Moi pis l'informatique...:S (pv Katrine)

THÈME MUSICAL: Daddy's got the blues (208) (bluelaguna.net/music/final-fantasy-13-xiii-ost-soundtrack/mp3s.php)

Zaranarch était à sa table. Enfin, avec le temps qu'il passait assis à cette endroit il commençait à être à son aise, donc c'était sa table. En plus, Ealing créait une aura de mal aise qui donnait plus d'intimité par le fait que les clients s'assoyaient uniquement à proximité si il ne restait aucune autre table.

L'anarchiste était devant un module de lecture de fichier qu'il avait emprunté a Helen, une barmaid qui devenait son amie au fur et à mesure qu'il faisait connaissance dans les temps morts de l'auberge.

Module: -ACCÈS REFUSÉ-

Z: F**K!!

Zed était frustré, mais surtout exaspéré par le manque de coopération des machines. Il avait été télécharger des registres du district datant de l'avant guerre pour connaître les dédales souterraines de la ville. C'était public qu'ils disaient. Une relique inutile qu'ils disaient. SANS BLAGUE. Ça aurait été trop difficile de lui dire que ça prenait un code d'accès?

Z: - Q-W-E-R-T-Y

Module: -ACCÈS REFUSÉ-

Z: SD-R-G-F-E-G-3-5-6-F-E-Y7--45- ARRRRGGG!!!!

Module: -ACCÈS REFUSÉ-

(soupir)

L'anarchiste compris qu'il n'avait aucune chance d'avoir un code d'accès par pure chance sauf en essayant toute les possibilités. Combien de caractère ça lui prendrait? Y avait-il des chiffres? Bon, ça serait une bonne vieille exploration avec son groupe, de l'encre, un parchemin, une torche et une épée longue...Il devrait tout cartographier de zéro,...un district...

(SOUPIR)

Le "Zar" se leva. Ealing vient faire ses pattes sur le cirquien.

Ealing: MIAAAAAAAAWW (yeux de chat botté)

Z: Non Ealing, tu me ruines a force de bouffer à chacune de mes aller-retour du comptoir. Tu commence à prendre du poid en plus. Faudrait que je pense à t'exercer un peu. Je suis juste trop débordé...

Zed laissa son "chat" de 500 kilos se recoucher en boudant et alla voir Helen.

Z: Donne moi un caféine-rhum, ... et un flingue pour me coller une balle dans la tête.

Helen: Qu'est-ce qui se passe?

Z: Il me faut des codes d'accès pour avoir des données et je comprend rien à l'informatique, alors je suis bloqué. Ça représente des mois de démarche débiles et puantes.

Helen avait l'air a ne pas comprendre

Helen: Débiles et puantes, hein? Voila ton caféine-rhum.

Z: Merci. Ouais, c'est une carte des égoûts. Je dois absolument m'y rendre pour un projet de restauration.

Katrine était assis au comptoire. Comme elle ne travaillait pas elle avait les cheveux au vents et son masque à gaz reposait sur le comptoire. Autour de ses hanches pendait sa combinaison anti-radiasion, le banc, sur lequel elle était assise, semblait disparaitre sous toute cette matière. Elle venait de faire une livraison dans un endroit non loin de la et en avait profiter pour venir prendr un café. La méssagère n'avait pas d'occupation pour le reste de la journée elle pouvait donc en profiter pour flanner un peu.

L'homme avait le gros félin avait, depuis un moment déjà, attiré son attention, il était rare de voir un homme se promener avec un aussi gros chat. Katrine le trouvais quand même très mignon, le félin bien sur. Ele avait aussi remarqué que l'homme cherchait un mot de passe ou bien un code d'acces. C'était principalement ce qui l'avait attiré, ça et sa grande curiosité. Lorsque l'homme s'approcha du comptoire elle détourna le regard et feigna d'être concetré sur un autre évènement peu important. Elle écouta tout de même ce que l'homme avait a raconté à Helen qui se trouvait de l'autre côté de comptoire.

Z: Il me faut des codes d'accès pour avoir des données et je comprend rien à l'informatique, alors je suis bloqué. Ça représente des mois de démarche débiles et puantes.

Helen: Débiles et puantes, hein? Voila ton caféine-rhum.

Z: Merci. Ouais, c'est une carte des égoûts. Je dois absolument m'y rendre pour un projet de restauration.

