En attendant les soins de Boucle Brune

[ Voir Marche dans le Souk ]

Notre quatuor venait tout juste de débarquer dans le bâtiment. Ouvrant l'une des deux énormes portes avec son épaule, Nicolas jeta un regard circulaire dans la pièce qui se trouvait à être l'entrée. Plutôt bien décoré pour un endroit en manque de ressources, l'accueil ressemblait un peu à ceux qu'il y avait dans le temps de l'avant guerre, avec un poste à l'entrée protégé d'une vitre. L'endroit se prolongeait vers la droite et la gauche qui se transformaient en couloir qui menaient tout au travers du bâtiment.

Une assistante était installée devant le bureau, occupée dans ses paperasses. Ces lunettes posées sur le bout de son nez, elle jeta un bref regard à la troupe qui venait de débarquer. Elle reconnu Nicolas et ses yeux globuleux trop encadré par son maquillage noir s'équartillèrent de surprise lorsqu'elle vit que celui-ci n'avait que quelques fils qui pendaient à la place de ses bras. Elle se leva d'un coup sec et contourna son abris tout en faisant claquer ses talons.

- Oh Mon dieu ! Monnsieur Anderstone, mais que vous est-il arrivé ?

Elle arrivait vers lui, posant ses mains sur sa combinaison, en secouant la poussière. Elle releva les googles de Nicolas sur son casque de cuir et baissa son masque à gaz. L'air était saine et contrôlée. Il recula un peu, la proximité avec cette étrange femme le rebutait toujours un peu. Néanmoins, il lui rendit un sourire respectueux, pour démontrer qu'il ne ressentait aucune douleur.

- Sa va Madame Jacobson, ce n'est qu'une question de rafistolage. Pouvez-vous contacter mon supérieur, question qu'il envoi quelqu'un pour me remplacer pendant que nous rendons une civile dans la salle de contrôle de qualité ?

- Pourquoi est-ce que vous n'allez tout simplement pas à l'infirmerie ?

Elle jeta un regard sur la principale concernée. Le peu de vêtements protecteurs démontre qu'elle avait surement eu un contact prolongé avec l'air extérieur. Elle croisa ses bras tout en mordillant son index gauche.

- Je vois ... Dans ce cas-ci il y a beaucoup d'analyses à faire, je pourrais vous référer à Jasper Thorn, c'est un scientifique spécialisé en bio-chimie... Je vais tenter de le contacter, il aura de meilleurs équipements au centre scientifique qu'ici... En attendant, tenez.

Elle lança les clefs du département d'informatique vers Riki

- Vous aurez tout l'équipement nécessaire pour réparer vos bras...

Nicolas adressa un clin d'œil à Riki. Elle allait adorer cette pièce, qui est remplie d'objets pour l'électronique... Il indiqua le chemin à prendre et traversa le corridor droit. Quelques minutes plus ils se retrouvèrent devant une porte très simple... Il fit une petite pirouette, pour faire gentlemen.

- C'est à vous, très chère....

Riki suivait avec sa grosse boite. Une fois à l'intérieur, elle retira son masque à gaz et monta ses goggle sur sa tête. On pouvait mieu voir à présent le jolie minois qui semblait durcis par la vie. La gamine fit un salut à l'assistante.


''Peux-tu avertir s'il te plait que la recrue Bagot ne sera pas au souper...Thanks!''

Elle passa sans attendre la réponse et suivit le mercenaire dans le couloir. Ils s'arrêtèrent devant une porte. Il lui fit une courbette qu'elle remarqua à peine. Entre autre lorsqu'elle vue ce qui l,attendait à l'intérieur de la pièce. Tel une enfant, elle déposa la boite et enleva le haut de sa combine. En fait c'était comme un manteau. Elle se retrouva en pantalon taille basse moulante, de tissu inconnu, mais visiblement strech. Probablement un tissu protecteur pour l'extérieur. Elle portait une camisole noire courte laissant voir finement ses muscles et ses courbes féminine généreuse qu'elle ne se doutait pas qu'elle avait...Peu importe.

