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| Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} | |
| | Auteur | Message |
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Zack Liams
Messages : 49 Date d'inscription : 05/01/2012 Age : 32 Localisation : Valcartier/val-bélaire(Québec) et Borden(Ontario)
| Sujet: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 1:18 | |
| *Liiiiiie too mee.... Tell me every thing is alrii-iight! Liiiie too me...*
Une vieille chanson qu'on aurait pu qualifié de «country». Bah ouais, je feel comme ça se soir, cowboy dans l'âme. Je suis pas né a la bonne époque moi, au moins l'oncle sam est toujours avec moi, longue vie au armes a feu et a tout les machins qui explose. Nah, je suis pas chaud. Pas encore. Mais disons que je commence quand même a être réchauffer. Ce soir, on part a la chasse... Vaut mieux avoir déjà un petit fond avant d'aller au bar, ça coûte foutrement chère sinon... Ils ont tendance a couper leurs alcools avec de l'eau en plus, sa prend des millions de verre avant de commencer a être saoul...
J'ai pas l'argent pour des millions de verre, si après trois vodka dry je suis pas complètement bourré, c'est peine perdu. La musique résonne dans les écouteurs de mon vieux lecteur CD, doit être le seul machin que j'ai qui a un peu de valeur, a par mes armes. Mais ça, c'est une autre pairs de manches. Bien décidée a ajouter une petite culotte rose a ma collection ce soir, mais je me fais pas trop d'attente, j'suis un renard d'un mètre quatre-vingt, j'ai autant de chance que de faire un abat au quille avec les bras en moins. Peut importe, y'a surement des prix de participation, du genre la grosse moche trop saoule dans le coin qui danse sur le rythme d'une chanson qui a arrêter de jouer il y a cinq minute. Toujours moyen d'aller danser avec elle dans l'espoirs qu'elle me paye un verre pour ensuite lui faire savoir qu'on joue pas dans la même ligue. Ouais c'est comme ça que je fonctionne, je suis un tarée doubler d'un sans coeur, mais je suis surtout plus pauvre qu'un itinérant.
Bang, je suis arriver. Une discothèque? Baaah, ça où autre chose, je vais finir la soirée bien rond dans mon lit de toute manière. Je pousse la porte. De vieux jeans troué, un chandail au rebord usée et le tout compléter par des vieux soulier qui on dû faire la guerre avant ma naissance. Ouep, je suis prêt pour l'action.
En deux enjambé, me voila un bar avec un double vodka jus d'orange en main, appuyer sur le comptoir comme un champion, guettant une proie...
Dernière édition par Zack Liams le Ven 16 Mar - 17:21, édité 1 fois | |
| | | Ophélia O'Cunagan
Messages : 117 Date d'inscription : 09/01/2012
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 2:19 | |
| https://www.youtube.com/watch?v=aWACcOs1Q84&feature=BFa&list=PL99078A87FD279CF7&lf=BFpD'un coup les lumière se tamisèrent toutes. La musique habituellement forte de la discothèque fut fermer. Autour le silence doucement dans la salle prennait sa place pendant qu'une musique douce fait de violon venait prendre son envole au lieux du thecno vosiférent. Les lumières de la discothèque qui avait toute les couleurs affichaient a présent que des teintes douce de bleus et de blanc. Sur une passerelle surplombant le bar et une parti du dancefloor plusieurs spot se fixèrent comme des mirador. Apparut un ne sait trop d’où au bout de cette scène au déçu de la foule qui dansait il y a peu se trouvait une femme. Elle portait un étrange ''bikini'' fait de voilage blanc qui détonnait sur sa peau noir d'ébene. Deux voile était attacher a ces poignets et rejoignait son dos. Autour d'elle et sur une parti de la scène commença a tomber des paillette de papier blanc comme de la neige. Au bruit des violons plus fort elle commença une danse douce. Tout en mouvement ondulatoire comme si un charmeur de serpent avait usé des cordes d'un violon pour la faire bouger elle. Pantin d'onyx sous le fil de la douce musique. Elle s'en allait tournant sur elle même dans une valse solitaire et éperdu. Oiseau relâchée dans un monde froid et morne elle marqua une pose au milieux de cette longue, mais étroite scène. https://www.youtube.com/watch?v=y1kjxGr_xQw&feature=BFa&list=PL99078A87FD279CF7&lf=BFpElle s,abaissa puis au premier bruit de percution entamma une danse bien plus dynamique. Elle commença par animé la foule en faisant lever ces bras au rythme des percutions et laissant son bassin suivre également dans des mimique parfois agicheur. Son corps vivait d'une autre énergie survolté. Geste sacarder et acrobatie comlexe commençait a s'enchainer suivant la mélodie d,une musique toujours de plus en plus rapide. Ces pieds devenue deux petite feux survolté ne touchais la scène que quelque fraction de seconde au rythme des percutions excessivement synchronisée. Baladi, hip hop et free style s’enchainèrent ces main et ces pieds étaient les percutions que la mutante cornu suivait avant qu'elle ne se stoppe une seconde fois mouillé de sueur et haletante. https://www.youtube.com/watch?v=SBwk6UzFK2Y&feature=autoplay&list=PL99078A87FD279CF7&lf=BFp&playnext=1Elle était rendu au rond que formait le bar et se releva pour un étrange début de tango solitaire. Suivant les accents de la musique elle y allait tout en sensualité. Elle avait été innocence puis violence, maintenant elle n'était que femme. Ophélia laissait aller ces longs voiles blanc pour cacher par moment son corps à la vue ajoutant regard mystérieux et perçant au sourire doux et provocateur. La danseuse faisait son numéro qui envoutait une parti de l’auditoire venu pour voir se beau du district. À l'aise la scène n'était que pour elle, ces pieds nue et son corps. Ces cheveux volait autour d'elle a chaque arabesque et chaque arqué tombant sur ces cornes finalement peinte d'argenté. Ces courbes généreuses tel des fruits murs se voyait mettre en valeur lors d'un mouvement de bras ou d'une torsion adroite du dos. La musique se tut enfin et c'est après un tonerre d'exclamation que la musique et le brouhaha de la discothèque repris. La mutante descendit de la scène par un petit escalier placer derrière le bar et vient récolter elle même en marchant doucement sur le large bar les recette de son travail. Loin d'être snobinarde elle remerciait chaleureusement et réellement les gens qui lui donnait quelque crédit. Comme ce qu'elle était la femme de joie s'abaissait par moment pour donner au mains salaces leurs dut et prendre un dut. Elle approcha du renard toujours pied nue et tenue volage. | |
| | | Zack Liams
Messages : 49 Date d'inscription : 05/01/2012 Age : 32 Localisation : Valcartier/val-bélaire(Québec) et Borden(Ontario)
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 3:43 | |
| La musique stoppa tout d'un coup... S'quoi s'bar bizarre? Du violon maintenant... Merde, je crois que j'ai manqué le panneau indiquant « concert de mozzart». Mais bon, bien vite mes yeux se porte vers la créature qui est a l'origine de tout se tapage. D'accord, venant de ça, je serais prêt écouter du Céline Dion sur un vieux vinyle qui saute et qui grince... Elle vas me faire avoir une émotion cette demoiselle la, habiller comme ça...