L'homme avait une façons de s'exprimer assez particulière. Elle n'avait jamais rien entendu de la sorte, elle n'était comme pas sur de comprendre de qu'elle démarche il voulait parler. Toutefois, le projet et le but de ses démarches l'interressa plus particulièrement. Une carte des égoûts pour ouvrire un restaurant... Katrine n'était pas sur de la pretinance du lien entre les deux, cependant l'homme devait plus si connaitre qu'elle dans la construction. Il devait probablement vouloir faire une nouvelle construction, ce qui laissais deviner qu'il avait probablement beaucoup d'argent.

Comme elle avait de nombreuse connaissance en décryptage, elle serait probablement capable d'aider l'homme, mais elle n'avait aucunement envie de s'imposer. Katrine ne voulait surtout pas mettre son nez dans ce qui ne la regardait pas. Elle prit donc une grande gorgée de café, pour se donner du courage et se retourna vers l'homme. Katrine commeça par lui sourire, de façon un peu naïve, puis elle rougit avant de réussi a formuler une phrase qui était cohérente.

- Désoler je n'est pas pu me retenir d'entendre votre conversation... et je crois que je pourrais peu-être vous être utile. Je ne veux pas me mèler de vos affaire, mais vous avez l'air dans le besoin...

Le méssagère devint de plus en plus nerveuse. Comme toujours sa peur du rejet et sa faible estime d'elle lui donnait de la difficulter dans les relations sociales. Elle baissa son regard sur ses mains qui s'agitait l'une dans l'autre, un moyen qu'elle se donnait toujours afin d'évacuer le stress.

- Je dit sa simplement pour vous aidez, vous pouvez très bien refuser mon aide je pourrais parfaitement comprendre.

Une autre phénomène de son stress, elle ne pouvait s'arrêter de parler. Katrine voulait empècher un mal aise de se former en comblant la conversation, ce qui, au finale créait simplement un plus gros mal aise...

Zaranarch, se tourna va le jeune femme du comptoir. Elle avait l'air tellement gênée qu'on aurait cru qu'elle allait fondre sur son banc. Le "Zar" prit un instant pour la regarder dans son ensemble avec sa vue périphérique. Le mal à l'aise était contagieux et il se surpris à éviter son regard sur le moment. Il releva ses yeux dans les siens.

Z: - M'aider? Comment?

L'anarchiste porta sa tasse tiède à ses lèvres et bu lentement une petite gorgée. Normalement il se présentait, mais là c'était différent.

Zed eu un sourire chaleureux et un langage corporel d'ouverture pour inspirer la jeune femme à être plus heureuse de son initiative de lui parler.

Z: - La générosité aussi spontanée est une qualité rare de nos jours. Je ne t'ai jamais vu par ici. Qui es-tu?

Katrine lacha un petit rire qui sembla la détendre un peu. L'homme avait raison, les gens qui offrait leur aide au autre par pure générosité sans rien attendre en retour était devenu très rare. Voir même trop. Mais la méssagère avait toujours aimé se sentir utile et elle s'était donné comme défi d'aider au moin un personne par jour. Elle avait un peu l'impression de distribuer du bonheure gratuitement. Katrine retourna à son tour un sourire chaleureux a son interlocuteur. Elle aimait les gens souriant, elle avait tendance à leur faire plus confiance ou du moins à moins avoir peur de leur adresser la parole. Elle s'approcha d'un siège et lui tendit la main pour faire les présentations.

- Désoler, je suis Katrine, enchanté. Vous pourriez être surpris de ce que je pourrait faire pour vous.

Katrine n'était pas du genre à se venter, mais elle n'aimait pas qu'on la sous-estime. Plusieurs personne se fiaient à sont apparence maigre et élancer, pour la juger comme si elle ne savait rien faire. Elle adorait prouver au gens qu'ils avaient eu tord de la traiter de la sorte. C'était l'une de ses satisfactions personnelle. Elle jeta un regard à la machine que l'homme avait avec lui.

-C'est avec cette machine que vous avez un problème? Qu'est-ce que vous essayez de faire au juste?

