haut. Surement les derniers qui existaient.

-Bonjours, je viens pour faire terminer mon évaluation et faire mon marquage

Elle tendit a feuille a la dame qui d’après le nom écrit sur une petite plaque sur son bureau elle se nommait : Miranda. Celle-ci prit la feuille avant de s’adresser à Yaël avec un air de dégoût.

-Merci. Assoyez-vous-la. Ce ne sera pas bien long.

Yaël s’Assit alors dans un divan en cuir rembourré qui était très confortable. Miranda transcrivît des choses qui étaient sur la feuille de l’évaluation sur une autre avant d’aller le porté dans la pièce adjacente au bureau. Après 5 minutes d’attente une voix cria le nom de la zoomophorme. Yaël se leva et se dirigea lentement vers la salle. Il y avait dans celle-ci, Un siège avec des sangles qui servait surement a attaché les gens lors de leurs marquages. Un bureau sur lequel il y avait plusieurs papiers. Un four qui chauffait a pleine température avec une tige de fer qui en dépassait et un homme de forte corpulence qui lui fit signe de venir s’assoir. Yaël suivit c’est indication. Une fois assez elle fut sangle au poignet et aux jambes.

-C’est ou que ta veut ta marques?

La zoomophorme n’y avait pas encore pensé. D’après la forme du signe qu’elle voyait, car l’homme avait sortit la tige du four. Le signe était la grandeur d’une main. Elle allait devoir le mettre a un endroit visible en tout temps. Elle allait se le faire faire a l’arrière d’un mollet. De cette façon, la jeune femme allait pouvoir continuer a porté des capes pour caché son bras difforme et la marque serait toujours visible.

-Fait moi le derrière le mollet gauche S’il vous plait.

Elle sentit la chaleur sur son membre bien avant que la tige ne le touche. Le fer chauffé à blanc se plaqua violement dans sa chair. La femme mante-religieuse se mordit la lèvre au sang pour ne pas crier. Elle n’allait pas donner plaisir en montrant sa douleur. Malgré elle les larmes lui montèrent aux yeux. (Résistance a la douleur : 1, constitution : 3) Une odeur de chaire brulé lui viens aux narines. Elle en eu un haut le cœur, tellement l’odeur était terrible.

Quand la douleur commença a être moins terrible, elle se leva et marcha en s’appuyant sur un bâton que l’homme venait de lui donné. Elle sortit des maudit bureau de la Sanctum sans se retourné elle se rendit chez elle.

(topic terminer)