De fin filet de tissus qui laisse imaginer la chairs sous ceux ci... Et de l'imagination, ça j'en est. Et j'ai pas besoin de beaucoup plus pour imaginer mes doigts glisser le long de cette peau exotique, amère, mystérieuse... Une déesse ondulant au rythme des cordes que l'on caresse avec autant de soin que ceux porter a un amant secret... Et c'est avec autant d'attention que je m'imaginerais frôler cette peau d'ébène, goûter ses hanches qui bouge de manière hypnotisante, comme un pendule entre les doigts d'un brillant illusionniste. Cette femme elle pourrait me ruiner en claquant des doigts et dans son regard, dans ses yeux je peux facilement lire que je ne suis pas le premier a tomber dans le piège de la veuve noire. On sait tous que le venin est mortel, pourtant la caresse d'un baisé, la sensualité de la mante religieuse, n'importe quel mâle y succombe, tôt ou tard...
Les violons on stopper, le charme est brisé. Mais ce n'est que partis remise. Baissée comme dans une révérence victorienne qui semblait de mèche avec les violons, je pu me régaler d'un galbe alléchant, des cuisses interminable dans lesquels j'aurais payer chère pour enfoncer mes crocs... Cette peau, j'en avait jamais vu de semblable. Peu importe le type de drogue que l'on refourguait par ici, la mienne c'était celle la. Une silhouette sans défaut, des courbes divine, un déhanchement sans égale et mon coeur est a vous...Et mes crédits.
Après les violons, les tambours. Il résonne dans ma cage thoracique comme si c'était mon coeur qui faisait les percutions sur mes côtes.... Et le pantins s'anime, les cordes la tire d'un bord et de l'autre, suivit avec une attention assidue par deux pupilles émeraudes. Si elle est animée par la musique, moi c'est ses hanches qui m'anime, qui enflamme mon bas ventre qui palpite au rythme des tambours. Mes doigts s'anime sur le comptoir, battant le rythme en symbiose avec le bassins gourmands de la reine qui met le feu a la scène.
Les lumières font luire cette peau sombre, la sueur... Elle doit avoir le goût salé de la mer, l'odeur enivrante de l'effort, du dévouement... La bouche entrouverte, son souffle chaud exhume le gaz carbonique qui brûle les poumons de la créature, mais ce n'est pas ça qui va l'arrêter, la voila repartis pour une autre valse solitaire. Nah, pas solitaire, mes rêves l'accompagne, et elle danse sur ceux si, les animant, les enflammant. Je ne suis pas le seul a la regarder se mouvoir, mais pourtant rien d'autre existe, rien d'autre ne pourrait ce mettre en elle et moi, nah, il n'y a qu'elle et rien d'autre. C'est mon image que je voudrais imprimer derrière les paupières close de cette déesse, mon souffle qui ne demande qu'à se mélanger au sien... La musique arrête et la reine descend de son trône, se déhanchant a travers les crédits et les désirs.
Que se sois voulu ou non, c'est vers moi que ce dirige Ophelia, et je me permet a rêver que c'est moi qu'elle a aperçue a travers le brouillard de la fumé et des délices de la chairs, de la chaleur de son palais fantasque. Et je lui tend la mains... Bourré de quelque crédit et d'une poignée de promesse d'une nuit plus longue.
-Est-ce que la reine m'accorderais une danse? Ou devrais-je faire un sacrifice humain en offrande a une déesse sombre au regard hypnotique?
Un sourire ce dessine au coin de mes lèvres alors que je commande un verre a la dame. Pas de nom, pas d'âge, pas d'information... Seulement ce que l'on sait du premier regard, seulement des désirs et des fantasme... J'ai envie d'elle, et je ne le cache pas. | |
| | | Ophélia O'Cunagan
Messages : 117 Date d'inscription : 09/01/2012
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 4:38 | |
| Ophélia prit doucement le payment fait pas le renard avec un large sourire de remercimant. Mieux encore la mutante cornu en était reconnaissante. Sa vie se résumait à cela. Comme un drogué avait besoin de sa doppe Ophélia avait besoin de cette argent. Suis-je avaricieuse? non pas le moins du monde, mais dans le monde dure ou nous sommes sans crédit je ne suis rien et je ne vivrais pas longtemps...
La question du zoomorphe la surprit légèrement. Non pas qu'elle en fut dégouté ou déranger, mais la manière d'approche était beaucoup moins ''cavalière'' et presque poétique fit s'élargir son sourire. Avait-elle trouver une personne de bonne compagnie pour la soiré? Peut-être... Il resterait à voir.
Je ne suis point reine de cette endroit cependant je consens monsieur Renard à vous en concédez une après ce tour de bar.
La mutante avant de lâcher la main qui lui permettrais de payer son loyer posa ces lèvres au fin gloss translucide sur les doigts de son interlocuteur en un fin baisser.
Je reviens ne mourrez pas d'impatience.
Dit-elle en se relevant pour continuer son parcourt. Ophélia eut un clin d'oeil pour Zack avant de se retourner et de donner attention au autre bougre qui attendait veinement leurs tour pour recevoir l'attention de la mutante. Elle continua ainsi à marcher sur le bar qu'elle avait fait a moitié déjà a la hauteur du renard. Cela semblait à une procession ou la mutante s'abaissait par moment échangeait quelque mot avec certaine personne parfois a 2 reprise embrassa t'elle sur la joue un autre zoomorphe et un humain comme si ceux-là était des habituer...peut-être des amis?
Le renard la perdit de vu un moment quand elle fut de l'autre côté du bar et ensuite s'écoula de longue minute. Plus de 15 sans aucune nouvelle de la mutante. Cependant elle ne l'avait pas laisser en plan une ombre passa sur son côté et au lieu de prendre la chaise déjà pris a côté du zoomorphe c'est une Ophélia en chemise de nuit satiné rouge et courte qui apparue assise au bar. Au pied de long escarpin de vinyle rouge et deux bas jarretelles de la même couleur avec une dentelle blanche.
Pardonnez moi c'était le bordel en coulisse.
Elle vient prendre son verre délicatement le leva au niveau de son visage en guise de merci et pinça la paille entre ces lèvres pour dégusté l'alcool.
Ainsi vous voudriez une danse avec moi? Sur le Dancefloor ou
Ophélia eut un sourire.
Ailleurs? Peut-être un des rooms fermé? Cependant cela n'est pas donnée.
Elle était à l'aise, très à l'aise. Son métier c'était de vendre du rêve, de combler les envie des hommes. Alors la gène ou le dégout sur l'état d'une personne n'existait pas pour la mutante. Tous avait droit au rêve sans exception. | |
| | | Zack Liams
Messages : 49 Date d'inscription : 05/01/2012 Age : 32 Localisation : Valcartier/val-bélaire(Québec) et Borden(Ontario)
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 13:11 | |
| Un large sourire, ses doigts effleure les miens et pouf... Plus de crédit. Je crois que je vais devoir demander une avance sur ma paye après cet soirée, sinon je vais manger du beurre d'arachide pour le reste de la semaine. Bon, c'est pas si cher payer pour se jeter entre les griffes de la prédatrice. Et ouais, je suis passer de prédateur a proie, peu importe, le résultat serait le même sauf que celui qui se ferais baisé en bout de ligne, c'est moi. Quel importance? Elle m'a accordé déjà plus que ce que j'aurais pu désiré et la suite s’annonçait prometteuse.