Après les présentations faites Katrine perdait une grande partie de sa timidier. Depuis quelque temps elle se forcait à la combattre et se combat portait lentement ses fruits. Son but avec cette opposition a elle même était de détruite sa gène maladive qu'elle avait toujours proter en elle. Il y a quelque mois de cela, elle était incapable d'entamer une conversation avec un inconnue. Encore moi d'intérrompe un conversation entre deux personnes pour si glisser comme elle venait tout juste de le faire. Katrine ne servait que de décor dans ce temps de sa vie. Elle n'était jamais bien loin, mais jamais totalement présente. Comme si elle vivait sa vie en regardant les autres la vivres. Depuis qu'elle avait commencer à se forcer à changer elle était beaucoup plus heureuse.

Zaranarch écouta la jeune femme qui se présentait et fut intrigué par le: "Vous pourriez être surpris de ce que je pourrais faire pour vous." Katrine semblait être...compétente et déterminée à le prouver!

Il n'eut pas le temps de se présenter.

Katrine: - C'est avec cette machine que vous avez un problème? Qu'est-ce que vous essayez de faire au juste?

Z: - heu, en fait cet objet du démon refuse de me donner mes réponses. Je veux avoir accès à des vieux fichiers d'avant guerre, mais je suis victime d'un code d'accès que l'administration publique a perdue. Ça prendrait un miracle pour que je tombe par hasard sur le code. Alors voila ou j'en suis. Tu crois vraiment pouvoir faire quelque chose?"

Le "Zar" la regardait avec une lueur d'espoir dans ses yeux.

La jeune femme regarda l'appareil. Elle se demandait bien si elle pouvait faire quelque chose pour lui. Après s'être venté de la sorte elle espérait ne pas devoir lui dire qu'elle ne pouvait rien pour lui. Il voulait avoir accès à des vieux documents, pour son restaurent. Elle trouvait de plus en plus que l'homme se compliquait la vie, pourquoi ne l'avait-il pas tous simplement demandé au gens qui s'occupe de la canalisation il aurait eu sa réponse. Mais Katrine n'avait pas à juger les agissements, qui sais peu-être avait-il déjà demander, elle ne le savait pas. C'était un vilain défaut chez elle de sauter rapidement au conclusion sans vraiment connaitre toute l’histoire. Katrine tandis sa mains vers l'appareil et arriva pour le saisir. Elle se trouvait mal polie de le faire sans demander.

- Désoler... Monsieur... hum Je n'est pas eu le temps de vous laisser vous présenter et je veux déjà vous prendre vos choses.

Katrine s'était laissé emporter par la situation, elle était emballé par le décryptage et les choses du genre. Avoir eu plus d'argent elle aurait bien pu devenir information, il est sur et certain qu'elle aurait connue une grande carrière.

- Je crois bien que je pourrais faire quelque chose. Vous permettez que je le prenne?

Demander de la sorte était beaucoup plus polie que prendre sans rien dire. Elle espérait grandement ne pas faire une mauvaise impression. Le tous commençais plutôt mal après s’être incruster dans une conversation et ne même pas lui avoir laisser le temps de se présenter. On dirait qu'elle perdait ses bonne manière aussi vite qu'elle perdait sa timidité. Au moins elle s'en apercevait, il n'était jamais trop tard pour remettre la situation du bon coté et bien paraitre. Suffisait qu'elle ne se laisse plus emporter par ses émotions et par son empressement.

Zaranarch riait intérieurement de voir Katrine aussi mal à l'aise. Elle le cachait tant bien que mal, mais ça se sentait.

Z: - Je m'appel Zed. Je suis un chasseur de trésor. Je crois bien réussir à utiliser les sous sols à bon escient afin d'y investir ce que je trouve, et éventuellement peut être en trouver d'autres! Ça pourrait être possible après toutes ces décennies d'abandon!

Le "chasseur de trésor" tendit le lecteur d'Helen à sa potentielle bienfaitrice.

Z: - Regarde ce que tu peux faire. Ça serait la nouvelle de la semaine. J'ai essayé d'avoir les codes mais les administrateurs m'ont dit qu'ils étaient perdus. Je ne suis pas vraiment surpris avec l'état du district...

Pendant que Katrine commençait à pianoter sur le digipad, le "Zar" l'interroga.

Z: - Tu fais quoi dans la vie? Je dois avouer que je suis curieux.

