À la recherche de généraux

Thème musical: Drakengard II - "Exhausted" The broken past (bluelaguna.net/music/dg2ost/mp3s.php)

Étoffé comme un bourgeois aux grandes prétentions. Prisonnier d'un tissu dont la matière appose les pré jugés. Voila comment on percevait l'inconnu" et sa bête. À son arrivée, on lui demanda de laissé ses "choses" à l'entrée. Ealing était visiblement la cible. Le "Zar" envoya un sourire aux préposés du vestiaire en leur offrant un "tip" pour accrocher son "chat" sur un cintre. Il ricana et continua sa marche avec son "garde du corps" de 500 kilos.

L'anarchiste sans réputation scruta l'endroit à la recherche d'un regard amical ou d'un sourire. Il ferait le tri du grain de l’ivraie plus tard. Il était sans le moindre allié et dans ce lieu, cela signifiait qu'il ne passerait pas la nuit. Il devait à tout prix se faire des contact chez les mercenaires. Autrement, tout ce qu'il rêvait d'accomplir serait réduit à un rêve irréalisable.

Ce lieu serait temporairement sa planque entre les combats d'Ealing pour obtenir les fonds de sa révolution.

Le "Zar" capta la curiosité de l'inconnue qui le dévisageait. Les chaises à sa table montraient qu'elle n'avait personne qui l'accompagnait et son interrogation sur le cirquien était un point d'appui qu'il ne laissa pas passer. Il avança en émettant le sourire d'un ami, incertain de la forme que prendrait la discussion lorsqu'une silhouette se posta devant lui. Il sentit l'hostilité immédiate de la zoomorphe qui lui faisait face.

Maeve: - Un petit bourgeois dans ton genre n’a pas sa place ici.

Ealing se tendit et regarda son éleveur: (regard: je la croque?)

L'anarchiste flatta son chat doucement, très doucement: (toucher: attend mon signal)

Zaranarch: - Je ne suis pas un petit bourgeois mais un artiste qui se couvre de pré jugés pour suciter les émotions les plus vives. J'ai atteint ton coeur de tigresse. Tu m'en vois réjouis. Mais je suis ici pour trinquer et connaître des gens qui sont intéressants.

Maeve bouscula Zaranarch et continua vers la sortie.

Zaranarch: - Tu as passé le test. Le deuxième est de faire mieux connaissance. Laisse moi t'offrir un verre pour appaiser ta colère. Je connais bien le fureur qui anime ceux qui boivent pour éteindre le feu qu'une vision abrase. Je ne suis pas l'ennemi que tu crois.

Maeve étant toujours sur son élan vers la sortie, le "Zar" se tourna vers la première inconnue qui observait toujours ses gestes.

Zaranarch: - Bonsoir. (sourire) Je suis nouveau dans le quartier et il semble que vous soyez seule. Aimeriez-vous de la bonne compagnie pour discuter? Je cherche à connaître des personnes bien intentionnées pour m'établir.

Le "Zar" cherchait un moyen de briser la glace.

Zaranarch: (Parle à voix plus basse avec complicité). Ealing (pointe le chat) m'a demandé de venir vous voir parce qu'il est trop gêné. Faîtes-lui plaisir.

Ealing:...(regard: pourquoi elle me regarde en souriant?)

Dezba ne manqua la jeune femme qui poussa l'homme étrange à la porte. Elle suivit la conversation de loin mais remarqua bien que le "Zar" l'avait remarqué. Dezba n'était pas a sa place elle à l'auberge des mercenaires... pas du tout... La jeune femme pensa a trouver une place où dormir mieux que l'endroit où elle était en ce moment.

Il s'envint vers elle et lui adressa la parole.. Dommage mec... elle aussi elle vient d'arriver.. D'un geste elle lui désigna la chaise...

-J'espère que vous n'êtes pas aussi gênée que votre "Ealing". Prenez place... mais malheureusement pour vous j'arrive moi aussi... je ne pourrais pas vous aider...

- Je ne suis pas un petit bourgeois mais un artiste qui se couvre de pré jugés pour suciter les émotions les plus vives. J'ai atteint ton coeur de tigresse. Tu m'en vois réjouis. Mais je suis ici pour trinquer et connaître des gens qui sont intéressants. Tu as passé le test. Le deuxième est de faire mieux connaissance. Laisse moi t'offrir un verre pour appaiser ta colère. Je connais bien le fureur qui anime ceux qui boivent pour éteindre le feu qu'une vision abrase. Je ne suis pas l'ennemi que tu crois.