-Je ne suis point reine de cette endroit cependant je consens monsieur Renard à vous en concédez une après ce tour de bar.
Ha ouais, elle veut bien danser après que les crédits est finit de pleuvoir. La veuve noire a trouvé sa proie... Une proie moins désespérer que l'on pourrait le pensé, mais tout de même un peu. Cette suceuse de sang savait plantée ses crocs...
-Sans être celle d'ici, vous serez la mienne... Ce soir, j'ai envie d'être votre vassal.
Elle disparaît, réa-parait, fendant la foule comme si l'endroit était sien, mes yeux suivent le balancier de ses hanches, le roulements rythmer d'un bassin juste assez fin pour que mes pattes puissent pratiquement le ceinturer parfaitement. Petite balade dans les près ou ardant rodéo? Les deux peut-être, je suis un cowboy, mais c'est pas moi qui va faire la chevauché cette nuit... Je me fais des illusions, peut-être, mais l'espoir fait vivre, et dans ma vie pourrie, c'est le seul réconfort qui me reste. Ce vampire est mon étoile filante ce soir, fendant les ténèbres en laissant une traînée de clients échouer, perdu dans les lumières diffuse et multicolore qui balaye la foule d'épave en perdition. Parce que l'étoile ne choisit qu'une seule épave pour la remorquée hors de l'océan d'alcool, de drogue et rêves. Désillusion et fantasme, c'est de ça qu'on se nourrit lorsque l'on a écouler tout les crédits dans l'alcool de mauvaise qualité, les danses aguicheuse et les chimères qui font oublier le puits sans fond dans lequel on s'enfonce... Mais ce soir, la maîtresse des eaux ma offert une bouée de sauvetage, évitant le naufrage de peu. Loin d'elle pourtant, je suis aussi déchue que les pauvres diable qui m'entoure, qui lui on offert un sourire et une poignée de crédits dans l'espoirs de la chevauché, de cueillir la rose, goûter le nectar.
Les minutes passent, les secondes s'écoule et semble s'éternisé, s'allonger, s'étirer et le fond de mon verre décolore a vu d'oeil, et je finis rapidement par voir mes vieilles godasse a travers celui ci.
-Vodka double, sans glace.
Enfin, l'odeur... La sueur, l'odeur braisé de ses cheveux, sauvage et dangereux, l'odeur de la prédatrice imprimer dans ses gênes. La veuve noire était revenue après avoir tissée la toile dans laquelle la mouche finirait son vol. Et la mouche, ça c'est moi, indescriptiblement attirer par les phéromones qui font onduler l'air autour de cette actrice qui de manière théâtrale attire, débouille, vol sans la moindre rancœur, sans état d'âme. Parce les émotions et les sentiments ne font pas bon ménages avec l'argent facile et les plaisirs de la chairs. Les yeux clos, je sens une vague passer tout près, mes doigts s'autorise un simple effleurement, un bref toucher, une cuisses effleurer... Sa peau est aussi douce qu'elle en a l'air, parfumée et encore recouverte d'une mince couche d'eau, résidu d'un spectacle des plus envoûtant. Après cette nuit, je serais sans le sous, aussi seul qu'avant, de nouveau un résidu dans un appartement minable. Vendre son âme pour une poignée d'illusion. Mon âme est déjà noire, souillée par le désirs et l'addiction. Ma bouée de sauvetage est en faites une trappe a sourie et le fromage est empoisonner. Je suis damné par une force invisible, qui grouille a l'intérieur, me dévorant sans le moindres scrupule. Pas un dieu, nah, pas un comme on l'entend du moins. C'est le désirs, les plaisirs de caresser le corps nue d'une femme qui nous sait a sa merci... J'ai plusieurs regret dans la vie, mais succombé a mes vices n'en est pas un.
Une petite robe a moitié transparente, le rouge contrastant avec le noir de cette peau. Des jambes si longue qu'il me faudrait les cartographier, et je prévois plus d'une nuit pour ça... Rouge... La couleur du sang. Et je vais en être couvert moi aussi, car elle va me saigner a blanc. La toile est tissé, ma tête est sous la guillotine et ma mort est programmer. Mon bourreau est une mutante qui émane une odeur de souffre, le démon incarner entre des cuisses féline.
-Pardonnez moi c'était le bordel en coulisse.
La musique trop forte font grésillé les mots, les oreilles fine du canins capte tout de même les vibrations de cette petite étoiles filante. Elle fend la noirceur jusqu'à pénétrer mon être et elle me propose finalement cette danse fatidique, après la bouée de sauvetage, elle vas me calé la tête sous l'eau jusqu'à la noyade pour me laisser ensuite m'échoué sur le berge pour passer au prochains requin la nuit suivante, le réduisant a l'état de poissons rouge, prisonnier d'un bocal cristallin.
-Ainsi vous voudriez une danse avec moi? Sur le Dancefloor ou...
Un sourire enjôleur, promesse silencieuse, baisé mortel de la veuve. Des yeux perçants, qui ne voient en moins qu'une distributrice a crédits. Déçue elle sera a la fin de la nuit, elle ne fera pas sa fortune avec le pauvre diable que je suis, vivant sur le crédit, sur les avances d'une bien maigre paye, dépensant chaque petit crédit en chimère, dans l'éphémère d'un lendemain sans avenir. Qu'est-ce qu'elle en sait? Je ne suis que la proie qui c'est emmêler dans sa toile. Et demain matin, je vais émerger d'un lit en espérant être mort qu'endurer le mal de tête de l'alcool de mauvaise qualité, empestant les effluves d'une soirée à dépasser les barrières, a défoncer les limites. Son parfums sera imprimer dans ma fourrure, le goût salée de sa sueur sur mes lèvres...
De long doigts, des pattes animales ce glissèrent entre les doigts de la marionnettiste, s'abandonnant dans le théâtre macabre de la mante. Ma tête vas rouler a la fin de la soirée, mais peut importe. On vit au jours le jours.
-Ailleurs? Peut-être un des rooms fermé? Cependant cela n'est pas donnée.
Bien sur, ça serais beaucoup trop simple si c'était donner.... Et voila, encore une liasse de crédit envoler. Ailleurs... Ailleurs comme dans un lit, les toilettes, le bar... Nah, pas toute de suite, il faut laisser les choses aller. Mon corps est sec, le sien suinte... Le désirs doit monter, l'envie doit devenir réciproque. Habile actrice, ce n'est qu'un jeu pour elle, elle sait comment faire monté la température, acter les émotions, le désir... Tout est faux dans cette mascarade de convention silencieuse. Jouer le jeu, la laisser nous faire croire qu'elle est notre. Et s'échouer ensuite sur le trottoir, vidé.
Je la suis, ses hanches m'appellent, ses cuisses me susurre miles promesses et mon bas ventre ronronne comme un chat que l'on gratte derrière les oreilles. Le rideau tombe, mais aucun spectateur sur cette scène, seulement un pantins et la reine jouant avec les cordes. Lumières tamisé, ambiance lourde d'une musique qui fait palpité les corps qui s'entrechoque dans un balais fantasmagorique, une valse de cris qui sont réduit a des murmures par les percussions qui animes les corps.