Chasseur de trésor, c'était un profession qui était plutôt flou selon Katrine. Ce n'était pas comme un vrai profession, avec un titre, ça donnait plus l'impression d'être un simple passe temps. Mais bon elle n'avait, encore une fois, pas à juger les autres pour leurs occupation. Toutefois Zed avait raison, si les souterrains de la ville était abandonner depuis bien longtemps il étai possible d'y trouver n'importe quoi. Elle espérait ne pas tomber sur un attroupement caché de mutant qui se sont fait un village sous-terre. Comme tout était possible son imagination était bonne pour s'emporter aussi.

Katrine saisie la machine lorsqu'il lui tendit. Elle prit le temps de la regarder, d'en faire le tour et de l'examiner au complet. C'était dommage que le mot de passe avait été perdu, encore une façon de voir que le district tombait un peu à l'abandon. Katrine pensait vraiment être capable de faire quelque chose avec cette machine. Elle avait déjà vue des lecteurs dans le même genre et elle avait été capable de les ouvrirent afin de voir ce qui se trouvait à l’intérieur. Elle avait même pousser l'audace à se faire des copies de certaine document qui ne lui serait pas particulièrement utile, mais qui pouvait toujours servir de monnaie d’échange. Il lui manquait simplement à trouver une personne qui cherchait des informations sur les administrations du district, disons qu'elle ne cherchait pas vraiment non plus.

- Enchanté Zed, je vais essayer de faire quelque chose avec cette machine.

La jeune femme commença lentement à faire son travaille, elle aurait travaillé plus vite cependant elle voulait continuer à profiter de la conversation.

- Dans la vie je suis messagère à mon compte. Je fait des contacts avec plusieurs grandes organisation, quelque mercenaire, l'armé, l’hôpital, l'académie. Je suis très varier, ce travail me permet de me faire des contacts un peu partout c'est pratique. Mais toi, tu gang vraiment ta vie en cherchant des trésor?

La jeune femme était aussi curieuse de savoir. Peu -être faisait il autre chose pour s'aider. Il ne devait pas toujours être évident de trouver des trésors, surtout quelques choses qui pouvaient rapporter un peu d'argent. Elle se demandait si Zed avait déjà trouvé quelque choses d'impressionnant.

Zed fut impressionné par la diversité "touche à tout" de la jeune femme. Ça pourrait être une alliée valable. Plus qu'elle n'en avait eu l'air au premier abord.

Z: - Mon travaille de chasseur de trésors ne doit pas être prit au premier degré. Je chasse les trésors de ce monde sous toutes leurs formes. Spirituelle, matérielle et humaine. Je veux transcender. Je veux en profiter. Et je veux côtoyer ceux qui aussi cherchent les trésors de ce district. Ils sont rares.

Le "Zar" fini son verre.

Z: - Pour répondre à ta question, oui j'ai trouvé bien des "choses" impressionnantes. Je gagne vraiment ma vie comme ça. Cela nécessite que je sois un aventurier plonger dans le royaume des idéaux. Mais ça me plaît bien. Grâce à cet état d'esprit, je trouve régulièrement de nouveau trésors.

Zaranarch sourit en regardant Katrine.

Z: - Aujourd'hui, je crois bien que j'en ai trouvé un.

Cela prit un petit moment à Katrine avant de se rendre compte qu'il parlait d'elle quand il avait dit qu'il croyait avoir trouver un trésor. La jeune femme fit comme si de rien était, mais le rouge lui monta au joue et elle eu un petit sourir timide. Les compliments était quelques choses dont elle était peu habitué, mais ça lui faisait toujours plaisir d'en recevoir. Elle espérait simplement ne pas se méprendre sur les paroles de Zed. Peu-ètre qu'il parlait de la machine qu'elle était en train de décrypté aussi comme trésore. Toutfois elle était aussi surprise de savoir qu'il gagnait bien sa vie, c'était une surprise pour elle. Peu-être aurait-elle pu faire chasseuse de trésor comme emploie elle aussi? Elle aurait toujours le temps d'essayer un jours.

- Et bien je suis contente de l'apprendre. Être capable de bien vivre et quelque choses de rare et dur à obtenir au District.

Katrine n'osa pas se prononcer sur la dernière phrase de Zed, de peur de mal interpréter et de passer pour une fille facile et naïve. Elle commença a tapper sur la machine, elle entrait des codes faisaient de nombreux teste de mots de passes qui ne fonctionnait pas. Cependeant la messagère ne semblait aucunement décourager par la situation. Elle prenait le temps de s'arrêter et de continuer à boire son café avant qu'il ne soit froid.

