Seul contre Tous ( PV : Riki, Zaranarch,Séraphin, Zack)

Messages : 94 Date d'inscription : 29/12/2011

Le vent était si fort qu’il aurait pu balayer tous les détritus qui jonchaient sur le sol. Il restait néanmoins un virus ambulant, un microbe, une maladie, un déchet … Un autre maux de cette Terre qui tenait à la vie …
Il demandait beaucoup plus d’énergies pour être annihilé.

… Le moment où je retrouverai …

Une longue cape noire, le capuchon tombant sur les yeux … Le vent, virevoltant autour de lui, faisant bouger le lourd drapé de façon incessante, comme si celui-ci cherchait à le briser, à le détruire. L’individu avait les deux bras croisés sur lui-même, il semblait regarder devant lui.

Vers la Caserne Sanctum. Vers les gardes. Vers la mort.

Personne ne put voir, mais l’individu ferma les yeux. Le soleil se couchait à l’horizon. La nuit allait être son meilleur atout.

… Cet être …

Le soleil perdait de plus en plus vite son éclat….

* 3…2…1..*

L’ombre furtive dans la jeune nuit s’élançait dans la ruelle de sa droite. Il allait franchir les clôtures électrifiées et les gardes armés coute que coute…

*Oui, plus près … Juste un peu plus près… De mon but …*

Messages : 57 Date d'inscription : 31/12/2011

Tapie dans l’ombre de la ruelle, Séraphin songeait. Elle réfléchissait à ce qui se passait autour d’elle ses derniers temps et à la façon de vivre des mutants. Elle voulait en apprendre plus sur les façons d’agir de l’Inquisition, c’est pourquoi elle s’était stationnée à une distance respectable de leur caserne, les regardant et se sachant regardée. La mutante ne leur nuisait pas, donc il n’agissait pas, mais probablement que si elle restait plantée là trop longtemps, ils sortiraient l’artillerie et la chasserait. Mais pour le moment, la mutante était très calme, sereine même. Elle en vint presque à somnoler. En fait, entre la caserne Sanctum et le reste de la populace, il y avait comme un lieu non-dit ou chacun des êtres restaient de leur côté pour ne pas attirer les conflits.

Et c’est à cet endroit même que Séraphin, assise en tailleur en bas d’un mur, songeuse et rêveuse, attendait que le temps passe tout bonnement en regardant le ciel se teinter d’un gris rougeâtre témoignant que le soleil derrière les nuages partait ailleurs faire sa ronde diurne. Personnes ne venaient lui chercher les noises, les personnes normales craignant bien trop les foudres de l’Inquisition et les membres de ce dernier n’ayant pas vraiment le pouvoir d’arrêter quelqu'un parce qu’il est assis sur le sol d’une ruelle. Au bout d’un long moment de contemplation d’une tâche douteuse sur le mur en face d’elle, l’androgyne sentit une présence vers le fond de la ruelle et elle releva la tête. Une silhouette vêtue de noire de pied en cap attendait là, visiblement depuis un bon bout de temps déjà. Il se confondait avec le reste de l’environnement, ombre noire dans la ruelle sombre, et, de ce fait, Séraphin ne parvenait même pas à dire s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme.

Soudainement, l’ombre s’élança, droit vers elle, ou enfin plutôt, droit sur la caserne Sanctum. Visiblement, cette silhouette n’avait aucune intention pacifique et courait très volontairement vers le suicide. Séraphin fronça les sourcils devant une telle imbécilité et songea qu’elle ne pouvait laisser un tel drame se produire. Heureusement l’être ne l’avait pas encore vu, trop concentré dans sa course vers la mort, elle en profita donc pour se cacher encore un peu mieux, se drapant des ombres comme d’un manteau. Puis, une seconde avant que la sombre silhouette ne passe devant elle, la mutante sortit sa jambe de l’ombrage, faisant faire un incroyable croc-en jambe au suicidaire. Ce dernier vola dans les airs quelque secondes avant d’atterrir durement sur le sol. Impitoyable, Séraphin se releva, en colère envers l’idiot qui avait tenté de mettre fin à ses jours de la plus idiote des façons.

- Abruti! Tu veux mourir ou quoi?

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

Riki alternait maintenant entre la caserne et l'académie. Elle était une agente maintenant. Enfin elle ne faisait pas vraiment d'autre chose que conduire du monde. Mais au-lieu de le faire à contre-coeur, elle le faisait froidement. Quelque chose s'était brisé dans la rouquine. Toute sa vie avait été bâtit sur des mensonges. Elle ne savait plus vraiment qui elle était, ni ce qu'elle faisait. Elle travaillait. C'est tout. Elle n'avait pas retrouvé Anderstone. Andrej n'était pas revenu la voir. Non, c'était finit. Elle ne s'attacherai plus à personne. Elle allait faire celle qui parlait a tout le monde, mais qui est solitaire et qui aime mieu sa moto que les humains.

Pendant qu'elle faisait un tour de garde, un évènement étrange se produit. Une ombre tout vêtue de noir fonça directe sur la cloture avant d'être sauvé par un espèce de grand truc. Elle arriva pour sonner l'alarme, mais réfléchit. Elle allait mener deux être à leur perte si elle le faisait. Elle ne le fit pas mais prit sa lampe de poche et se dirigea vers eux au pas de course afin de ne pas se faire voir.

La gamine les alluma avec sa lampe pour mieu voir à qui elle avait à faire. Des mutants. Elle se pencha alors à leur hauteur.

Anderstone pu remarqué Riki...et que ses cheveux roux était à présent coupé aux épaules.

''Vous êtes chanceux que sa soi moi, qui vous ai vue. Il se passe quoi ici exactement?''

Riki essayait de rester gentille. Après tout c'est vrai que certain mutant pouvait être dangereux...et si c'était des terroristes ils pouvaient l'enlever, lui faire du mal...

Messages : 140 Date d'inscription : 03/01/2012

Némésis courait le long des toits avec Ealing. Le chat de l'anarchiste commençait à prendre du poids, alors le «personnage» anonyme du Zar en profita pour réapparaître.

Écœuré par son masque à gaz modifié à la voix robotique, Zed se faisait à l'idée que la mission pour la centrale à l'extérieure du district serait bien pire à enduré. Comme un retour au source de sa période de conscrit.

Alors, qu'il reprenait son souffle et que son gros félin atterrissait lourdement à ses côtés, il eu une vu sur la caserne du Sanctum.

N - robotique: Tu vois Ealing, c'est là que se cachent les protecteurs de mon «roi soleil».

Ealing le regarda avec une expression de «pourquoi tu m'en parles...»

Le Zar pensait encore aux parole de Seraphin. ll avait la tentation d'accélérer sa vengeance. C'était irrationnel et il devait médité au lieu de tout foiré.

Sur ce, le cirquien en costume de terroriste sorti ses jumelles et observa la caserne en détail. Ils étaient toujours aussi près à cueillir un imprudent comme l'autre fois avec la rouquine. Il avait voulu la revoir, mais des informateurs étaient formelle qu'elle était une novice inquisitrice, alors le faussé c'était creusé de lui même...

Il descendit sa vue vers l'entrée et vit 3 individus. Riki, Seraphin et un être encapuchonné.