Elle ondule, mes mains se pose sur ses hanches, les redessinant pour les connaître, les aimer, les adulé. Ses mouvements s'imprime dans les miens, mon bassins mime le sien. Ses fesses caresses mon âme, mes doigts glisses le long de ses cuisses. Mes yeux son clos, mais je la vois, elle est derrière mes paupières, comment l'oublié? Mon torse contre ses omoplates, mon nez laisse les effluves de la démone nourrir les fantasmes. Le prédateur, la proie, nous échangeons les rôles, son odeurs est graver dans mon être et je pourrais la retrouver n'importe où, mais elle, elle manipule mon être comme une vulgaire poupée de chiffon, je suis a sa merci. Mais je m'en fou, je suis sa marionnette ce soir, et je m'y abandonne. Après ce bref combat, je lui laisse les reines, ses mains dirigent l’orchestre et je lui souffle les notes qu'elle commande.... | |
| | | Ophélia O'Cunagan
Messages : 117 Date d'inscription : 09/01/2012
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 16:46 | |
| Quand une fois assise au bar et sa question posé la réponse fut une liasse de crédit Ophélia fut un peu surprise. Pas tant par le mouvement que le montant. Intérieurement elle se dit qu'elle devrait rectifier le dire une fois monté puisque c'est ce que voulait son interlocuteur. Se qu'il lui proposait était au déçu de son prix et à moins d'extra...vraiment extra...se qui fit hésiter la mutante un petit instant le renard repartirait avec au moins quelque crédit en poche encore.
Elle vient prendre l'une de ces mains avec douceur et volupté. C'est à ce moment qu'il put remarquer que la mutante portait de long gant de cuir noir ajusté à la perfection. Sur scène on ne les voyaient pas surement un bon travail des éclairagiste et des maquilleurs.
Ophélia entraina Zach dans le dédalle compacte de la folle de la discothèque. Comme l'habitué qu'elle était elle bifurqua sur un côté et présenta un étroit corridor au zoomorphe. A ceux qui s'y connaissait on comprennait rapidement que la discothque avait des passages un peu partout pour éviter les foules. La mutante cornu le guida jusqu'a un escalier en colimaçon qui montait le long d'un mur surplombant le dancefloor. L'escalier était de fer forgé peint de noir était discret et se perdait dans le complexe. Grâce au lumière et au stroboscope on les perdait dans le décor.
Venez c'est par ici
Dit-elle d'une voix enjôleuse et feutré pendant qu'elle commençait a gravir les marche laissant au canin la possibilité de voir le début de la courbe gourmande de ces fesses sous la courte jupette de sa nuisette de satin rouge. Les escarpins de vinyle claquaient à chaque marche sur le métal.
Ils débouchèrent tout deux sur une porte. La mutante vient porter une main vers ces cornes et dans un mouvement bref décrocha une clé qui était cacher dans sa chevelure fournit et blanche. Une fois la clé glisser dans la serrure de la porte elle la poussa l'ouvrant sur un autre corridor plus chaleureux au luminaire de faux cristal et à la tapisserie baroque lourde.
Plus que 3 porte a franchir et sur la gauche ils y étaient cette fois la clé se trouvais dans son cou et creux de ces seins et elle débarra la chambre sur la quel était visible au lieux du nombre une simple araignée de fer argenté au 8 yeux incrusté de pierre de verre couleur onyx.
Un lit poser sur un podium entourer de tapisserie peinte au forme de fleure de cerisier rouge et noir. Un baldequin lourd au rideau de velour noir mis translucide. Le tout éclairer de lampe au abajour chaud donnait a la pièce un lustre et un accent de luxure burlesque.
Dès la porte fermer le Renard se trouvait-il derrière elle à la dévorer des narines et des mains. La mutante jouant le jeux avec une éperdu douceur et une innocence sans borne. Sont travail l'avait-elle fait mille fois ou cinquante? Elle en connaissait tout, mais s'émerveillait à la différence des autres de chaque nuit pour sa différence avec la précédente.
Après ce petit avant gout Ophélia se détacha de lui sans brusquerie.
pardonnez moi je ne voudrait pas brisé votre désir cependant...
Elle fit un tout petite sourire et se dirigeât vers le lit pour prendre un étrange petit menu de cuir rouge qu'elle tendit au zoomorphe.
Ceci est la liste des ''protocoles''. Une thecni-qualité que je vous demande simplement de...lire. Pour ma sécurité et la votre également.
Ophélia était franchement désoler dans son regard d'imposer cela. Cependant elle semblait y tenir fermement. Le document n'était pas bien gros que quelque règle à suivre. La première demandait au payant de porter un moyen de contraception. La deuxième de prévenir de toute maladie la femme a qui il requérait les service. La troisième excluait expressément tout masochisme ou sadisme un symbole de crâne était inscrit a côté avec une annotation d'aller voir cette chambre si le payant avait de tel désir. La quatrième était une description sommaire des quelque extra qui pouvait être ajouter et leur prix. La ciquième était le prix de la ''séance'' qui s’élevait à 100 crédit a peu près la moitié moins que se que proposait le renard.
La mutante s'assit sur le lit en attendant que termine de lire Zack et le petit ''guide''. Elle sortit pendant ce temps des condom de la table de chevet de la quelle elle avait sortir le manu rouge. | |
| | | Zack Liams
Messages : 49 Date d'inscription : 05/01/2012 Age : 32 Localisation : Valcartier/val-bélaire(Québec) et Borden(Ontario)
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 16 Mar - 22:16 | |
| Mes doigts glisses le long de cette peau jusqu'à glisser quelque peu sous l'élastique retenant les jarretelles coller sur ce tapis sombre, macabre tableau sur lequel je peint de la pointe des griffes. Nah, je ne lui ferai pas mal, c'est pas dans mes fantasme. Un dédale de couloirs, d'escalier, de passage «secret» pour arriver jusqu'ici, loin des regards indiscret. Demain, je ne pourrais probablement pas me remémorer le chemin. Demain ou tout a l'heures? La notion du temps, futile et désuette sous la robe de l'araignée, dans la toile tressée dans le vice. On est maintenant, et c'est a cette heure qu'elle s'éloigne de sa démarche féline, langoureusement excitante. Le menu quand a lui appose un baume sur la drogue qui commençait a couler dans mes veines, cette femme en laquelle je deviens accro a la vitesse de l'éclaire. Ma tête, balader de gauche a droite par un rythme que je suis le seul a attendre, mes mains qui ne veulent que toucher, explorer, posséder, des yeux clos qui voit des choses qui ne sont pas présent et un estomac qui fait des acrobatie. C'est ce qu'on fait pour garder conscience, du moins, si on peut appeler sa être conscient. Suivre le bateau, tanguer avec les vagues, c'est comme ça qu'on garde la tête hors de l'eau.
Le menu, je le lis, mais je prend plus de temps que nécessaire pour comprendre les mots. J'ai lu et accepter les conditions d'utilisation. Et pour une fois, ce n'est pas qu'une formalité pour aller plus loin dans l’installation d'un programme. Un sourire simplet glisse sur mes lèvres lorsqu'ils est question de maladie...