- Qu'espérez-vous trouver avec ce que je suis en train de vous avoir?

Si elle était pour permettre à Zed d'atteindre son but autant savoir c'était pourquoi, si c'était interressant peu-être allait-elle essayer d'en retirer un peu pour sa contribution. D'un autre coté s'il s'agissait de quelque chsoes qui était préférable que l'on ne trouve pas elle pouvait tous arrèter avant qu'il ne soit trop tard.

Zaranarch fut amusé et satisfait de voir rougir Katrine. C'était drôle de voir comme elle pouvait être gênée.

Katrine: - Et bien je suis contente de l'apprendre.

Zed fut surpris par le contrôle de la jeune femme. Elle était touché, mais gardait un espace. Ce n'était pas plus mal. Il n'avait pas affaire à une enfant et ça lui donnait de la valeur.

Katrine: - Être capable de bien vivre et quelque choses de rare et dur à obtenir au District.

Z: - En effet...

Le déshérité eut quelques images de son passé devant les yeux. Ses parents, sa conscription, le massacre de sa famille, les promesses des étoiles. Son visage c'était durcit. Puis il fit un demi sourire.

Z: - Je vis en accord avec les pulsions de mon âme. Cela vaut tout l'or du monde.

Katrine: - Qu'espérez-vous trouver avec ce que je suis en train de vous avoir?

Le sourire du cirquien revint.

Z: - Je te l'ai dit: un trésor! Mais puisque je me doute que tu veux en savoir plus, je vais te mettre au parfum. Mais un détail: cesse de me vouvoyez et de me parler comme si tu étais de l'inquisition. Des amis ne se vouvoient pas!

Les égouts, les canalisations et tout ce qui est souterrain ne fait pas parti des secteurs contrôlés. Ils sont remplit d'ennemis de l'humanité et de vieux trésors technologiques qui pourraient améliorer le niveau de vie de la population. Mais ce qui m'intéresse plus que tout, c'est d'aller planter mon petit drapeau là bas en finançant cette expédition. Nous pourrons en faire un étage supplémentaire du district. Cela aura un impact politique qui au début sera minable et empoisonné par les criminels qui voudront foutre la merde, mais à long terme...

Le plan du "Zar" pouvait paraître exagéré puisque ce n'était que des "égoûts". Mais dans l'époque où Katrine et lui vivaient, l'espace vital était réellement un problème grave. Ce qui veut dire qu'il vaudrait cher si il était exploité convenablement.

La jeune femme approuva le plan d'un signe de tête. Il était bien dur d'être contre un haussement du niveau de vie dans le district. Toutefois rien ne prouvait que tout aller fonctionner tel que prévue, il pouvait être plus difficile à réaliser tout ça une fois dans l'action. Katrine ne s'était jamais imaginée que les sous-sol du district pouvaient être suffisamment afin d'y faire une autre ville. Pour sa part elle s'était toujours imaginé les égouts plein du mutant assoiffé de vengeance ou bien de créature inconnue. A court terme tous semblait très réaliste, ils restaient simplement espérer qu'a long terme la nouvelle étage du
district ai l'effet désiré, sinon ce serait plein d'espoir réduit au néant.

La messagère continuais à travailler d'arrache pied. On pouvait voir de nombreuse interrogation passer sur son visage, comme s'il arrivait des choses qui n'étaient pas prévue. À d'autre moment s'était des sourires
ou bien des exclamations de joie, lorsqu'elle parvenait à découvrir un lettre ou bien un chiffre qui composait le mot de passe. Elle avait rarement trouver quelque choses d'aussi difficile à trouver, normalement les messages cryptés étaient sa spécialité elle avait rarement l'occasion de se pratiquer sur des systèmes informations du genre.

-J'en ai la moitié de trouver, le reste devrait être plus facile. Vous parliez d'une expédition tout à leurs, avez-vous déjà une équipe pour t'accompagner? Où bien du attend de voir ce que nous allons trouver la
dedans.

Avec ses dernières elle montra de la tête l'objet qu'elle tenait dans ses mains. La curiosité est un vilain défaut, toutefois Zed venait de l'intriguer. Elle voulait et avait toujours voulus prendre part à quelque chose de grand. Quelque choses d'extraordinaire afin que l'on se souvienne de son nom, que ses parents soir fière d'elle.

- Juste pour te dire que tu me compter avec vous.