La zoomorphe féline stoppa net, elle se retourna et elle observas pendent plusieurs secondes l’homme parler à l’autre fille. Elle soupiras, l’homme avait piqué sa curiosité. Elle se forças à ce calmer, ce qui était plutôt dure avec l’alcool qui fessait effet encore. Le jeune mercenaire soupira encore puis elle s’approcha des deux humains et ce même si sa ne l’enchante pas vraiment.



-J'espère que vous n'êtes pas aussi gênée que votre "Ealing". Prenez place... mais malheureusement pour vous j'arrive moi aussi... je ne pourrais pas vous aider...



Maeve prit une chasse et elle s’assit entre les deux inconnus. La mercenaire tentait du mieux qu’elle le pouvait pour contrôler sa colère, sa curiosité fini par prendre le dessus.



- Qui est-tu alors, dit-elle en posent son regard sur Zaranarch.



Elle détourna le regard pour observer pendent quelque seconde l’autre fille puis elle dit en reportent son attention vers Zaranarch.


- À ce que je vois, je ne suis pas la seule à être arriver ici récemment.

Le "Zar" jeta un oeil tour à tour sur la chaise pointée et l'air indifférent de Dezba.

Dezba: -J'espère que vous n'êtes pas aussi gênée que votre "Ealing". Prenez place... mais malheureusement pour vous j'arrive moi aussi... je ne pourrais pas vous aider...

Le cirquien tira la chaise en face de Dezba et repoussa sa cape pour s'installer confortablement tout en déposant son chapeau sur la table.

Zaranarch: - Hé bien pour ce qui est de la gêne, j'ai eu mon baptême de feu. Je suis allé dans une auberge remplit de mercenaires, je me suis fais dévisager par une femme étrange aux airs blasés (l'anarchiste arqua un sourcil et sourit en coin) et je me suis fait pointer la sortie par une tigresse qui avait l'air de vouloir me casser en deux. Je m'en sors pas trop mal je crois.

Le "Zar" envoya un sourire qui voulait dire: détend toi, je veux juste jaser.

La tigresse revint et prit la chaise sur les flancs des deux interlocuteurs.

Maeve: - Qui est-tu alors, dit-elle en posent son regard sur Zaranarch.

La zoomorphe ajouta un commentaire sur la nouvelle arrivée de Dezba qui leur était un trait commun.

Zaranarch: - On m'appel Zaranarch. Vous pouvez m'appeler "Z" (prononcé "Zed") si vous voulez. Je suis heureux que le destin m'ait guidé vers des gens qui sont nouveaux et qui sont donc alertes aux nouvelles opportunités. Je suis dans cet auberge pour chercher de l'aide dans un projet d'aventure qui sort de l'ordinaire. Je me suis dit que ce serait le bon endroit puisque les gens qui ont une destiné en proie au chaos se réfugient ici pour faire le point. C'est du moins ce que je lis sur tous les visages que j'ai croisé jusqu'à présent, de la porte d'entrée à cette table. Vous ne semblez pas faire exception. Pas plus que moi.

D'où venez vous et que faites vous ici? Faisons connaissance dans notre infortune. Prendriez vous à boire? moi j'ai soif.

Le "Zar" fit signe à la serveuse pour qu'elle vienne prendre une commande.

Décidément ce district était un panier percé... ce n'était pas des gens du district 11 et tout deux semblaient dire qu'il venait aussi d'arriver. Cependant, ce n'était pas coutume de voir des nouveaux dans des districts... Dezba observa tout ce qui se passa et se demanda si elle avait vraiment sa place dans cette situation...

D'où sortait-elle? Elle était bizarre... Dezba n'avait jamais aimé les zoomorphes... elle en avait un peu peur. Certes elle avait apprit a vivre avec mais elle ne voulait pas savoir comment ils étaient en venu a devenir comme ça au fil du temps... maudite évolution...

Lorsque la dite femme prit le siège entre les deux interlocuteurs, Dezba décala un peu sa chaise.. L'art de violer la bulle de quelqu'un... pourquoi avait-elle prit une chambre dans une auberge de mercenaire aussi.. Elle était quand même habitué a un semblant de vie rangé... de médic...