-J'ai eu un rhume il y a un mois, mais ne vous en faites pas belle déesse, je suis aller voir le vétérinaire...
Je retire lentement mon chandail en approchant de la sirène qui ma enchanté, attirant le pauvre naufragé que je suis a venir m'échoué sur la gréve. Mon torse est découper, taille moyenne. Pas trop musclé, mais habile. Une constitution me permettant de la faire chanter toute la nuit, des doigts assez habile pour lui faire réciter un vrai concerto. Sans être particulièrement beau, je suis efficace. Ça compense? Les crédits son là pour casser toute réticence. Peut importe de quoi j'ai l'air, tant qu'elle peu repêcher mon portefeuille a la fin. C'est tout ce qui compte a la fin, nah?
-Je prend le forfait tout inclut, peu importe le prix... Et j'apporte mes extra a moi...
Par extra, j'entends la pipe fabriquer en tuyau de plomberie que je sors de ma poche et que je bourre d'une pincer d'herbe au odeur particulière. Elle sait ce que c'est. Du pulse... Ennemis jurer de la marijuana du a son faible coût, ses effets non néfaste pour le corps et l'esprit, sa capacité a passer inaperçu sur n'importe quel test d'urine ou sanguin et ses effets nettement plus intense. Difficile a trouver par exemple, les dealer préfère le pot qui est plus rentable.
Le tuyau métallique entre les dents, j'allume en tirant un premier et long filet de fumé, puis un second sans exhumé le premier. Un, deux, trois, inspire, un, deux, trois, inspire... La fumé brûle mon palais, épaissie ma bave et le goût est exécrable mais je garde tout sa dans ma bouche, fermant les yeux... Les effets ne prennent pas longtemps a se manifesté et la drogue ressort par mes narines, traînant la sensation de brûlure avec elle. Une quinte de toux remonte dans ma gorge, chassant les résidu ayant descendu jusque là.
Je lui tend le petit présent, elle en connaît la qualité. On lessive pas sur la provenance de ses choses la, sinon on finit à faire des bulles dans une flaques de vomis a l’hôpital. Ou on meurt. Elle l'attrape, l'hume avec un sourire et porte l’encens a ses lèvres, imitant avec l'aisance de l'habitude. Inspire, expire, inspire, expire... Mon souffle est grinçant, mes poumons encrasser de résine. J’expulse dans un crachat peu gracieux dans le verre vide qui occupe encore ma main. Loin d'être joli, mais vaut mieux ça que l'hyperventilation. Elle tend la main, prenant le verre pour faire de même avant de le mettre hors de la vue en compagnie de la pipe. Nos sens engourdis par l'alcool et les effluves de la drogue qui coule dans notre sang, l'état presque parfait pour accomplir notre besogne, mais pas tout a fait encore... Plus besoin de mots a partir de maintenant, tout ce passe dans le regard. Son torse tombe comme au ralentie sur le matelas, ses yeux a demi clos. Elle si enfonce légèrement, mais son corps est une plume sur un océans de satin, de dentelle de bonne qualité. Ni trop ferme, ni trop mou, le matelas lui aussi ils ont pas trop regarder la facture. La qualité est rapidement rentabilisé dans l'industrie.
Sa tête roule sur le côté et je la rejoint, grimpant a ses côtés après avoir mit un cd dans le système de son. Un rythme lourd, lent, sale. Guitare, percussions, paroles... Tout est obscène, cru. Déclarant ouvertement ce qui vas se passer dans cette pièce. Mes doigts relève cette nuisette, un tout petit peu... Une culotte blanche... La fausse pureté contrastant avec la nuit sans lune de cette peau. Mes lèvres goût enfin ce ventre que j'effleure, me délectant de cette sueur de la pointe des lèvres. Mes pattes redessine les hanches de cette princesse nocturne alors que ma bouche explore ce ventre plat que je croquerais a pleine dents. Le satin remonte, dévoilant lentement les trésors qu'il cache, l'or d'ébène délicieusement salée. Rondelette, ferme, caché par un mince dessous... Couleur neige, bien sur. Et il vas neiger. Ouais, on annonce une tempête a la discothèque. A l'intérieur... Soulier et bas ne mon pas suivit sur le trône des vices mais mes pantalons cache encore le peu de dignité qui me reste. Je tire un petit sachet des poches du jeans. De la neige dans un emballage plastique. Fin flocon, pur, comme la première neige. La robe de satin s'envole, un décollage animer par un nuage doucereux de caresse attentionnée, plus lente que nécessaire, sensuelle juste a point.
Une ligne redessine les courbes de cette ombre, partant de cette poitrine aguichante jusqu'à la naissance de la gorge. Et mon nez la suis, la faisant disparaître dans un reniflement habile, forger par l'habitude. Seulement pour les grandes occasion, rassurez-vous. L'effet est presque instantané, mon corps revivifié, mes sens son engourdis, mais mon être est brûlant. De quoi passer une nuit longue et enflammer. Pas question de tomber endormis pendant l'acte, ou terminer avant le temps. Nah, cette chevauché durerait tout la nuit et le kamasutra serait réécrit. Redessiner surtout.
A son tour. Je retire mes jeans, roulant sur moi même l'attirant par dessus par la même occasion et je vole le premier baiser, commençant tout en douceur, tout en tendresse. Mais la température vas grimper, mais pour ça, elle doit quitté les demi-songe, le pays des rêves éveiller, me rejoindre dans la jungle enneigé. Je libère ses cette bouche voluptueuse, vidant le reste de la coke sur mon poitrail, l'offrant a ma compagne.
Ma compagne? Ou une femme de joie? Une prostituée, une escorte, une pute... Non. Ophélia est mon phrase a travers la brume des chimères, ma bonne étoile, mon trèfle a quatre feuille... Une flamme noire reluisant dans l'infini perdition d'une nuit sans étoiles. Elle pourrait me demander la terre, je lui ferais miles promesses. Aucune que je ne pourrais remplir, mais j'ai de la volonté qui bouille au creux du ventre, des péchés plein le crâne. Je pourrais vouer un culte a cette vendeuse de rêves. La nuit lui appartiens, plaisir est son deuxième noms. Je ne connais pas le premier. Pour moi, elle est une étoile, reine sans couronne, maîtresse d'un royaumes délimitée l'élastique d'une petite culotte aussi pur qu'un nuage.
Elle imite ce que j'ai fait plutôt, faisant disparaître cette poudre dans son organisme. La voila, elle est grimper au cieux avec moi. Nous volons au dessus de se monde. Ou en dessous? Peut-être bien que c'est une descente au enfer que je nous est offert... Peu importe, c'est deux billets pour les marches de l'orgasme. Une monté qui s'annonce ardue, éreintante, longue... Mais aucunement désagréable. Les lumières tamisé, le mince filet de fumé est encore suspendu dans l'air. Pas de fenêtre, elle est emprisonner ici. Nos corps enlacer se complaise de caresses qui se font de plus en plus complices. On se découvre, s'entre cartographie, se dessinant un plan mental du corps de l'autre. Ce corps, je veux en connaître les moindres recoins, chaque petite parcelle de peau je veux y goûter. Son corps ondule au rythme gras de la musique, au rythme du mien, des sous-vêtement comme seul barrière entre nous...