Elle lui fit un léger sourire en coin. Elle espérait simplement que l'homme accepte qu'elle soit de l'aventure. De toute façons mis à part quelque connaissance Katrine n'avais rien à perdre. Ses parents ne lui parlait plus depuis qu'elle les avaient quitté pour vivre sa propres vie.

Le "Zar" était penché par dessus l'épaule de Katrine avec un air d'anticipation. La messagère semblait porteuse de bonnes nouvelles!

Z: - On tient quelque chose!

Zed alla sur la gauche de la jeune femme et fit signe à Helen.

Z: -Un rum-carbonique!! Le destin me fait des sourires doux. Katrine bride cette bête technologique pour quelle nous serve de monture vers le route de la gloire!

Les yeux de Zed brillaient. Ealing était à côté du cirquien sur ses deux pattes de derrière et faisait la danse de la joie avec des traits et des grognements expressifs étrangement humains. Le dompteur se tourna lentement vers le felin avec un air suspicieux. Ealing compris que c'était peut être un peu trop et se laissa retombé sur quatre pattes. L'humain ne serait pas assez enthousiaste pour lui acheter un steak avant que le code soit entièrement trouvé...Le tigre retenterait sa chance dans 10 minutes.

Z: - J'ai réunit un groupe jusqu'à présent. Des mercenaires de tout acabits. Mais ce sont tous des combattants. Avoir une pro de la sécurité informatique ça ne serait pas de refus. Avec toi nous serions six. J'ai deux super guerriers zoomorphes nommés Maeve et Valerien. J'ai aussi rencontré un chasseur de prime plutôt idéaliste qui s'appel Andrej. Bien sûr j'ai mon "chat", le terrifiant Ealing! (Ealing se faisait flatté par des mercenaires contre des restes de tables au même moment) La seul chose qui m'inquiète est le fait que nous n'ayons pas de médoc. J'ai tenté de pallier à ça, mais je n'ai pas trouvé de fournisseurs fiables...

Sur ces derniers mots, l'anarchiste eu l'air à avoir des images contrariantes devant les yeux parce que son regards exprimait une négativité qui s'éclipsa en un éclair mais qui montrait une amertume agressive bien dissimulée.

Z: - Au fait. Tu fais quoi dans la vie et tu viens d'où? J'aime bien connaître les gens pour autres choses que leurs compétences.

La bonne humeur du Zed affecta directement la jeune femme. Un grand sourire s'afficha sur ses lèvres et un léger rire lui échappa. Elle était très content de faire plaisir au jeune homme. Lorsque le cirquien commanda un boisson, Katrine fit un signe a la serveuse de lui en donner un à elle aussi. Par la suite il se mit à danser avec son énorme félin ce qui fit rire de nouveau la messagère. Elle n'avait jamais vue une personne être aussi énergique après une si petite révélation. Katrine trouvait un peu qu'il se réjouissait un peu trop vite, elle n'avait pas encore trouver tout le mot de passe, quoiqu'il s'en approchait grandement. Elle voulu se lever à son tour et ce mettre à danser avec le gros félin, mais elle continua son travail.

Lorsque Zed lui parla de son équipe elle leva les yeux de son travail lorsqu'il mentionna Andrej, elle le connaissait le russe. Il habitait dans le même bloc appartement qu'elle, ils avaient prit un café ensemble. Au moins elle allait connaitre quelqu'un d'autre pendant cette aventure.

- Je le connait Andrej, je l'ai vue une fois, mais Maeve et Valérien je ne les ai jamais rencontré. Merci de m'accepter avec toi et je suis content de voir qu'une bonne équipe nous attend déjà.

Katrina resta paralyser durant un moment à cause de la question qu'il venait de lui posé. Il lui avait déjà posé il y a quelque minutes. Il l'avait peu être déjà oublié, peu-être avait il un problème de mémoire donc la jeune femme décida d'ignoré la première question et simplement lui dire de où elle venait.

- Moi je viens du District 6, je n'ai jamais bougé d'ici. Je n'ai même pas mit les pris hors des murs... Mais un j'aimerais bien y aller, voir au-delà, ailleurs si la vie est aussi dur qu'ici. Et toi Zed d’où viens tu?

Après lui avoir posé la question, elle se remis lentement au travail afin de ne pas manquer la réponse de l'homme.