Tout ce qu'elle trouva a répondre a tout ceci fut cela..

-Du chaos j'en cherche pas moi Monsieur... je cherchais a me restauré et a tenter de m'établir ici... l'aventure.. si elle peut prendre des vacances pour moi j'apprécierai pour un ou deux jours...

Elle toisa Maeve et Zed un instant... tout en faisant signe à la serveuse qu'elle ne voulait rien de plus.

-Vous savez je peux vous laisser ma table, je me sens de trop dans cette conversation et... je dois aller rencontrer quelqu'un... dit-elle en fouillant dans sa bourse pour pouvoir laisser un pourboire..

Zaranarch observa Dezba. Il était habitué de comprendre les motivations des gens et de "lire" l'aura de ceux qu'il croisait. La médic était prisonnière du chaos et non pas l'un de ces êtres qui l'embrassent pour s'en servir de tremplin.

Zed: - Et bien, ...(pause), je crois que la fatigue et le stress peuvent avoir raison de tout le monde. Je voulais simplement me divertir et nous trouver des intérêts communs si cela était du domaine du possible. La solitude provoque le même froid à toutes les âmes. Mais parfois elle permet aussi de méditer pour nous rappeler nos principes, ceux qui nous permettent d'avancer.

Si cette solitude te fait si cruellement défaut, alors je te recommande de la prendre. Je sens une vive tension en toi. Je n'ai pas envi d'être le catalyseur de tes idées noirs parce que j'ai un mauvais "timing".

Le "Zar" se leva.

Zed: - Je te pris de m'excuser d'avoir mépris ta curiosité pour de l'intérêt. Je te laisse ta table. Je suis à l'auberge pour un bon moment encore. Si tu cherches des infos, j'ai une oreille un peu partout. Si tu cherches à faire connaissance, je ne prend pas mal le message que tu m'envois. Je crois que tu dois avoir une bonne raison.

Ealing se leva avec une interrogation sur la destination. L'anarchiste observa Maeve avec un sourire pour rattraper le coup.

Zed: - Je te propose de changer de table. J'aurai un grand plaisir à échanger avec toi si tu en as toujours envie.

Maeve avait écouté en silence la conversation, elle observait la fille, qui semblait déranger par la présence de la zoomorphe.



- Je te propose de changer de table. J'aurai un grand plaisir à échanger avec toi si tu en as toujours envie.



Elle posa son regard sur Zed, puis elle se leva. Maeve reporta son attention vers l’humaine. Elle mit sa main sur la table, la mercenaire se pencha vers Dezba.



- Tu n'as pas à avoir peur, je ne mords pas… encore, dit-elle en ricana légèrement.


Sur ce la jeune mercenaire s’éloigna, elle alla s’assoire à sa table, qu’elle avait laissé quelque instant plutôt, dans le fond de la salle. Elle attendit que Zaranarch vienne la rejoindre.

Zaranarch atteint la table de la féline.

Z: - Tu connais mon nom mais je ne connais toujours pas le tiens. Comment t'appelles-tu?

Le "Zar" paya sa consommation à la serveuse et offrit de payer le verre à la tigresse. Il avait commandé de une tasse de caféine au rhum brun. Un mélange de conscrit. Il sirota le liquide tiède, ferma les yeux pour mieux goûter et les rouvrit théâtralement en abaissant la tasse pour créer une aura de "révèle moi tout".

Z: - Tu es nouvelle dans le district? J'ai déjà travaillé aux frontières. Les gens qui traversent les étendues bravent des cataclysmes. D'aucun de ces "braves" que j'ai croisé n'ont entreprit la traversée pour une autre raison que le désespoir. L'utopie de recommencé à zéro: le mirage que ceux-ci recherchait. Qu'est-ce qui t'as poussé à refaire ta vie au district 6?

L'anarchiste se demandait quelle genre de réponse il obtiendrait et espérait ne pas frapper un mur comme avec Dezba. Il préparait aussi ses réponses, car il était conscient que les infos de ce genre étaient donnant-donnant.

Zaranarch écouta la zoomorphe avec attention. Il remarqua que la mort de celui que Maeve devait protégé l'avait traumatisé. Était-ce pour le déshonneur de l'échec ou la vengeance d'un parent qui reprochait à la tigresse d'avoir échoué dans sa tâche? Le "Zar" devrait faire preuve d'empathie pour le savoir.