Et j'aime sauté les barrières, franchir les limites de l'acceptable... Avec le doigté de l'habitude, je dégrafe le rempart recouvrant ce buste au rondeur parfaite d'une seule main, l'autre est trop occuper a jauger le galbe de ce fessier ferme... Ses doigts quand a eu disparaisse sous mon caleçon, effleurant le désir qui frémis en symbiose avec les palpitation de l'air au son des basses. Le vampire deviens la proie et mes crocs s'enfonce légèrement dans la peau de la frêle créature que je tien dans l'étau de mes bras, étouffant un grognement qui avait voulu s'échapper de ma gorge, rauque comme l'envie qui gangrène mon être.
Chaîne documentaire, canal D: documentaire sur les tigres et la chasse dans les grandes plaines enneigé de la Sibérie. En premier plan, un tigre qui s'élance, le prédateur orange et noir filant a travers les branchage, fendant l'air a la vitesse de l'éclaire. La proie? Un cerf. Une femelle cherchant les racines a travers la neige, d'une innocence trompeuse, ce pavanant dans cette étendue blanche infini avec une naïveté feinte. Elle sait ce qu'il vas arriver, comme le prédateur tapit dans l'ombre la nuit tombe, la pénombre les enveloppes. Et bang, showtime... Course effréné, pour les deux animaux, c'est une question de vie ou de mort. L'acide lactique se développe dans les muscles, l'adrénaline inhibe certaine sensation comme la douleur, l'abandon et amplifiant d'autre comme l'envie, le plaisir, le dépassement... Les muscles ses contractes, chacun veut avoir le dessus sur l'autre, mis a nus, les deux individu de race et provenance différente se battent pour gagné. Des petits nuages de poudreuse se lèves lorsque les pattes grattes le sol, mais le cerf n'est pas assez rapide... Ou peut-être qu'elle se laisse attraper? Le tigre prend le dessus, le cerf y consent. Contre-coeur? Peut-être... Pourtant, elle se laisse emporter et ses une mâchoire dure et droite qui pénètre ses chairs de la femelle qui malgré sa fâcheuse position est tout de même sur le dessus, se débattant alors que le tigre la possède, de puissante pattes accrocher solidement au hanches de la femelle. Face a face dans le règne animal, le cerf offre son cou au prédateur bien accrocher, celui ci y enfonce ses crocs, par pour faire couler le sang, nah, seulement avoir le contrôle de la situation. Il la possède et elle s'abandonne a son sort, poussant les gémissements d'agonie, mais la fin est loin d'être proche...
Et c'est son tour de prendre le dessus, mes mains son toujours sur ses hanches, son torse quitte le mien. Le contact de sa poitrine contre mon torse me manque déjà, mais elle ondule. Elle danse sur moi... Son bassins fait des cercles langoureux, sa tête est penchée vers l'arrière comme si elle implorait le ciel pour que tout ne ce finisse pas de si tôt. Ou peut-être bien que c'est moi qui prit tout les dieux pour de tel miracle. Mais cette nuit, tout est possible. J'ai l'impression que je peu voir d'ici les effluves sulfureuse émaner de la bouche entrouverte, vociférant mile et une malédiction. Ou bénédiction? Prière d'une autre époque dans cette danse traditionnelle mais indémodable. Ses paumes a plats sur mes cuisses, son bassins fait tout le travail, des dessinant inlassablement des formes circulaire. La sueur, cette odeur emplis l'air, la sienne, la mienne ne faisant qu'un. La sienne parfumé, plus subtile, la mienne fauve, sauvage. Opposer, complémentaire. Finit, a mon tour de chevaucher. Je suis un cowboy après tout, même si le rôle de cheval ne me déplais pas...
Une main entoure la nuque, l'autre attrapant ce bassins humide. Un coup de rein, elle se retrouve sur le dos, sans que le contact ne sois brisé. Je l'embrasse. Finis la douceur et la tendresse, fougue et désir, aussi brûlant que se qui anime mon bas ventre. Je lui intime de ce placer a quatre pattes. Le murmure des crédits aide mes confidences. A plat ventre, ses cuisses relève deux petits bout de chairs en l'air, offert a mes soins. Mes mains les tâte, les caresses, les aimes? En avant pour une chevaucher non traditionnelle...
Sur le dos d'une belle jument, le cavalier galope a travers les plaines, seul avec la bêtes sous le regard protecteur d'un oeil unique jetant son dévolu argenté sur le couple des plus hétéroclite. Aucune selles, la lune reflète, miroitant lueur d'or blanc sur l'ébène du pelage de la pur sang. Chevauché nocturne, seuls, deux amants de race si différente. Le fessier de la puissante bête fait rebondir le roux, qui si reloge, qui se love a nouveau en son creux, de plus en plus rapide au fils de cette escapade. Les doigts de l'homme s’entremêle dans cette crinière fournie, longue, sauvage, indomptable, si accrochant comme le cancéreux au remède de tout ses maux. Il n'est pas maître de la pur sang, nah, il ne l'a pas dompter, c'est elle qui c'est laisser aimé, apprivoisant l'homme contre toute convention. La balade est longue, éreintante, mais tout deux si abandonnent, leurs corps haletant dans une chorale rauque, chant naturel et symbiotique. Ils ne font qu'un, glissant a travers la nuit en faisant fit du temps qui passe, qui file trop vite. | |
| | | Ophélia O'Cunagan
Messages : 117 Date d'inscription : 09/01/2012
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Sam 17 Mar - 2:56 | |
| Un soupire cette nuit, un parmi tant d'autre pour cette nuit si agitée. Le requiem touchait fin, la drogue se tarissait dans le sang et la fatigue doucement comme un serpent courait le long des veines de la mutante.
Dernière extase son corps se courbant comme le roseau au vent une fois pour toute. Ce laissant tomber visage contre le doux oreiller de plume. Douce nuit, belle et tendre nuit fougueuse et délicieuse ou les parfums des instinct primaire dans l'air s'était créer leur propre balais.
Ophélia était épuiser réellement et tremblante son corps mue par l'énergie et le cocktail d'hormone qui faisait effet. Elle eut un petite rire. Le zoomorphe n'étais pas le plus sexy, la mutante n'était pas fan de poil et les tendance xoophile n'était pas son fort. Mais le contrat avait bien payer et l'homme renard n'était son pire client. Il avait su être tendre grande qualité grandement ne manque dans les chambre de la discothèque.
Après plusieurs minute a reprendre son souffle elle se retourna doucement pour tendre la main jusqu'a sa table de chevet sans bruit. Elle y prit un join et un briquet.
T'es un nouveau toi la discothèque? qu'est-ce qui ta mener jusqu'a nos porte? T'es plus un gamin depuis longtemps et j'ai jamais entnedu parler d'un tendre renard.
La mutante eut un petite rire.
Et crois moi si t'étais déjà passer sa se serait parler entre les filles. Comment tu nomme? Moi c'est Ophélia. Sa te dérange si je fume? Je sais que vous avez le pif fin j'voudrais pas t'incommoder.