N - robotique: - Regarde Ealing, haha c'est la deuxième réunion foireuse du groupe de résistance des mutants!

Ealing fouillait dans un trou à quelque mètres pour trouver un rat qui avait fait la gaffe d'être percu par le félin. Il ne porta pas attention au cirquien.

N - robotique: - Quel mauvais fan tu fais, chat débile....

Ealing: GRRRRRRR. (Ça j'ai entendu)

Le Zar reporta son attention sur la scène et se remis à bondir d'édifice en édifice pour se rapprocher. Ealing serait trop peu subtile en espionnage rapprocher.

Messages : 94 Date d'inscription : 29/12/2011

Plus il avançait vers la caserne, plus les contours du bâtiment se clarifiait. Il pouvait voir les gardes, comme des petites tâches, devant la porte. Ils étaient là, insolents, simplement en train de discuter, sans remarquer qu’il arrivait à toute vitesse droit sur eux. Nicolas se sentait puissant. Plus qu’il courrait, plus l’adrénaline dans ses veines libéraient un exquis mélange d’hormones qui le faisait sentir comme un Dieu. Il entendait sa respiration s’accélérer, sa vision se rétrécir, comme si tout devenait flou autour de lui sauf le but qu’il s’était fixé : Atteindre la porte.

Bien que cette idée semble saugrenue et suicidaire, l’ancien militaire avait l’impression qu’il avait la force de tasser les soldats et d’éviter les balles, comme si il était un Dieu. Il n’avait pas peur de mourir. Maintenant, il n’avait plus de désir de vivre.

L’adrénaline augmentait sa rage et faisait disparaitre sa souffrance. Tout d’un coup, sans rien y comprendre, il se senti rapidement percuter le sol. Le mutant, croyant s’être fait attaqué, lâcha un cri rage et se débattit sur le sol pour tenter de se relever et leva les points, accroupi sur le sol.
Son menton ridé était dégagé, on pouvait voir la couleur rose pâle de sa bouche. La chose émit un grincement strident.

Il leva son regard : Devant lui se trouvait une grande perche tout aussi désarticulée que lui. La fraction de seconde qu’il prit pour l’examiner attentivement lui rapporta les informations qu’il avait besoin : C’était cette mutante qui lui avait fait le croc-en-jambe.

S’il aurait eu des mains, il l’aurait attrapé par le collet et l’aurait battue à mort, même si cette chose était une femme auparavant.

- Abruti! Tu veux mourir ou quoi?

Pendant un éclair de seconde, Séraphin pu apercevoir le visage du mutant, qui lui adressait un rictus mauvais avant de replier sa tête contre lui-même, afin de dissimuler son affreux visage. Comme un sifflement, une voix qui semblait également en pleine mutation prononça ces mots :

- Pauvre débile ! Qu’est-ce que ça te regarde ?

Il se conserva de lui expliquer les raisons de sa course. En colère, il ne pouvait expliquer. Il n’avait qu’une seule envie : Démolir le visage de cette mutante qui lui restait que ça de beau sur elle. Pour qu’au moins, qu’elle puisse comprendre à son niveau. Comprendre que lorsqu’il ne te reste qu’une seule parcelle d’espoir, tu la saisis en te foutant totalement des conséquences, sans avoir aucun désir de poursuivre un semblant de vie…

Il jeta un regard aux alentours, voir s’il n’avait pas alerté un passant qui aurait pu avertir les autorités. Eh non. Il tomba plutôt sur une tête rouquine qui se confondait avec le soleil. Cette chevelure rouge flamme qui se confondait avec le couché de soleil lui donnait un intense mal de tête. Il l’avait reconnue, c’était instantané, mais qu’est-ce qu’elle fichait là ?

Une hallucination, probablement. Il restait là, clignant des yeux. Non, Riki restait toujours bel et bien là. Elle avait vieilli. Il ne put s’empêcher de remarquer que sa poitrine avait doublé. Elle avait coupé ses beaux cheveux et avait un air sévère. Il eut envie de la serrer dans ses bras, mais Nicolas ne pouvait s’empêcher de se rappeler qu’il était méconnaissable. Il ne put s’empêcher de laisser couler les larmes le long de ses joues.

''Vous êtes chanceux que sa soi moi, qui vous ai vue. Il se passe quoi ici exactement?''

Le mutant tendit son moignon qui lui servait de bras, tremblotant vers Riki. Il aurait voulu la toucher, mais elle était trop loin.
Il était incapable de parler.

Messages : 57 Date d'inscription : 31/12/2011

Ce fut bref, une seconde tout au plus, mais la mutante put le voir. Le ou la, Séraphin ne le savait plus trop. Avec un visage comme ça, la confusion était de taille. La femme eut un soubresaut de dégoût, plutôt instinctif que volontaire. Heureusement, son esprit parvint à reprendre le dessus et l’androgyne se rappela que s’était pour des êtres ainsi qu’elle voulait que le monde change.

- Pauvre débile ! Qu’est-ce que ça te regarde ?

La voix était éraillé et sifflante rappela sans peine à Séraphin la sienne au moment de sa propre mutation. L’aviatrice passa outre la provocation que lui adressait franchement le mutant, jugeant que cela ne servirait absolument à rien de polémiquer avec une personne qui avait voulu se suicider quelque instant plus tôt. Elle était très intriguée de ce nouveau personnage qui embarquait dans son histoire. Elle voulait comprendre ses motivations et cette curiosité quasi malsaine la poussait à rester planter là comme un piquet, malgré l’incroyable colère meurtrière qui se dégageait de la silhouette noire. Séraphin voulait comprendre pourquoi ce mutant avait voulu foncer tête baissé d’une façon aussi stupide vers le piège mortel de la caserne Sanctum au lieu de chercher la solution de tous ses maux. Elle s’apprêtait à servir un interrogatoire en règle au type lorsque la lumière d’une lampe se braqua sur eux.

*Eh merde… *

La mutante se retourna vers la silhouette. C’était une jeune femme aux cheveux éclatants, revêtue de l’uniforme des Inquisiteurs. Cette information fit passer un frisson au travers de la colonne de Séraphin. Deux mutants trouvés sur les bords de la caserne en train de faire du raffut, était-ce un motif suffisant pour être arrêter? Probablement…

''Vous êtes chanceux que sa soi moi, qui vous ai vue. Il se passe quoi ici exactement?''

Le cerveau fonctionnant à cent mille à l’heure, l’androgyne cherchait une raison quelconque pour exprimer leur présence en ces lieux plus qu’inappropriés, lorsque le mutant leva un de ses bras en direction de l’Inquisiteur. Soudainement, il parut évident pour Séraphin qu’il se déroulait des évènements hors de la portée de sa compréhension. À moins qu’il soit totalement fou, chose très plausible, le mutant avait une drôle de façon d’agir et cela méritait d’être éclairci. La géante laissa le silence plané durant quelque seconde, laissant le temps à l’atmosphère de s’imprégner de cette étrange émotion qu’avait créé le mutant au manteau noir. Puis, il lui sembla que mentir n’était plus nécessaire. Cette jeune femme semblait avoir assez de jugeote contrairement à ses compagnons qui les auraient faits enfermés avant de leurs demandés des explications. Cela lui en coutait beaucoup, mais pour cette fois-ci la mutante se décida à accorder un peu de confiance, compte tenu de la situation.