Maeve: - Toi, pourquoi tu es ici, dit-elle en reportent son attention ver zed, et dit moi, qu’elle est ce projet qui sort de l’ordinaire?

Z: - Je suis ici parce que je ne parviens pas à tolérer le chemin qu'on m'a tracé. Je suis originaire du district, mais issue d'un groupe que je déteste. Je suis devenu cirquien pour fuir mes obligations sociales.

L'anarchiste sirotait. Il avait peur de trop parler. Son passé pesait lourd sur sa conscience. La souffrance qu'il avait infligé à sa famille était comme un dessert, mais la peur qu'on le prive de sa vengeance le rendait incertain.

Z: - Mon projet consiste à monter les échelons du district à la vitesse d'une fusée pour me nicher, moi et ceux qui me suivront, dans une position sociale qui nous donnera la liberté. De ce nid d'aigle j'ai quelques révolutions à faire. Pour l'instant je ne suis rien, mais je sais que j'ai les mains et les pieds liés. Je veux donc briser mes chaînes. C'est pourquoi je recherche des gens qui ont la force de faire la différence, mais qui n'ont rien à perdre puisqu'ils sont tombés au fond du puits.

Zaranarch observa la réaction de la tigresse avant de poursuivre. À quoi bon se compromettre davantage si la réponse était pour être négative?

Z: Qu'est-ce qui te trouble autant dans la mort de ton maître. Je suis discret, mais j'aime savoir que je peux faire confiance à mes amis.

- Je suis ici parce que je ne parviens pas à tolérer le chemin qu'on m'a tracé. Je suis originaire du district, mais issue d'un groupe que je déteste. Je suis devenu cirquien pour fuir mes obligations sociales. Mon projet consiste à monter les échelons du district à la vitesse d'une fusée pour me nicher, moi et ceux qui me suivront, dans une position sociale qui nous donnera la liberté. De ce nid d'aigle j'ai quelques révolutions à faire. Pour l'instant je ne suis rien, mais je sais que j'ai les mains et les pieds liés. Je veux donc briser mes chaînes. C'est pourquoi je recherche des gens qui ont la force de faire la différence, mais qui n'ont rien à perdre puisqu'ils sont tombés au fond du puits.



Maeve avait écouté Zed parler en silence, elle s’accota sur le dossier de sa chaise tout en croissent les bras sur sa poitrine. La zoomorphe réfléchissait, pouvait-elle faire confiance à cet humain? Elle ne savait pas trop quoi en penser, la mercenaire fut tiré de ses panser par la voie du cirquien.



- Qu'est-ce qui te trouble autant dans la mort de ton maître. Je suis discret, mais j'aime savoir que je peux faire confiance à mes amis.



La tigresse accota ses coudes sur la table, devait-elle dire la vérité? Elle soupira légèrement, à quoi bon ne rien dire, elle en avait déjà trop dit.



- J’ais tué le fils du maître, celui que je devais protéger, dit-elle d'une voie calme.



Elle se leva avants d’ajouté.



- Si ton projet consiste à faire tomber l’inquisition et tous ceux qui se croient tout permit, tu peu compter sur moi.



Maeve contourna la table, elle s’arrêta au coté de Zaranarch, elle se pencha légèrement vers l’humain puis elle dit lentement.



- Tu peu me faire confiance, je fais bien mon boulot.


Sur ce, la zoomorphe féline se dirigea lentement vers la sortit. Elle ne savait pas si Zed voulait ajouter quelque chose, alors elle regarda par-dessus son épaule, pour voir s’il la stoppait avants de sortire de l’auberge.

Le "Zar" sourit de satisfaction. La tigresse était sur son départ, alors que le cirquien tourna le visage vers la trajectoire de la mercenaire.

Z: Où puis-je te trouver facilement lorsque j'aurai besoin de ton aide? Et à quel prix?

Après le départ de la féline. L'anarchiste réfléchit. Maeve avait tué le fils de son maître. Elle n'avait pas été dans les détails. Était-ce à cause d'une rage caractéristiques des gros félins à l'odeur du sang? Il devrait ré aborder le sujet un jour. La puissance de la mercenaire et son désir d'aider était sincère, mais son démon intérieur serait à surveiller.