Elle courrait partout dans la pièce comme une gamine dans un magasin de jouet. Elle était visiblement dans son élément. Elle sortie les deux bras et observa attentivement comment c'était fait. Elle avait un peu de connaissance à la matière. Elle devait voir ce qui avait brisé. Elle comprenait le mécanisme. Mais ne comprenait pas comment tout était connecter aux cerveau. Elle ouvrit donc un vieil ordinateur. Il devait y avoir des shémas. Si oui, elle pourrait suivre le shémas...

''Anderstone....je vais avoir besoin de touer, assis sur une chaise...je dois observer comment s'était connecter...''

Elle sortie de son manteau une cigarette rouler visiblement a la main. C'était très home made un peu plus et on aurait pu penser que c'était un joint. Elle l 'alluma et commença à faire le tri dans les pièces. Il y avait des pièces pour la radio....

''Vos bras sont tu entré dans le comput', genre dans base de donné?"

Demanda la jolie rouquine. Oui a présent on pouvait mieu voir uen fois tout enelver seul ses goggles étaient rester sur sa tête....

Katrine avait sagement suivie Riki et Nicolas depuis le Souk. Elle était intimidée par la situation, intimidé par l'attention qu'on lui portait et les compliments qu'on lui disait. Elle n'en était pas habituée. De plus, dans le chemin du Bazard jusqu'à l'académie elle s'était muré dans un long silence. Elle avait préféré observé et mémorisé toutes les informations qu'elle pouvait. Premièrement, le chemin pour se rendre à l'académie. Ensuite, les gens que l'on pouvait croiser ainsi que leurs fonctions et troisièmement, le chemin de l'entrée jusqu'à la salle où elle se trouvait. Ce n'est pas qu'elle n'avait pas confiance dans les gens qui se trouvaient avec elle. C'était simplement qu'elle aimait connaitre l'environnement où elle était et avoir la capacité de s'enfuir si la situation venait à dégénérer.

La jeune femme se laissa observer par la dame que Nicolas avait appelée Madame Jacobson, à première vue elle avait l'air d'un réceptionniste et non d'une scientifique. Elle eu la confirmation lorsqu'elle la référa à un monsieur Thorn. Katrine
regarda Nicolas et Riki se rendre dans une deuxième pièce, où, a ce que Katrine avait compris, les dégâts qu'elle avait causée au bras robotisé allaient être réparé. Elle jeta un regard dans leurs directions puis elle regarda Yaël. Katrine ne savait plus quoi faire, devait-elle les suivent ou bien rester ici pour qu'on l'examine. De plus, elle n'aimait pas l'idée se faire inspecter par quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Toute sa vie elle l'avait passé loin des médecins et des scientifique. Katrine c'était toujours dit que lorsqu'elle allait mourir c'était parce que cela devait arriver. Elle ne comprenait pas l'acharnement que certaine personne pouvait avoir avec eu même. Prendre des médicaments et souffrir durant un éternité pour avoir, par moment, 30% de chance de s'en sortir

Katrine décida de se rendre dans la pièce où se trouvait tous les objets mécaniques. Un rapide coup d'oeil lui permis de s'apercevoir qu'elle ne s'y connaissait aucunement dans tous ses bouts de métal. Elle alla se chercher un siège et se positionna non loin de Riki. Elle voulait suivre le rafistolement des bras de Nicolas.

- Comme c'est de ma faute si je peux faire quelques choses...

Le jeune femme laissa sa phrase en suspend, une grosse douleur à la tête l'avait prit par surprise. Elle prit la tête entre les mains et lâcha un léger gémissement. Après quelques secondes la douleur diminua, Katrine identifia cela comme un simple mal de tête due au choc.

- Merci de m'avoir amené ici Nicolas, mais pour le moment j'aimerais mieux me faire regarder par Yaël au lieu de Monsieur Thorn... Je n'ai pas envie de déranger plein de gens pour si peu.

Katrine le regarda légèrement, elle se sentait gêné de lui demander ça après tout le mal qu'il s'était donné pour l'amener jusqu'ici. Toutefois, elle aimait mieux le dire tout de suite avant que le docteur soit déjà présent.