* Sinon, je pourrais toujours bien tenter de m’enfuir…*

- Je serais franche : Je n’aie pas la moindre idée de ce qui se passe. Ceci dit, notre compagnon ici présent serait peut-être plus à même de nous éclairer… Peut-être vous connaissez-vous?

Elle se lançait dans de grandes suppositions, mais le coup valait la peine d’être tenté. Cet étrange personnage enveloppé dans sa cape devait donner des explications avant que la situation ne dégénère. Maintenant que son regard s’était habituée à l’afflux de lumière, Séraphin put dévisager un peu plus la rousse. Une humaine, tout ce qu’il y a de plus banale, mais il y avait quelque chose qui clochait entre son visage et l’uniforme, mais elle ne parvenait pas à mettre le doigt dessus. La mutante eut un grand sourire en apercevant la paire de google perchés sur le sommet de la chevelure de flamme, semblable à celle accroché à son propre cou. Des lunettes de conducteur sur une tête d’Inquisiteur, voilà qui était pas banale…

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

Le mutant tendait les bras. Si on pouvait appeler ça comme ça vers la gamine. Les larmes qui coulaient sur le visage, brisa le coeur de Riki. Elle ne comprenait absolument pas ce qui se passait une voix au loin la fit se retourner. Des gars de la ronde. Il ne devait pas s'approcher d'ici...

''HEY BAGO! Y SE PASSE QUOI LA? DES PRISONNIERS?''

Merde...l'agente se leva et envoya la lampe torche dans la direction des voix.

''NON! ÇA VA! J'AI PAS BESOIN D'AIDE! JE M'EN OCCUPPE!''

''ON T'A À L'OEIL LA BAGO!''

Riki soupira et se remit à la hauteur du mutant et déposa son engin qui faisait de la lumière par-terre. Elle ne reconnu pas Anderstone. Mais le mutant lui faisait tellement pitié...Elle ne pu s'empêcher de prendre le mutant en larme dans ses bras. Elle aurait voulu lui dire que tout allait bien aller. Qu'il allait s'en sortir...Mais elle était incapable de parler. Elle ne savait même pas pourquoi. En fait si. Elle savait que la vie de la chose devant elle n'allait jamais être mieux. Elle se sentie coupable de porter l'uniforme qu'elle portait en ce moment. Mais en même temps...Tout était confus. Peu importe l'autre mutante lui posa une question. Si elle connaissait le mutant.

''Je ne pense pas non...''

Elle retourna son regard vers l'être difforme. Comme pour être sure.

''On se connait?"

La gamine tenta un sourire malgré les sentiments contradictoire qui circulait dans sa tête.

Messages : 140 Date d'inscription : 03/01/2012

Zaranarch était à quatre pattes dans les ténèbres et écoutait la scène. Il ne voyait pas de raison d'intervenir pour l'instant. Surtout avec sa dernière expérience du Sanctum.

Messages : 94 Date d'inscription : 29/12/2011

Il aurait voulu expliquer. Faire comprendre à Riki le chemin parsemé de souffrances qui l’avait attendu. Comme il s’en voulait de l’avoir abandonné durant un instant pareil. Il regardait l’habit de l’Inquisition : Elle avait finalement franchi le pas. Anderstone comprenait ses motivations, mais cela le désolait de la voir habillée comme cela. Pendant un court instant, il se dit que si sa vie devait finir dans les mains d’un membre de la Caserne, ce serait par ses bras à elle qu’il voulait trépasser.

Le mutant n’entendait que vaguement l’intervention de Séraphin. Comme si elle parlait pour rien dire, comme si ces mots n’avaient pas de sens. En gros, il n’avait rien compris. Il n’était totalement obnubilé par la situation qu’il avait oublié de reprendre de l’intérêt pour la discussion qui s’avérait importante pour sa vie et celle de l’autre mutante.

Les gens le regardaient. Ils attendaient visiblement une explication. D’une part, il y avait le regard incrédule de Séraphin qui semblait vouloir rapidement sortir de cette situation. Il ne put s’empêcher de penser qu’elle était responsable de son implication dans ce grabuge et que c’était tant pis pour elle. De l’autre, il y avait le fait qu’il était vu pour la première fois et qu’autour de lui personne ne le reconnaissait. Personne.

Allait-il dévoiler son identité encore une fois ? Il s’était juré que non.
Mais le regard inquisiteur de Riki, son air curieux, comme si elle avait déjà percé le secret sans le savoir lui pesait lourd sur la conscience. Il sentait qu’il serait incapable de lui cacher la vérité. Même si il aurait voulu.

- On se connait ?

Comme un souffle, une étincelle d’espoir également parsemé d’incrédulité. Il voyait bien que Riki n’avait pas si changé que cela. Si elle aurait été réellement des leurs, cela ferait longtemps qu’il aurait été mort, voir dénoncé.

Il chuchota, comme si c’était un sacrifice, une dure épreuve

- Anderstone …

Il n’aimait définitivement pas l’impression de la claque qu’il avait à toute les fois qu’il prononçait son propre nom. Comme si il eut été quelqu’un d’autre. Comme si il n’était incapable d’honorer son propre passé.
Cette confession, il ne l’avait aucunement fait pour l’autre mutant. Il voulait simplement qu’elle le reconaisse…

Messages : 57 Date d'inscription : 31/12/2011

Séraphin entendit le mutant marmonner son nom, << Anderson>> peut-être… Cette simple mention était comme un aveu. Ainsi, l’homme déclarait qu’il connaissait la guetteuse… L’aviatrice fit un pas vers l’arrière, se camouflant dans l’ombre et laissant les deux personnes se parler tout en étant prête à intervenir ou a fuir si le besoin se faisait sentir.

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

Riki resta de marbre, du moins les premiers trente seconde. Peu sure de ce qu'elle venait d'entendre. Que c'était il passé? Qu'était-il arrivé à son cher ami? Elle ne semblait pas y croire. Une mauvaise blague de Matiel? Ce monde était-il assé corrompu pour qu'on est payer quelqu'un, un mutant... pour se faire passé pour son ami? Pour qu'elle choisisse véritablement sa voix? Non elle ne pouvait croire qu'on avait fait ça. Cela aurait été trop horrible...

La gamine leva la lampe de poche à la hauteur du visage. Si c'était bien Anderstone, elle le reconnaitrait. Des yeux...Elle en échappa la lampe de poche. C'était bel et bien lui. Ses sentiments semblaient vouloir se mélanger. Cela faisait un mois qu'elle faisait comme si elle ne ressentais rien ou presque. Elle avait envie de hurler à l'injustice. De le prendre dans ses bras et de le bercer...Elle voulait toute faire en même temps. Elle semblait complètement débousselée. Elle porta son regard sur Séraphin...

''On dois l'amener, loin d'ici! Tu comprends...Maintenant!''

Visiblement elle cherchait du soutient au près de la mutante. Elle replongea son regard sur ce qu'autre fois avait été Anderstone...

''Tu m'as aidé quand j'en avais besoin...maintenant laisse moi t'aider!''

Elle commençait à regarder nerveusement derrière elle. Le temps filait et ce ne serait pas long qu'il pourrait envoyer des renforts...