Toujours d'une grande aise elle reposa son dos sur la tête de lit. Son corps toujours nue et aletant mouillé de sueur. Sa main se tendit une nouvelle fois pour trouver une brosse dans le tiroir de la table de chevet. La cornu commença a brosser sa crinière blanche. | |
| | | Zack Liams
Messages : 49 Date d'inscription : 05/01/2012 Age : 32 Localisation : Valcartier/val-bélaire(Québec) et Borden(Ontario)
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Sam 17 Mar - 17:19 | |
| Grognement de délivrance dans un dernier soubresaut. Passion, tendresse et désir jusqu'à la fin, explosion contrôler, sans dommages collatéraux. Tout les paramètres on été contrôler. Et de toute façon, je doute qu'une mutante pour enfanté d'un renard... Vaut mieux pas de toute façon, j'aurais de la misère a imager l'enfant qui pourrait en sortir... Un renard avec des cornes? M'ouais, pas trop mal. Sa pourrait être pire. Mais je serais un père exécrable, et elle... Mère? Je ne la connais pas, peut-être bien qu'elle abandonnerais n'importe quoi pour une petite créature qui grouille dans son ventre, peut-être que ce serais qu'une créature négliger, rejet de la société. Peut-être... Ma vie est une suite de peut-être. Ou plutôt le monde qui grouille dans mes songes. Un gros rêves éveiller, tel est mon univers. Des «et si», «Peut-être». Mais on s'en fou. Je pimente ma vie comme ça, c'est tout.
Pas d'enfant, nah, ça c'est clair. Une chasse, deux chevauché, et un petit paquet d'extra, avant qu'Apolo ne sonne la mise a feu. Dix, neuf, huit... Le feu commence a brûler au creux du réacteur... Sept, six, cinq, quatre... Un puissant grondement, deux corps a l’unisson, se soutenant un l'autre.... Trois, deux, un... Le feu du puissant réacteur lèche la plateforme, l’enveloppant tout entière, grillant tout ce qu'il y a autour...
Et la huitième merveille du monde descend de ses fondations, s'écroulant tout près de moi... Si l'odeur du joint me dérange? Je secoue la tête, reprenant mon souffle, les yeux mi-clos, la tête enfoui dans les oreiller de duvet. Ma poitrine gonfle amplement après chaque inspiration, se vidant complètement par la suite. Mais je ne suis pas vider tout a fait. La drogue coule toujours en moi, faisant battre mon coeur a un rythme accélérer. Dormir, c'est pas pour tout de suite, la pression doit redescendre.
Ophélia a son joint, quand a moi, je suis plutôt cigarette, pas envie de dormir tout de suite, je pourrai observer ses traits alors qu'elle glisse dans les bras de Morphée. Si elle me laisse dormir ici, près d'elle. J'ai laisser suffisamment de crédit pour qu'elle n'ait pas besoin d'un autre client ce soir, je suis en droit de demander de me réveiller a ses coter demain, je crois... Des petits nuages de fumer embrume lentement la pièce, nous plongeant dans un brouillard toxique mais apaisant. Faudrait surement de l'eau, sinon le réveil serait pâteux et pénible. Peut importe, je suis bien près d'elle, et se n'est pas mon premier réveil du genre. Sans bière, ce sera moins pire.
-T'es un nouveau toi la discothèque? qu'est-ce qui ta mener jusqu'a nos porte? T'es plus un gamin depuis longtemps et j'ai jamais entendu parler d'un tendre renard.
Je dois réfléchir a mes mots, sinon ils sortent de manière incompréhensible. Petit défaut de langage. Je dois aussi replacer mes idées de toute manière, sa tourne légèrement encore, la tête au septième ciel.
-L'odeur... Je crois, que je cherchais la perle rare, quelque chose que je n'ai trouver nul par ailleurs. Un naufragé a la recherche d'un phare a travers les mornes songes du quotidien... J'aime les métaphores, sa m'évite de vivre avec la réalité. C'est mon instinct qui ma mener ici, j'ai suivit ma bonne étoile si on veut... Je n'avais aucun espoirs en poussant les portes, seulement tué la routine. Et j'ai trouvé ce que je cherchais je crois, un ange a travers un monde pourrit jusqu'à la moelle. Ou je suis tomber dans la toile de la veuve noire, a vous de me le dire, belle sirène...
Je tire la nicotine, elle exhume les herbes illégale. Complicité du moment partager. Théâtre qu'elle doit servir a tous. C'est son job, rendre a chacun l'illusion d'être différent, d'être unique, meilleurs que le précédant. Je suis unique, un «tendre renard», beau parleur, attentionné... Deux vicelard s'échangeant un paquet de mensonge. Demi mensonge pour ma part... A vrai dire, je pense vraiment ce que j'ai dit, mais ce n'est qu'un jeu, car je sais comment elle fonctionne et je doute que mes paroles est l'effet que ceux semblent vouloir.
Mes griffes dessinent nombre de formes plus au moins complexe sur les cuisses celle qui gis encore haletante près de moi. De petit scions pâle suivent mon doigts. Petite douceur artistique que je me permet. Accro au contact de la peau luisante de celle qui a partager une symbiose plus ou moins parfaite, orgasme naïf dans une nuit encore jeune. Nos chemin se séparons au premier rayon de l’astre enflammer. Elle fait ce que je redoutais, un rapprochement, intérêt que l'on espère toujours réel.
-Et crois moi si t'étais déjà passer sa se serait parler entre les filles. Comment tu nomme? Moi c'est Ophélia. Sa te dérange si je fume? Je sais que vous avez le pif fin j'voudrais pas t'incommoder.
Parler entre les filles... Et voila, ce que je parlais pas «Faire pensé qu'on est unique». Je suis un cas unique duquel on aurait discuté entre les draperies de luxe des salles de plaisance. Ophélia... L'incarnation d'une féminité non dissimuler. Oph, élia.... Deux son distincts, deux faces distinctes. Les noms sont les reflets de nous mêmes, ils dévoile un partie de nous. Zack. Un son, un jappement.... Un chien, canin. Simple, avec du superflu. Un K inutile, mais essentiel a la fois. On ne pourrait s'appeler simplement Zac, ça serais trop vide.
-Zack... Liams. Ophélia... C'est un jolie nom. Aurais-je le loisir de prononcé ce nom a nouveau...? Te le susurrer a l'oreille entre deux gémissements...?
Elle peigne sa longue crinière, ma pur sang, mon cerf, ma huitième merveille du monde... Dommage j'aurais envie de perdre mes doigts dans cette forêt sauvage, habité de secret. Mon bras se glisse autour de sa taille, l'attirant contre moi avec tendresse, glissant mon nez a travers l'épaisse broussaille enneigé, sans les entremêler.
-Je ne sais pas si ça fait partis des suppléments, mais je crois que j'ai laisser un pourboire suffisant pour pouvoir profité de votre présence au creux de mes bras pour le reste de la nuit... Ne me laissez pas m'échouer ma reine... | |
| | | Ophélia O'Cunagan
Messages : 117 Date d'inscription : 09/01/2012
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Jeu 29 Mar - 22:28 | |
| Ophélia eut un petit rire, un brin gêner put percevoir le zoomorphe. Elle ajouta un sourire pour se donner une contenance. Avait-elle simplement l'habitude d'intéragir ainsi? non... Sa gène d'ou vennait-elle? Facile ce zoomorphe lui parlait comme un charmant romatique...Elle pouvait lui donner du rêve de la douceur..mais son coeur n'étais jamais au rendez-vous dans cette endroit...Comme si dehors assis dans les escalier son coeur attendait chaque matin qu'elle ressorte.