La marche depuis le souk fut pour Yaël une belle expérience elle n'était pas souvent allée dans le haut de la ville à part pour se rendre au travail au centre hospitalier. Elle adorait voir de nouvelles choses et de nouveau endroit. La zoomophorme remarqua que dans cette partie de la ville les gens semblaient plus à l'aise dans leurs styles de vie. Il y avait moins de mendiant et les personnes dans le besoin y était en moins grand nombre. Elle était aussi très contente des personnes avec qui elle se promenait. Riki, qui avec sa fougue naturelle, parlais des réparations à faire sur les bras de Nicolas. Celui-ci à part montrer le chemin au reste du groupe écoutait s'en plus. Katrine quant à elle s'était muré dans un silence que rien ne pouvait perturber.

Arrivé a l'académie la dénommée madame Jacobson les accueillie avec un certain vent de panique à la vue des bras de Nicolas qui n'était pas accroché à son corps. Yaël aimait bien l'endroit. Étant quelqu'un de studieuse de nature elle avait toujours apprécié les lieux d'apprentissage. L'odeur des livres vieillies l'avait toujours enivré et l'inciter à lire davantage. Ils se dirigèrent ensuite vers un local plus d'objet mécanique qui allait être utilisé pour réparer les bras du mercenaire et aussi pour la radio. Elle fit délicatement le tour de la pièce tout en faisant attention pour ne pas importuner Riki qui courait dans tous les sens pour prendre les morceaux nécessaires à son travail. La zoomophorme s'approcha de Nicolas.

-Merci de nous avoir permis de venir je n'était jamais venue ici et j'en suis très heureuse.

Elle vit alors que Katrine se tenait la tête en s'assoyant sur un banc. Yaël se dirigea vers elle. Elle commença par lui toucher le front pour être sûr que celui-ci n'était pas trop chaud à cause d'une fièvre ou d'un autre problème de santé.

- Merci de m'avoir amené ici Nicolas, mais pour le moment j'aimerais mieux me faire regarder par Yaël au lieu de Monsieur Thorn... Je n'ai pas envie de déranger plein de gens pour si peu.

-Moi je n'ai aucun problème avec ça. Mais je vais avoir besoin de matériel.

Elle retourna voir madame Jacobson. Surement que dans cette académie il y avait du matériel médical qui allait pouvoir être mis à sa disposition. La mante religieuse voulait seulement faire une prise de sang et vers le contrôle d'usage de la santé de Katrine. Elle serait rapidement fixée si la messagère a un trouble causé pas les radiations au quels elle a été exposée.

-Bonjour madame, j'aimerais savoir s'il vous saurait possible de me trouver du matériel médical pour faire un contrôle de routine. S'il vous plait.

Mme Jacobson pris quelque seconde pour y réfléchir :-Je regarde ce que je peux faire et je reviens vous voir.

Après un signe de tête et un sourire à la dame en guise de remercient Yaël retourna dans la pièce ou le groupe se trouvait. Elle commença par Katrine pour lui annoncer que le matériel médical allait bientôt arriver et que si elle ne se sentait pas bien elle devait rester assis pour ne pas que sa situation empire. La zoomophorme se dirigea ensuite vers Riki et Nicolas.

-J'aimerais bien vous aidé. Je n'ai pas le gout de rester les bras croisé a ne rien faire.

En espérant une réponse positive Yaël commença a trier les morceaux de métal qu'elle voyait sur la table.

[ À mettre en musique de fond --} Undisclosed Desire - Muse . Pour le délire xD ]

Trois jeunes et jolie femmes qui se trouvaient devant lui, toutes sans combinaisons et ignorantes de leurs attributs, voilà à quoi Nicolas avait affaire. Riki venait d'enlever son impressionnante combinaison, il ne put qu'admirer ses boucles de flammes qui tombaient en cascade sur ses formes généreuses et son dos moulé par une camisole qui la rendait bien définie alors qu'elle s'activait à trouver le matériel pour réparer ses bras. Il y avait aussi la belle Katrine, qui depuis le départ se promenait de façon outrageuse dans la ville... C'est à dire sans combinaisons de 3 pouces d'épais qui rendait habituellement tous les gens bouboule... Sa maladresse et son petit regard qui semble toujours vouloir s'excuser la rendait tellement mignonne... Ses longs cheveux bruns, ébouriffé... irrésistible. Et puis, il y avait Yaël, qui pouvait se promener comme elle le voulait puis qu'elle n'est pas affectée par les radiations... Chose qui est sure, celle-la possède un sex-appeal plus puissante que les deux autres... Surement sont antécédent mente religieuse ou plutôt le fait qu'il n'existe pas encore de vêtements qui permettait de cacher ses épaules et ses formes vachement bien définie. Nicolas, en pauvre homme qu'il est, ne comprenait plus rien se qui se passait et commença à trouver qu'il faisait pas mal chaud dans le petit local.