Messages : 94 Date d'inscription : 29/12/2011

{SONG : Haunted- Evanescence }

Nicolas regardait les différentes expressions qui semblait envahir une à une le visage Riki. D’un moment, elle fut semblé incrédule, comme victime d’une mauvaise blague et par la suite, ses yeux s’agrandirent, trahissant une expression de peur complète et semble-t-il à Anderstone qu’il perçut un peu de dégoût. Sans mots, par contre comme si le temps ce serait figé. Un interminable instant, qui mit Anderstone dans l’embarras, ce demandant si c’était réellement une bonne idée d’avoir divulgué cette information à sa protégée …

C’était comme si il avait détruit une œuvre d’art, un tableau d’une très grande valeur. Détruit une relique, quelque chose qui maintenant n’appartiendrai qu’au passé. Qu’il n’y aura plus aucun espoir de retour, que sa personne n’aura plus rien de mythique, qu’est son retour idéalisé. Il voyait la naïveté se fracturer, lentement se déchirer en milles et une miette. Voir Riki réaliser que le monde est sale. Plus noir que l’espoir qu’elle y mettait, dans la recherche de son père … Des parcelles de l’univers semblaient se détacher de la réalité, comme si le décor devenait flou, se transformant en noir de jais, l’entourage devenait des statues immobiles, le regard fixe et accusateur …

Malgré le temps suspendu, il ne pouvait rien faire. Revenir en arrière. Revenir à l’époque où on lâchait des bombes pour de l’argent. À l’époque où il était un Québecois. À l’époque où il était né. Dire à sa mère de se protéger, elle et lui, contre les radiations ambiante … Retourner à ses 10 ans, lorsqu’il aidait à construire la barrière pour dire à ce gamin d’aller s’habiller. S’enfuir, car le futur lui sera laid et douloureux …

Un fracas fit remettre le temps en place. Le fuseau lumineux, dans sa chute, éclaira le visage horrifié de la StormRider. Nicolas ferma les yeux, ce moment gravé dans sa mémoire. Comme une vieille bande passante d’une cassette, l’épisode tournait en boucle … Toujours en boucle, inépuisable et ineffaçable…

Riki se tournait vers l’autre mutante, espérant avoir de l’aide sa part pour l’emmener loin d’ici… Nicolas ferma très fort les yeux;

- IL EST TROp tard... Riki …, Gémissait-il.

Il se releva seul, jetant sa capuche derrière lui.

- L’Anderstone que tu connais est mort… Laisse au moins garder tes souvenirs intacts de lui… Laisse-moi partir…

Il bascula vers l’avant, d’un pas décidé, arrachant une larme au passage, déchiré entre le désir de rester ou de continuer son chemin… coute que coute.

- Je regrette de t’avoir révélé mon secret… J’aurais tant voulu conservé ta naïveté … Chuchota-il au passage pour lui-même…

Aurait-il pu sentir quelqu’un l’agripper au passage, il n’en savait rien. Mais l’identité ainsi dévoilée, 5 fuseaux se braquaient sur lui, laissant voir sa laideur et sa mutation à tous ceux qui regardaient la scène…

{AUTO-RP : MODE COMBAT ACTIVÉ : 5 Gardes de L’Inquisition armé pointent une lampe de poche sur Anderstone. Vos personnages devinent que s’ils ne font rien, la chose va très mal se terminer. Vous avez libre choix de participer au combat, libre à vous de décrire votre adversaire, vous pouvez également vous exclure du combat mais celui-ci n’a qu’un but lyrique. Vous décidez des gestes de votre adversaire. Le combat se déroulera en 5 tours pour permettre l’interaction entre les personnages-joueurs. Soyez bon joueurs, prenez le temps d'écrire, le but c'est de faire de belles histoires !

Bon Jeu et Bon combat !

Tour :

- Riki Bago
- Séraphin
- Zaranarch et sa créature
- Anderstone }

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

Trop tard? Trop tard pourquoi? Mais que faisait-il....pourquoi il se levais et enlevait sa capuche? Riki n'avait pas de temps de réflexion. Mais non...l'intérieur était toujours Anderstone, il ne pouvait pas être mort. Pour que les gens meurent, leur coeur devait arrêter de battre. Et le mutant qu'elle avait devant elle, était bel et bien vivant. Conservé sa naïveté? Riki en avait plus, partir à la recherche des secrets de son père lui avait tout enlevé cette part que les gens. Elle se leva et essaya de le retenir, mais il était trop tard. Cinq gardes se trouvaient à présent devant eux.

**FUCK FUCK FUCK** pensa t'elle. Elle ne pouvait se battre contre l'inquistion. Elle ne pouvait juste pas. Mais elle ne pouvait pas non plus tirer sur Anderstone! C'était inconcevable. Mais la colère montait en elle. Elle ne devait pas...Elle avança en avant d'Anderstone. Pour montrer qu'elle était toujours en vie, non blessé et membre de l'inquisition. Elle tourna son regard vers Anderstone et lui murmura un désolé...

Elle se dirigea vers les membres de l'inquisition. Elle avait un plan, elle espérait juste que cela allait fonctionner et qu'ils allaient comprendre le plan. Si tout les membres de l'inquisition mourraient, et qu'elle soit blessé, elle pourrait faire a croire a une attaque et qu'elle était la survivante et que les mutants avaient fuit.

Elle se plaça côte à côte avec le membre de l'inquisition placer au milieu, face au mutant. Elle sortit Son petit hand gun. Les autres membres de l'inquisition fit alors de même. Alors qu'elle avait le gun sortie, la gamine fit comme si elle allait murmurer à l'agent du milieu, mais tout ce fit très rapidement. Le fusil alla directement à la hauteur du coeur et elle tira.

Riki venait de tuer son premier être humain...

Elle avait les mains pleines de sang et tremblaient. Elle venait presqu'entièrement de tuer l'ancienne Riki. Mais elle n'eut à peine le temps de réagir que deux des agents se lancèrent sur elle pour tenter de la menotter. Mais la gamine semblait trop habile pour eux. Elle tira à nouveau dans le genou de un des deux agents, les autres semblaient ce concentrer sur l'arrestation de Séraphin et Anderstone...

Messages : 57 Date d'inscription : 31/12/2011

''On dois l'amener, loin d'ici! Tu comprends...Maintenant!''

La mutante jeta un regard incrédule vers l’humaine. Ne voyait-elle pas que ce fameux ‘’Anderson’’ avait compléter sa mutation et que l’on ne pouvait désormais plus rien pour lui? Séraphin se mordilla nerveusement la lèvre, ne sachant pas trop quoi faire tandis que le mutant reprenait la discussion avec celle qu’il appela Riki. Visiblement, ces deux-là s’étaient rencontrés en des temps antérieurs aux transformations du mutant et qu’ils avaient développé des liens forts. La géante souhaita en son for intérieur que ces transformations n’empêcheraient pas à cette amitié d’évoluer, même si elle se doutait qu’il était difficile de passer outre la nouvelle apparence de ce qui avait dû être auparavant un homme.