Peut-être si tu reviens un autre soir...J'suis juste une femme de joie... rien de plus. Peut-être parfois une confidente pour certain régulier. Mais je n'ai pas de coeur ici mon charmant renard. Je ne peux t'offrir que du pain à ta soif.
Elle était douce se voulant le moins possible abrupte, mais franche dans ces paroles. La souffrance n'avait jamais été ce qu'elle préférait et sa balance personnel tentais le plus possible de l'évité corps et âme, bec et ongle. | |
| | | Zack Liams
Messages : 49 Date d'inscription : 05/01/2012 Age : 32 Localisation : Valcartier/val-bélaire(Québec) et Borden(Ontario)
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Dim 1 Avr - 0:43 | |
| -Peut-être si tu reviens un autre soir...J'suis juste une femme de joie... rien de plus. Peut-être parfois une confidente pour certain régulier. Mais je n'ai pas de coeur ici mon charmant renard. Je ne peux t'offrir que du pain à ta soif.
Son rire, un brin gêné, fut amant du miens qui l'accompagna quelque instant plus tard. Feu et eau, calme et tempête. Un éclat simple, réponse a quelques compliments peu commun, fut répondu par un éclat tout aussi simple. Mais c'était un rire franc, cours éclat d'égarement face à cette gênée étonnamment déplacé. Pas de coeur... Non, elle n'en avait pas, tout comme moi... Deux enveloppes vides se complaisant dans le rêve d'un lendemain simplement... Différent du jour précédent. Douce d’exception d'une routine éternelle.
Mes doigts s'égarent, grimpant les monts, les valons, explorant les vallées, sombre et mystérieuse... Des centaines, peut-être des milliers les ont explorer, mais qui les a vraiment connu, ces formes sans défauts? Une griffes vint se logée au creux de cette poitrine généreuse, redessinant les contours de l'endroit où devrait se trouver se tant recherché «coeur». Elle en a un, je le sens battre contre ma paume, car ses dorénavant elle qui est posée sur cette poitrine que j'ai goûté, caressé, aimé.... Il bat au ralentis, comme si il ne désirait qu'une chose... Que les secondes, si vide gaspillé, arrêter de couler en flot, qu'elles ralentisse leurs course frénétique... Que ces petits grains de sable qui se pousse l'un l'autre pour arriver au font du sablier, arrête simplement un petit moment... Ou peut-être bien que c'est le mien qui veut ça, peut-être que c'est le mien que je sens battre contre ma paume. Peut-être cette peau d'ébène n'a pas besoin d'une pompe biologique qui propulse l'or rouge dans tout ce corps succulents... Encore, toujours des peut-êtres... Songe, je me complais dans ses songes, rejetant cette réalité qui me pourris la vue.
Continuant sa route, la pattes griffu se taille un chemin a travers les sinueuse collines jusqu'à une joue plus douce que le cachemire le plus dispendieux, intimant a sa visage gravé dans ma mémoire embrumé d'alcool de regarder le sourire simple, blasé, sourire qui ne demande plus rien a la vie. Acceptant les joies dans les plus petites choses, oubliant les tords...
-Un coeur est une denrée de valeur... Gardé le votre pour l'homme qui pourra le comblé... Le mien est partis avec celle que j'ai aimé de toute façon... Je désire pas le votre, je ne prétend pas être celui qui pourra le faire battre en cadence... Je ne veux que votre corps, vos vices, vos chairs... Gardez votre âme et votre coeur, votre nom, votre être... Et peut-être une petite place au coin de votre lèvres pour mon nom, un replis de vos songes pour mon être... Ou oubliez moi et effacer mon nom, mon visage. Peu m'importe... Tout ce que je veux, ce que lorsque mon corps sera en manque de chaleur, je pourrai venir cueillir l'amour auprès de votre fleur sombre... Les corps n'on besoin d'aucun nom lorsqu'ils ne font qu'un....
C'est si lourd une tête... Crinière rousse qui refait son chemin au creux d'un oreiller qui l'enveloppe comme si elle c'était ennuyé. Je prend une pause, replaçant mes idées. L'amour, luxure dont je n'ai nul désir. Je ne veux que les vices charnels, plaisir animal et primitif...
-Mes histoires ont déjà trouvé oreilles, elles ne demandent qu'à être oublié au creux d'une paires de cuisses, ou entre les rondeurs d'une poitrine... Ou peut-être bien au fond d'un bouteille d'un alcool de mauvaise qualité. Je connais mon passer, j'accepte ce qu'il est... Je ne connais pas mon futur et je ne m'en soucis point... Je suis au côté d'une Reine... Ça, je sais l'apprécié.... Une journée chaude pour oublier la froideur de l'hiver... Un soleil éblouissant au milieux de la saison des pluies... La vie est un désert qui nous offre parfois un oasis pour étancher notre soif... Il faut savoir s'en satisfaire au lieux de déjà pensé au prochain. Car il arrivera toujours en temps ou bien jamais...
Mes lèvres cueille les siennes dans un baiser sans signification, fade comme une nuit sans lune, mais pourtant si apaisant...
-Je ne saurais quoi faire de votre coeur... Mais je sais me satisfaire de ce corps... De ce plaisir tout a fait charnel, sans sentiments, ni émotions.... Je ne vous demande qu'une nuit, a goûter l'odeur cendré de votre peau, sauvage de votre sueur, la soie de votre corps... | |
| | | Ophélia O'Cunagan
Messages : 117 Date d'inscription : 09/01/2012
| Sujet: Re: Liiiiiiie to meee (Pv Ophelia) {18 ans et plus} Ven 6 Avr - 13:27 | |
| Cette conversation semblait l'amener vers un terrain ou étrangement la mutante semblait perdre pied. Son esprit s'embrumait même si les drogue depuis longtemps ne lui faisait plus effet dans se corps qui avait connu depuis longtemps les affres des premières bouffer ou des poudres. Ophélia se laissait fire comme la poupée de porcelaine noir qu'elle était.
Étrangement elle ne se laissait que bercer par ces paroles. Un brin déçu un brin soulagé étrangement de savoir se qui pouvait passer dans la tête du zoomorphe. Avec douceur elle passa une main sur la joue du renard et remonta jusqu'a son oreille en souriant comme une jeune enfant.
Tu peux resté pour la nuit monsieur renard. Cependant je dois dormir j'ai une grosse nuit demain encore et cette fois ce n'est pas a la discothèque. Très surement qu,a ton réveille je serais parti. Il y a une chambre de bain juste derrière la porte du côté gauche si tu as besoin.
Elle n'arrivait qu'a sourire pris d'un étrange petit malaise. SI elle était très souvent qu'une marchandise pour les hommes qui passait dans cette chambre l'étrange dualité de romantisme et de réalisme la désarmait plus surement qu'un techniciens face à une bombe nucléaire. Elle qui avait habituellement le mot pour tout, la sagesse d'une réaction, la douceur d'une plume... ne trouvait absolument rien à dire. Comme si se soir l'épave dans son lit n'était pas plus profond qu'elle...Qu'avait-elle fait au karma se soir pour cela? | |
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