Zed comprit qu'il avait mal posé sa question quand Katrine sauta directement aux détails d'où elle venait.

Z: - Tu m'as dis que tu était une messagère et que tu avais pleins de contacts. C'est ce que tu fais dans ta vie...professionnelle! Qu'est-ce que tu fais dans la vie? À part être une "workolic"?

L'anarchiste écouta Katrine qui décrivait sa curiosité de l'extérieur et qui ensuite le questionna sur la provenance du cirquien.

Z: - L'extérieur est un endroit étrange. J'y ai déjà passé quelques temps, dans une autre vie. C'est dur de croire que c'était un lieu où s'étendait le monde autrefois et que ces vastes espaces était synonyme de pureté surpassant les frontière de l'atmosphère pollué des hommes. Croit moi, il n'y a pas grand chose à y trouver. Il y a des conflits, des morts lentes sous diverses formes et un horizon poussiéreux à perte de vue. Peut être que les autres districts sont différents mais j'en doute.

Le "Zar" regardait dans son verre les image de son époque dans la conscription. C'est là-bas qu'il avait trouvé Ealing.

Z: - Tu veux savoir d'où je viens?

Zed continua de fixer le liquide qu'il faisait doucement tournoyer pour ne pas regarder la jeune femme.

Z: - Je viens du district 6. J'ai grandit dans les quartiers des mercenaires. Mes parents sont morts quand j'étais jeune alors j'ai appris à me débrouiller...

Un autre personne qui avait vue l'exétieur et qui lui en parlait en mal. Cela lui donnait de moins en moins en vie de s'y aventurer et c'était probablement pour le mieux. Il devait probablement y avoir encore plus de problème hors des murs qu'à l'intérieur. Ici au moins les humains pouvaient s'entraider alors que ceux qui osait se rendre à l'extérieur était majoritairement des loups solitaires et ne faisait pas long feu, sauf s'il avait de la chance.

- haa ok je vien de comprendre votre questions, dans le vie de tous les jours je te dirais que je tente de profiter de la vie et ce qu'elle m'apporte. J'ai tendance à me promener dans les rues aider mon les gens qui en on besoin, passer du temps avec les rares amis que je peu avoir. Je n'ai pas de passe temps particulier, simplement profiter des jours heureux. Toutes mes condoléances pour tes parents...

Katrine resta silencieuse un moment, un léger mal aise monta en elle. La mort était une choses qui la rendait mal, elle ne savait jamais comment se comporter avec des gens en deuils. Elle l'avait été probablement toute sa vie dans le deuil, elle avait donc apprit à vivre avec et la mort d'une personne proche l'affectait presque plus, car elle savait que la vie dans le district était loin d'être facile. Katrine espérait simplement que les parents de Zed n'avait pas souffer.

La jeune femme continua à piatonner sur l'appreil électronique quand la boisson qu'elle avait commander arriva. Elle s'arrèta un instant afin de prendre une gorgée qui lui fit fait une grimace. L'alcool fort elle n'était pas habituer, normalement lorsqu'elle buvait, ce qui était déjà rare, c'était simplement de la bière et très peu. Elle se remis au travaille et le finir rapidement. Lorsqu'elle trouva le mot de passe elle n'entra pas dans l'appareil afin de voir ce que l'on pouvait bien y trouver. Elle le retourna et le tendit a Zed.

- Et voila travail terminé, je te laisse l'honeur d'ouvrire et de voir toutes les secrets cachés à l'intérieur.

Katrine avec un large sourire au lèvre elle était grandement satisfait du travail accomplie et surtout du laps de temps qu'elle avait prit pour le faire.

Le "Zar" sentit le malaise qu'il provoqua chez Katrine avec son histoire de morts. Il aurait bien aimé dire la vérité, mais pour l'instant il ne savait pas si la "hacker" était de confiance.

Alors que la jeune femme commençait à clarifier ce qu'elle faisait. Zed se tourna pour lui faire face et prit une gorgée.

Katrine: J'ai tendance à me promener dans les rues aider mon les gens qui en ont besoin, passer du temps avec les rares amis que je peux avoir. Je n'ai pas de passe temps particulier, simplement profiter des jours heureux.

Z: - Une altruiste en contact avec le monde. C'est tout à ton honneur!

L'anarchiste sourit et leva son verre à la santé de Katrine.