Soudain, le mutant se releva et se remit en marche, laissant du même coup sa capuche retombée sur ses épaules, dévoilant ainsi les ravages que les radiations avaient causés à son visage. Aussitôt, cinq projecteurs se fixèrent sur sa silhouette sombre et des gardes émergèrent de la Caserne Sanctum dans le but d’arrêter les inconnus. Séraphin les compta rapidement. 5 gardes, plus la dénommée Riki. Mais dans quel camp cette dernière se battrait-elle? Contre ou pour son ami? L’androgyne espéra que ce serait la deuxième option, mais en voyant la rousse sortir son arme et se rapprocher des gardes, elle eut un doute. Elle recula, suivant des mains le long du mur jusqu’à ce qu’elle trouve une anfractuosité, espérant pouvoir fuir dans ce tohu-bohu ni vu ni connu. L’aviatrice se cacha dans ce contrefort du mur et souffla un peu, entendant des coups de feu en direction de la Caserne. Soudainement, les remords la surprirent. Elle ne voulait pas abandonner ces deux personnes qui venaient de se retrouver à leur sort, ni laisser ce mutant courir à sa propre mort sans avoir compris pourquoi. En plus, une curiosité dévorante l’assaillait. Elle voulait savoir comment tout cela allait finir.
L’androgyne reprit son souffle et se saisit de l’arme qui pendait à ceinture, songeant avec amertume que c’était la seconde fois qu’elle y avait recours. Elle n’avait jamais tué, mais elle savait que ce genre de geste risquait fort probablement de lui pourrir la vie jusqu’à la fin de ses jours, mais à ce moment précis, elle s’en foutait, la curiosité et le besoin de justice la guidant.

La mutante sortit de sa cachette et siffla pour attirer l’attention des gardes. Un homme se retourna, pointa son arme vers elle et tira vers sa poitrine, mais la mutante eut le temps de faire un pas sur le côté, échappant à la morsure de la balle, mais récoltant tout de même une large éraflure sur son bras gauche d’où jaillit rapidement le sang. La mutante mit le garde en joue, prit une profonde inspiration et laissa le coup partir. La balle atteignit en plein le haut du torse, à un endroit du corps moins recouvert par les protections. L’homme ouvrit de grands yeux hallucinés avant de s’écrouler au sol, mort. Séraphin abaissa son arme et baissa les yeux, se rendant finalement compte de son geste. Ce qu’elle venait de faire était horrible, elle venait d’arracher à un être ce qu’il y avait de plus important pour lui; sa vie. Peut-être que cet homme avait une famille, peut-être avait-il rejoint l’Inquisition de force, peut-être était-ce un homme juste… La géante releva la tête, croisant le regard mort et accusateur de l’homme qu’elle venait d’abattre.

Soudain, une balle siffla près de son oreille, la ramenant à la réalité. Ce n’était pas le moment de se paumer sur les forfaits commis, c’était le temps d’agir. La mutante alla se coller au mur afin de diminuer le champ de vision à surveiller. Pour l’instant elle était sauve, les gardes semblant accordés plus d’attention à Riki et à Anderstone. L’aviatrice constata que la jeune femme semblait avoir pris le partit du mutant, faisant fi des représailles que ce choix entrainerait. L’androgyne survola la bataille des yeux, remarquant les deux corps gisant au sol, sur le qui-vive et prête à intervenir si quelqu’un se trouvait en situation d’urgence.

Messages : 140 Date d'inscription : 03/01/2012

Zaranarch regardait la scène avec un ébahissement total. Il n'arrivait pas à croire que Riki soit si...conne. N'avait-elle pas choisi de devenir une inquisitrice? Elle attaquait de front ses maîtres. Elle serait condamnée à jamais à fur la civilisation.

Séraphin sortit à son tour de l'ombre pour s'en mêler. Quelle connerie...

Le mutant attardé ne prenait même pas la peine de se défendre! Il laissait les autre se faire absorber par son aura de suicide.

L'anarchiste descendit de son toit par une échelle de sécurité, ordonna à son «chat» de rester en haut et s'approcha dans l'ombre pour observer attentivement la scène. Il sortit ses deux pistolets modifiés et attendit de voir la tournure des évènements.

Messages : 94 Date d'inscription : 29/12/2011

Jusque là, il était difficile pour tout le monde de comprendre les réelles intentions d’Anderstone. Sous cet air de suicidaire malheureux sacrifiant sa vie sans rien demander en retour, il y avait une force rageuse et bersekeur contenue en lui depuis sa transformation. Cette rage qui suitaient de tous les maux du District. Il en voulait d’avoir eu cette vie de chienne avec toute une population qui tente de se retrousser les manches pour remettre en état ce qui avait été abusé auparavant. Tenter de rendre les choses plus belles pour les situations futures et d’être toujours puni par les Dieux, par cette pourriture de transformation obscure aux yeux de l’Inquisition. Une maladie pestinentielle, sans retour, une humanité condamnable par la mort … Cet inévitable questionnement qui pullue la souffrance des autres et la sienne, un désir de venger, d’expier sa frustration contre ceux qui maintiennent la souillure du peuple. Qui prétendent connaître le mieux, pour une population qui a peine à se relever de ses anciennes blessures.

Ne serait-ce pas merveilleux, qu’un mutant aussi horrible qui lui puissent venger les anciens de ce monde, qui on travaillé de leurs forces et que par cette bravoure, soient tués ou controlé par des gens qui prétendent la mutation comme une anti-humanité, des monstres de foire ambulants dénués de raisons… ?

Durant cette fraction de secondes que les fuseaux présentaient son visage défiguré, un étrange sentiment naquit … Une fierté. La fierté de causer autant de dégoût aux Inquisiteurs. D’être … Différent. Des idées d’un monde nouveau s’évaillaient en lui, comme un orgasme… Une révolution mutantique, voilà des mots qui l’exitaient. La folie transcendait son être par toutes les pores de la peau.

Une folie programmée depuis qu’il eut voulu … le retrouver.

Le retrouver ! Pour lui enlever des lanières de chaires ! Pour le défigurer, pour réduire son autorité en miettes, détruire le roi et libérer le peuple … Détruire, torturer, tuer. tuer.

Anderstone est mort Riki ! L’homme faiblard, l’humain peureux, celui qui se contentait de faire comme tout le monde ! Cette carcasse de bien paraître ! Lui qui ne s’est jamais élévé dans cette société, toujours rétrogradé au titre de milicien, même après 40 années de services à un système corrompu par l’Inquisition et les mercenaires qui sont idôlatré par nos services de sécurité, mettant ainsi femmes, enfants et hommes entre les mains d’une communauté de commerçe sombre et sans valeurs…

Comme si il aurait laissé derrière lui toute ses craintes et ses anciennes peurs lorsqu’il avait franchi ce pas. Comme une décision officielle, un non-retour dans son inhumanité. Il brulaît d’une assurance qui faisait peur à voir, comme si, tout d’un coup il aurait changé de personnalité. Le dernier geste condamnné d’un désespéré. Un sourire malveillant paraît sur son visage.

Riki avait prit le pas, passant près de lui. Un simple désolé, pour retourner auprès de ceux qu’elle croit être les siens. Mais soudainement, il eut vu dans ses yeux. Non, elle jouait la comédie. Il voyait sa main se tressaillir sur son armement, se dirigeant innocament vers ceux contre qui elle allait déjouer …
Tout se passa en une fraction de seconde. L’éveil de la nouvelle Riki, la trahison et le combat de ses valeurs… Il n’eut trop su si elle savait la raison pour laquelle elle se battait… Mais il fut certain que son inconscience était la raison. La même que celle de tout un peuple qui voient que la société ne tourne pas rond…

Une balle passa tout près de lui. Il n’eut envie de jeter un regard derrière lui, car il n’aurait pas eut le temps, mais il devina que la mutante avait également engendré le combat au même moment.