''Anderstone....je vais avoir besoin de touer, assis sur une chaise...je dois observer comment s'était connecter...''

C'était un ordre sa ? Son cerveau commençait à délirer. Pendant une fraction de seconde, il s'était imaginé la Bago en petite tenue sexy et que tout d'un coup sa voix sonnait moins garçonne. Il cligna des yeux et s'assoya sur une chaise sans rouspéter. C'est sous cet angle qui se renda compte que... Enfin bref. Il y avait une bosse là. Et qu'il avait l'air affreusement con puisqu'il était pas capable de la replacer. Quand les filles avait le dos tourné, il se mit à twister sur sa chaise, pour tenter de la tasser.

* Tasse toi, allez tasse toi ... Merde, Tasse toi, allez ! *

Il fit son innocent, l'air de rien lorsque les filles se retournèrent vers lui.

- Comme c'est de ma faute si je peux faire quelques chose...

Nicolas fit les gros yeux. NON, non, non, non... Faut pas qu'elle fasse cette petite face là, il refuse totalement, qu'est-ce qu'il a fait au bon Dieu pour se retrouver dans cette situation ?! Les sueurs perlaient sur son front. Sa fait combien de temps il n'avait pas eu de sexe, le milicien ? Il n'est pas un coureur de jupons, il n'a pas rencontré personne d'autre après ... Après que la femme de sa vie ai tué sa mère. Sa fait longtemps, ça. Il ne s'était même pas rendu compte qu'elle venait d'avoir un spasme à la tête.

-Merci de nous avoir permis de venir, je n'étais jamais venue ici et j'en suis très heureuse.

* Tasse toi, tasse toi, TASSE TOI!!!!! *

Yaël venait de partir aller parler à Madame Jacobson. Katrine avait trop mal à la tête pour réaliser qu'est-ce qui se passait. Il se mit encore à se dandiner tout seul sur sa chaise, et au même moment Riki se tourna vers lui :

'Vos bras sont tu entré dans le comput', genre dans base de donné?"

Il se figea net, l'air suspect. Il regarda de droite à gauche, comme si il cherchait une réponse dans l'air.

- Euh ... peut-être...?

- Merci de m'avoir amené ici Nicolas, mais pour le
moment j'aimerais mieux me faire regarder par Yaël au lieu de Monsieur
Thorn... Je n'ai pas envie de déranger plein de gens pour si peu.

Complètement pas dans le sujet, la seule chose qu'il trouva à répondre :

- Il y a pas dekoi ...

* Eh merde, espèce de con, tu sais bien que Yael pourra pas faire des analyses sanguines pour évaluer si elle va se transformer en mutante à cause de son imprudence ... *

Il vit que la zoomorphe était revenue et s'approchait, selon Nicolas, ''dangereusement'' de lui et Riki.

-J'aimerais bien vous aidé. Je n'ai pas le gout de rester les bras croisé a ne rien faire.

Il était officiellement dans la merde....

Les autres filles avaient suivit. Elle se doutait bien que tout ce passerait dans le même local.Yael demanda du stock de médecine. Mais pendant ce temps Katherine semblait avoir des mots de tête. Riki reposa son attention sur Katherine.

''Toué t'reste assis, tu va tomber sans connaissance pis la on va être obliger déranger du people pis 'srait plate un peu....''

Riki retourna vers sa machine et commença à faire des recherches. Elle était penché sur son clavier mettant son popotin bien en évidence. Biensûre la gamine de 17 ans n'étaient pas du tout au courrant de sa position...