Au fond de lui, un doute subsistait. Une personne altruiste dans le district 6? Pourquoi pas quelqu'un de sain d'esprit avec ça. Tout le monde avait une face cachée. Un peu comme lui. De jour un cirquien idéaliste. De nuit, un tueur obsédé par la vengeance.

Katrine: - Et voila travail terminé, je te laisse l'honeur d'ouvrire et de voir toutes les secrets cachés à l'intérieur.

Z: - Déjà? Excellent!

Zed prit le lecteur et le positionna de façon à ce que Katrine voit ce qui était affiché à l'écran. Lorsqu'il ouvrit le fichier, celle-ci pu voir des cartes des réseaux souterrains dans leur moindre détails. Tout ce qui concernait les réglages des différents accès des égoûts y étaient affichés.

Z: - Et bien, voyez vous ça. Une carte au trésor!

Il afficha un large sourire à la "sainte".

Z: - Je contacte Andrej, Valerien et Maeve. En tant que "sainte" tu ne connaîtrais pas un ou une médoc? Demain, nous partons en expédition. Pour l'instant je dois étudier les endroits les plus à même de receler une "opportunité d'affaire".

Génial il a trouvé ce qu'il désire! Ce fut les premières pensé de Katrine. Son travaille était terminé et la personne concerné par celui-ci était 100% satisfaits du résultat il y avait de quoi être fière. La messagère avait été touché par les compliments de Zed. Son altruisme était certainement tous à son honneur, cependant il lui arrivait de sépuiser à toujours penser aux autres et jamais à elle. Mais bon dans la vie il fallait faire des sacrifices, Katrine n'avait tout simplement pas encore trouvé le juste équilibre.

Elle suivie, avec fascination, les plans, les images et tous ce qui défilait sur l'appareil électrionique. Elle ne comprenait pas trop ce qu'elle avait sous les yeux, toutefois ellle faisait confiance à Zed de savoir ce qu'il faisait et surtout comprendre pour elle.

-Pour ce qui est d'un médecin je n'en connais pas, mais je connais une infirmière du nom de Yaël ses un zoomophorme. Je suis sur qu'elle pourrait nous être utile. Pour tes réflexions préfère tu que je te laisse seul, je ne veux pas de déranger ?

Elle aimait mieu proposé à Zed de partir, dans sa vie Katrine avait toujours préféré ètre seul afin de réfléchir sur de grande descision qu'elle devait prendre.

Z: - C'est bon, je vais monter le plan de mon côté. Ce sera pas de la tarte. Pourrais-tu contacter ton infirmière dont tu parles? Si elle accepte de se joindre à nous ça serait parfait! Tu lui demanderas ce qu'elle exige en échange. Ça m'importe peu. Du moment qu'on a quelqu'un pour prendre soins du groupe.

Zed se pencha par dessus le comptoir à la recherche d'Hélène.

Z: - Hélène! Nourrit mon chat et garde moi ton lecteur, je dois aller voir du monde avant le souper!

Le cirquien se tourna vers Katrine.

Z: - Merci "Kat". On se revoit demain. Merci pour ton aide. Tu es incroyable!

Sur ce l'anarchiste prit son chapeau, sa cape et parti communiquer avec les autres mercenaires qui l'accompagnerait dans son aventure. Avant de traverser la porte, il lanca:

Z: - Si tu as le temps, jette un coup d'oeil sur les plans pour voir si y'aurait pas des trucs informatiques de ton ressort que tu pourrais me signaler, moi pis l'informatique... :S, ça fait deux! Prend toi à souper, Hélène va mettre ça sur mon compte. Si tu es encore là à mon retour on prendra un verre.

Katrine n'u pas le temps de placer un mot avant de voir Zed quitter l'auberge. Elle avait fait son bonheur et c'est tout ce qui lui importait. Elle ne fit simplement que faire oui de la tête afin de lui faire comprendre qu'elle allait le suis dans l'aventure et regarder afin de trouver plus d'information.

Elle n'allait toutefois pas attendre ici et ne rien faire. Elle allait retourner chez elle afin de regarder calmement ce qu'elle trouver dans l'ordinateur pour trouver d'autre renseignement et elle allait les rejoindre plus tard.

Katrine d'y salut à Hélène et paya les vers qu'elle avait prit. Elle flatta un peu le gros chat de Zed avant de quitter l'auberge un gros sourire aux lèvres.


(Topic terminé)