Défenseurs d’un injustice. De la sienne et de la leurs. Pour les droits a la relation mutante-humain possible …. Un début …

Deux corps étaient déjà étalés sur le sol, une marre de sang s’élargissant rapidement devant eux. Deux des militaires toujours vivants avaient restés incrédules par tant de vivacité, l’autre émit une longue plainte, touché au genoux.

La cape qui recouvrait le corps d’Anderstone tomba à ses pieds, laissant voir son pistolet attaché à son bras gauche, muni d’une corde sur la cachette qui était reliée à son bras droit. La chose était en soit ingénieuse, un plan pour déjouer le fait qu’il n’avait pas de pouce …

-POUR LE PEUPLE !!!

Il tira 2 fois rapidement sur la cachette. En réponse, 4 balles fusèrent de toute part sur lui, mais Nicolas roula sur le coté (dextérité 4 + acrobatie 1 ) et eut la chance d’éviter le premier raid de balles. Il continua de rouler derrière une poubelle et se replaça pour tirer.

Il vit que Riki n’était pas protégée … Il fallait qu’elle trouve un endroit ou se cacher sinon elle n’allait pas rester en vie très longtemps, les derniers adversaires on l’air de savoir éviter les balles…

Ils aiment me faire faire leurs foutue patrouille ceux la... De nuit, bien sur. «Ouais, avec ton odorat, t'a pas besoin de tes yeux, t'es nettement plus efficace que nous la nuit, tu sais...». Connerie, il nous donne des putains de lunettes de vision nocturne pendant les patrouilles, un bon nez ou pas, on voit comme en plein jour... Peut importe, dans leurs histoires, je tien jamais le gros bouts du bâton, un mot d'eux et je disparais dans une cellule sans lumière jusqu'à la fin de mes jours. Et certains n'attendent que ça. Dès que je ne serai plus utile, babye le renard. Mais je serai loin bien avant que se jour n'arrive. Le plan est bien ancré dans ma tête.

Bon, pour en revenir au sujet principal: Ouais, je vais une patrouille de nuit... Vadrouillant sur les toits, mon sniper entre les pattes. Un habit de camouflage recouvre l'entièreté de mon corps. A vrai dire, c'est qu'un amas de tissus un par dessus l'autre dans des plusieurs teintes de gris et de noir et couvert de boue a quelque endroit. Le but étant de gâcher les formes trop nette. La boue cachait un peu la signature thermique aussi, mais pas suffisamment pour tromper des lunettes thermales, ou la vision d'une quelconque créature qui voit la chaleur. Mon visage était cacher par un épais foulard, en plus du masque a oxygène en dessous et des lunettes de vision nocturne était fixer au casque de kevlar qui trônait sur ma tête. Je déteste faire ça... Je suis pas une gardienne d'enfant, non mais...

Je me poste sur le rebord d'un toit, mon arme sur les genou, observant l'horizon, le ciel... Malgré tout, c'est une belle nuit pour faire une patrouille. J'ai vu pire... Le vent est frais a cette hauteur et tout est calme... J'ai mon arme, mais a vrai dire, c'est surtout pour la lunette, je suis pas habilité a tirer si jamais un conflit éclate, je dois appeler l'officier en devoir qui lui vas envoyer des gens régler la situation... Et puis, je déteste sortir dehors sans arme. Trop d'ennemis, pas assez de gens sur qui compter a travers les rues. Relevant quelques instant mon foulard et mon masque a oxygène, je glisse une clope entre mes lèvres, tirant de longue bouffer avant qu'une poignée de lumières ne s'allume en contrebas, un peu plus loin sur la rue.

*Bon, un peu d'action au moins...*

De toit en toit, je prend tout de même quelque minutes pour me rendre et ça a déjà dégénérer lorsque j'arrive. Rapidement, je me couche sur le ventre, déployant le bipied de mon fusil de précision pour l'installer sur le rebord du toit. Un champ de tir presque parfait. Pas de civil dans les pattes a cette heures. Mais ma job, c'est pas de tirer, malheureusement... Quoi que...

Rapidement, je reconnais quelque visages. D'abord celui de cette débile de Bago. Qu'est-ce qu'elle fout la...? Et elle se dirige vers ceux que je finis par discerner comme des membres de l'inquisition. Je savais qu'elle était pas nette cette gamine, j'aurais dû l'abattre quand j'en avais l'occasion... Hum... J'ai sa tête tout au dessus du petit V inverser qui me sert de mire et j'ai le doigts qui démange mais... Elle pointe son arme sur... Deux... Mutants? Merde! J'aurais vraiment du l'abattre alors que sa petite tête était a quelque millimètre de mon canon. Et en plus, un des deux visage m'est familier... Non... Merde, Deux. Si elle lui touche, c'est pire que la mort ce qui attend la petite rousse. Lorsque je remet la gamine en joue, son arme est pointer sur le torse d'un des membres de l'inquisition et.... Elle tire. Bon, peut-être bien qu'elle vas avoir la vie sauve. Reste qu'elle est avec cette bande de tarer. Elle a quoi comme idée derrière sa petite tête encore elle? Je lui donnerais le bénéfice du toute, visiblement, Bago est plus du côté des mutants que de celui des fanatiques et sa jouais en sa faveur. Mais pour garder sa couverture, faudrait pas qu'elle s'en sorte indemne, et ça, je pourrais m'en charger sans trop de remords...

Pour l'instant, je me contente d'observer, voir comment la situation irait... Deux se pousse, parfait.

*Tien toi loin fillette, te mêle pas de ça...*

L'autre mutant, jamais vu par contre, mais reste que... Je vais pas le laisser ce faire buter. Même si il semble pas tout a fait brillant de se balancer sur le Sanctum comme ça. Il reste un mutant, et j'ai en quelque sorte fait promesse de les «protéger», la première fois que j'ai abattu un milicien pour sauvée une mutante inconnue. Les suicidaire aussi méritait de vivre... Du moins, c'est pas la meilleurs manière de ce suicider. Pas mal plus de chance de finir dans un labo que de mourir...

Des balles fuses vers l'endroit où Deux c'est barrer... Non... Merde! Ma mire se braque sur l’agresseur de la géante et elle aussi. Le pistolet que je lui est donner... J'avais pas envie la voir tuer quelqu'un, pas envie qu'elle porte se fardeau... J'enfonce la détente a moitié mais elle me prend de vitesse. Une balle en plein torse.

-NON!

C'est sortis tout seul et me voila a découvert. Bravo champion. Tu pourrais te mettre une cible dans le visage et un panneau néon qui dit «Tirer ici». Mais j'avais pu retenir le cris, la mutante était juste en bas, elle l'aurait surement entendu, et bien plus surement reconnu. Faudrait pas qu'elle perdre le focus... Des balles font bondir des petits nuages de sable tout autour de la jeune femme. Mon arme se braque rapidement sur l'homme qui lui tir dessus... Tu t'en est pas prit a la bonne personne mon grand, tirer sur Riki, ça va encore, mais touche pas a Deux... Deux sifflement sourds et l'homme s'écroule, raide mort. Deux tirs précis qui l'atteigne a la tête sans lui laisser de chance. Il ne reste plus qu'un adversaire, que l'autre mutant viens de criblé de balle... Sans le tuer par exemple.

C'est pas ma priorité. D'abord Bago, on s'occuperais du dernier adversaire après si le mutant l'avais pas déjà abattu. Je sais exactement quoi faire, c'est un tir qu'on a souvent pratiquer avec la cameleon. Chez une femme, c'était encore plus facile, la poitrine rendais le tir encore moins dangereux. Si tu tirais dans la poitrine, elle mourrait, fallait donc tirer entre celle si et la clavicule. Un tir plutôt facile surtout qu'elle me fait face. On l'avait pratiquer cents fois, avant de le tester... Une sorte de rituel de passage, une manière peu orthodoxe de comprendre l'utilité du tir, et aussi, surtout, d'apprendre a faire confiance a ses partenaires. On se tenait donc a bonne distance et chacun notre tour... On tirait sur un de nos compagnon. Pour ensuite ce faire tirer dessus. La cicatrice serait la pour nous rappeler que c'est pas un tir a prendre a la légère. L'armée et c'est foutu rituel... Certains avait laisser leurs vie dans ce test. Stress, mauvaise température... Et bien sur, certain ce haïssait et c'étais un bon moment d'éliminer un indésirable.

Bon, trêve de parole inutile. J'ai rêver de ce moment depuis si longtemps... Le silencieux au bout de mon arme couvrirais la majorité du bruit du tir, mais quel importance maintenant? Tout ce que sa pourrait changer, c'est que Rikki et Deux, qui m'avais déjà entendu tirer, pourrais surement reconnaître le son de l'arme. Je vise, remplis mes poumons d'air et expire lentement.... La balle atteint sa cible, blessure superficielle. Douloureuse, mais loin d'être mortelle. Elle aurait besoin de soin mais s'en sortirait aisément et pis... Bordel que ça m'avais fait du bien! Elle resterais suffisamment consciente pour continuer a ce battre, mais ce serais délicieusement douloureux. Du moins, de mon point de vue, je jubilais de la voir ainsi. Elle me remercierait plus tard... Ou voudrait me tuer.

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

Les balles fusaient de partout. Riki n'était pas sûre vraiment de ce qui se passait. Mais l,agent qui était à présent par-dessus elle était complètement ensanglanté. Elle jeta rapidement au coup d'oeil aux autres pour voir comment ils se débrouillaient. Tous les mutants semblaient vivants. Bien. Par-contre il y avait un bain de sang par-terre. Et elle était en pleins dedans. Elle et l'agent blessé se frappaient à coup de poing. Elle en était étourdit. Mais quelque chose sur elle avait prit le dessus. Sa rage de vivre, c'était transformer en rage dévastatrice. Elle frappait sans cesse l'agent sur elle. Ses poings étaient en sang. Son oeil enfler. Soudainement, elle sentit une douleur atroce dans sa cuisse gauche. Une douleur comme jamais elle n'avait ressentis. Cette douleur qui prend sans qu'on y attende, que notre coeur fait mal et que la tête tourne. Elle prit quelques instants pour regarder. Un couteau. Qui passait presque de barre en barre de la cuisse. La jeune rouquine cria de douleur, prit son courage à deux mains et arracha le couteau de la cuisse. Autre cri qui perce la nuit.

Ça ne devenait plus du tout subtil. Son plan ne marcherait pas. Elle était fichu, elle en était sûre. Tout le monde était fichu. l'agent était allongée pas très loin d'elle, lorsque soudainement, une balle sortit de nulle part l'atteignit un peu plus haut que le coeur, près de la clavicule. La gamine perça un autre crie. Cette dernière en apparence était une dure à cuir, mais elle n'avait jamais du faire face à la douleur directement. Ni directement lier à la mort de qui que se soit. Sa tête tournoyait encore plus. Elle sentait le sang battre dans ses tempes. Mais se sont de balles...elle savait...se doutait...Soldat Liams? Mais pourquoi...pourquoi lui tirait-il dessus. Putain elle était mal barrée. Et dans tous les cas. Elle avait mit sa vie entière en péril pour sauver quelqu'un qui ne semblait même plus tenir à la sienne. Elle avait tuée. Riki regardait autour d'elle les yeux pleins d'eau.

Elle se sentait perdu. Mais tous devait être mort..c'était le plan. Si elle devait être arrêter au moins sa ne serait pas en vain. Elle aurait suivit ses idéologies et son plan jusqu'au bout. Donc de son bras fonctionnel, elle leva son arme et tira dans la nuque de l'agent plus que blesser. Il était à présent mort.

Il en restait un de vivant. Visiblement il tremblait. Il leva son arme, mais ne tirait pas. il semblait vouloir gagner du temps avant que les renforts arrivent. Avec toute le bruit devant la caserne Sanctum ceux-ci ne devrait pas tardé. Riki avait son arme de pointer sur lui, mais c'est comme s'il y avait quelque chose qui l'arrêtait. Ils se fixaient les deux, les armes pointés chacun sur l'autre. Ni un ni l'autre osant tiré pour le moment.

Messages : 57 Date d'inscription : 31/12/2011

-NON!

Séraphin sursauta en entendant cette voix qui semblait provenir du ciel et qui lui était étrangement familière. Elle allait jeter un œil vers la provenance du son lorsqu’une rafale de balle la prit de court, l’obligeant à prendre la fuite vers les murs. Derrière elle, deux sons plus ou moins distincts, puis le bruit d’un corps qui s’effondre. Une fois adossée au mur, l’aviatrice contempla le champ de bataille tout en tentant de reprendre de son souffle, remarquant qu’un nouveau cadavre avait mordu la poussière, sans que cela soit de son fait ou celui de Riki et Anderstone. La mutante leva les yeux vers les toits, regardant l’endroit où il lui avait semblé entendre un cri. En plissant les yeux, Séraphin parvint à percevoir un mouvement, une silhouette sombre se détachant dans la noirceur du crépuscule, accroupie au-dessus d’une arme qui reflétait le peu de lumière. Ainsi donc, un sniper avait rejoint la bataille et avait pris le parti des mutants… Ou peut-être juste le sien. À bien y penser, le cri avait retentit après qu’elle est tirée et c’était le tir du sniper qui lui avait sauvé la mise. Ainsi, le sniper la connaissait… Et elle ne connaissait qu’un sniper. Le déclic ne fut pas long a arrivé dans l’esprit de la mutante qui empoigna furieusement son arme avant de la diriger vers la silhouette juchée sur le toit.

Soudainement, le cri de Riki retentit, déconcentrant l’aviatrice. La rousse, en piètre état depuis son combat, venait d’arracher un couteau de ses chairs. Elle eut à peine le temps de reprendre un peu ses esprits que le son d’une balle sifflant l’air survint, rapidement suivit d’un second cri de la jeune vigile. Séraphin se retourna vers l’endroit d’où provenait le tir. Du haut des toits, évidement.

*Non, mais c’était quoi son problème, lui? Il prenait pour quel parti à la fin?*

La mutante rangea son arme dans sa ceinture, sachant pleinement qu’elle n’aurait aucune chance d’atteindre sa cible dans une pareille obscurité. Une fureur sans nom la dévorait de l’intérieur, entièrement dirigé vers la silhouette se confondant avec le ciel sombre. Elle lui en voulait, l’accusait de mille et un torts d’une façon peu juste. Elle avait été blessée dans son orgueil, dans ses certitudes, et elle voulait que quelqu’un paie.

Séraphin s’élança vers l’un des contreforts des murs de l’autre côté de la rue et commença à grimper, les gestes commandés par une fureur sans nom. (escalade 1) Elle prenait appui sur le mur et le contrefort, utilisant sa grande silhouette pour choisir les meilleures prises et ses longs doigts pour affermir sa position. Au bout de deux minutes à peine, elle se trouvait sur le toit. L’androgyne n’attendit pas de reprendre son souffle, la colère menant ses pas à proximité du sniper.

Fébrilement, elle retira une nouvelle fois le pistolet de sa ceinture et le pointa de nouveau vers la silhouette étendue sur le sol. Le fusil placé à coté lui rappela des souvenirs. Il n’y avait plus de doute possible.

- Zack Liams!

L’arme à feu tremblait dans les mains de l’aviatrice tellement sa colère et sa tristesse était grande. Elle avait le gout du sang en bouche, mais en même temps, il lui semblait que ses mains en étaient souillées et cela l’empêchait d’agir. Elle voulait que le zoomorphe ait mal, au moins autant qu’elle avait eu mal elle-même, elle voulait qu’il souffre et elle voulait voir cette douleur. Mais en même temps… Elle se sentait incapable d’infliger une quelconque blessure au renard. La mutante n’aurait su dire pourquoi, malgré la haine qui la consumait de l’intérieur, elle éprouvait une sorte de sympathie envers cet être. Même s’il s’était joué d’elle, même s’il l’avait fait changer…

Une larme coula sur la joue de la mutante tandis qu’elle abaissait son arme, incapable de la pointer une seconde de plus vers le zoomorphe. Elle ne pouvait pas lui en vouloir. Cette perte l’avait amené à se questionner et à changer pour le mieux. Elle avait perdu beaucoup, mais elle avait aussi gagnée beaucoup, et c’était ça qui était important.
Malgré cette larme qui trahissait son émois intérieur, l’androgyne se composa un masque impénétrable, son regard mort se figeant presque tandis qu’elle reprenait d’une voix blanche.

- Que fais-tu ici? J’avais espérée ne plus te revoir…

Un rictus incertain flotta un moment sur les lèvres de la mutante. La dernière phrase avait sonné incroyablement faux, mais elle voulait cacher son trouble, montré qu’elle avait déjà passé à autre chose, bien que cela ne soit pas encore totalement le cas.

Séraphin se tenait droite, à l’affut du moindre mouvement suspect tant de la part du renard que ceux du bas. Désormais, la méfiance était sa philosophie et sa seule alliée véritable, et elle valait pour tous…

Messages : 94 Date d'inscription : 29/12/2011

( Désolée pour l’énorme retard, j’avais aucune idée comment amener le sujet T_T Gomen ! )

Toujours caché derrière sa poubelle, Nicolas jeta un rapide coup d’œil sur le reste de ses munitions : Encore 2 balles. Il leva la tête vers le ciel, comme si elle était une génératrice de confiance, comme les anciens qui regardaient en haut, espérant que le bon Dieu fasse quelque chose pour eux. Du coup, il vit dépasser sur le haut de l’édifice, quelque chose qui ressemblais à une touffe de poil roussi muni d’un bâton. Mais rapidement, il identifia plus nettement les contours, il s’agissait d’un tireur zoomorphe. Il semblait pointer son arme sur l’équipe de la Caserne. Un air confiant apparu sur le visage de Nicolas.

*Nous avons finalement le dessu de la situation … *

Durant cet instant d’égarement, il entendit derrière lui un cri d’agonie. Il voyait Riki, couchée sur le sol, la jame ensanglantée. Elle avait été touchée. Il s’apprêtait à s’élançer sur elle, prête à la chercher immédiatement. Lors de sa course, une balle l’atteignit en pleine poitrine. Le cœur de Nicolas n’en fit qu’un bon, le sang montait à son cerveau rapidement, au point de l’étourdir et de ne plus qu’entendre les battements dans ses oreilles. Le zoomorphe avait surement cru à se que Riki soit l’ennemie.

- NOOON !

Il vidait son chargeur sur le dernier debout devant lui. Il vit du coin de l’œil Séraphin grimper sur le toit de l’édifice afin de s’occuper de l’autre.

Il s’étala sur Riki. Il n’étais pas spécialiste des blessures, il n’avait ni la force de la déplaçer sans lui faire de mal.
Il jeta un regard meurtrier derrière lui. Il fallait partir et vite. Il regarda sa pauvre amie, seuls la caserne pouvait s’occuper d’elle.

Les gerdames arriveraient bientôt.

- Ma belle … Je m’excuse de tout mon cœur de t’avoir embarqué dans ce délire… j’espère que tu sauras me pardonner…

Il se mit à courir dans le quartier pour que l’on perde sa trace.

Il allait tôt ou tard retrouver la boule rousse et venger Riki.

Messages : 140 Date d'inscription : 03/01/2012

L'anarchiste s'était glissé d'ombre en ombre pour se rapprocher et tirer partie des opportunités. Il se rendit bien vite compte que le combat était un désastre pour les deux côtés. Lorsqu'il aperçu la gamine blessé et le groupe de rebelle qui se dispersait, l'anarchiste comprit que cette fois, Miss Bago allait passer au peloton d'exécution.

Le «Zar» se fondit dans les ténèbres jusqu'à la blessée et la traîna:

(voix robotique) «Coucou la révolté! Et oui, j'étais caché au même endroit que je suis disparut depuis 2 mois après avoir été interromppu. J'étais déçu que tu ais quitté notre conversation menottes aux poignets, alors je t'ai attendu.» What a Face

L'anarchiste invita la rouquine à embarquer sur son dos pour courir hors d'ici avant que toute l'armée débarque...et que Riki perde tout son sang.

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

Malgré la douleur, l'anarchiste pu voir passé un amalgame d'émotion dans les yeux de la gamine. En arrière plan on pouvait entendre l'inquisition bougé et aussi les voirs se mouver.

''En fait je remercie...et...je ne te demande pas de comprendre ce que je vais te demander. Mais redisparait et vient me voir à l'hôpital...j'ai...un plan....''

La gamine rousse avait de la difficulté à respirer à cause de la douleur....

''Mais...vous devez partir....pour le moment...''

Elle lui tourna le dos et se dirigea vers l'attroupement de l'inquisition les bras dans les airs montrant sa carte de l'inquisition. Elle tomba sans connaissance devant les agents de l'inquisition qui se précipitèrent sur la blessé, laissant ainsi le temps a Zar de fuir.

Messages : 140 Date d'inscription : 03/01/2012

Le «Zar» disparut...(Fuite Cool

Messages : 255 Date d'inscription : 01/01/2012

(je savais tellement que tu allais faire ca XD)

» 2(séraphin) - accepté
» Zaranarch - Accepté
» Zack Chancellor- Accepté
» Zack Liams - Accepté
» le serpent sort de son trou (pv Zaranarch)