''AH voila ton dossier sur tes bras...ah ce que je lis tes bras étaient pas très solide. Donc on va essayer de solidifier tout ça...Je dois juste comprendre le principe de bio mécanique...va falleoir enlever ton chandail que je regarde tout ça....''

Elle se tourna vers Yael....

''Toi qui connnait un peu la médecine, tu vas m'exlpliquer ce qui est dit à l'écran par rapport au fil pendant que j'observe le tout...en attendant que tes affaires de médecins arrivent la....''

Sans vraiment réféchir n'y demander, Riki se dirigea direct sur Nicolas et lui enleva chandail. Visiblement la gamine n'avait pas réfléchi. Elle n'avait jamais été aussi proche d'un homme sans chandail. Elle ne peut s'empêcher de regarder le torse de l'homme devant elle. Elle rougit aussitôt. Personne ne lui avait vraiment expliquer la sexualité. Ni les réactions qu'un corps pouvait avoir face à un autre. Riki se sentit tout bizarre...

Elle recula aussitôt le feu au joue. C'était loin d'être subtile vue la blancheur de sa peau.

''Bah heun...heum, bah on boi, ben que heum c'est relié au cerveau...''

Riki prit uen grande respiration et se rapprocha à nouveau du corps. Elle avait chaud, chaud comme jamais elle n'avait eu. Elle semblait hésitante a toucher les fils. C'étaient beaucoup trop proche d'elle...Elle respira fort une nouvelle fois et commença finalement a bien oberver les fils. Mais elle faisait vraiment attention pour ne pas toucher le torse musclé de l'homme devant elle...

''J'attend heu,mm, ouai...errrr ben tser la les explication errr physique vc le mécanique Yael...''

Elle souffla une nouvelle fois très fort. Pauvre gamine qui ne connaissait rien aux hommes...ni aux femmes d'ailleurs....

Le fait que Yaël voulait bien faire des examens primaire de son corps la réconfortait un peu. Au moins elle allait satisfaire les attentes de Nicolas qui voulait qu'elle soit vue par un professionnel et en évitant de nouvelle personne qui allait la toucher. Elle regarda Yaël quitter la salle et revenir, Katrine l'avait simplement remercié d'un hochement de tête. Par la suite son attention fut porté sur Riki qui s'agitait dans tout les sens en donnant des ordres à tous le monde. Elle aimait mieux ça comme c'était, Katrine n'avait jamais été bonne pour prendre le contrôle d'une situation ou pour être leader. Elle admirait la déterminations et la fouge de la jeune mécanicienne.


''Toué t'reste assis, tu va tomber sans connaissance pis la on va être obliger déranger du people pis 'srait plate un peu....''

Elle répondu aussi a Riki par un simple hochement de tête, la situation avait l'air assez complexe avec les bras de Nicolas elle ne voulait pas en rajouter à la cacophonie. La recrue regarda dans l'ordinateur et puis elle interpela Yaël pour qu'elle vienne l'aider avec ce qui était écrit sur l'écran de l'ordinateur. Katrine essayait de suivre, assise d'où elle était elle ne voyait pas très bien ce à quoi les deux autres femmes s’affairait. Elle avança lentement son siège afin de voir quelques choses, toutefois elle resta à une distance suffisante afin de ne pas déranger. Parce qu'elle ne connaissait absolument rien en médecine et encore moins en mécanique, elle était donc d'une totale inutilitée.

- Il y a pas dekoi ...

Katrine lui répondit par un simple sourire. C'était gentil de sa part d'avoir porté attention à ce qu'elle avait dit avec tout l'action qui ce passait autour de lui. Plus elle passait de temps avec lui plus elle le trouvait charmant. Toutefois, elle ne savait pas trop comment interpréter ses sentiments qu'elle ressentaient. Elle n'avait jamais pensé un jours tomber en amour et encore moins avec quelqu'un qui n'avait pas de bras. Comment allait-elle faire pour simplement lui faire l'amour sans qu'il n'en perdre les bras... Elle n'aimait mieux pas y penser. Katrine n'avait jamais vraiment fait l'amour, elle avait plus satisfait les besoins du seul petit ami qu'elle avait eu et elle avait été très deçus. Leurs relation de couple avait duré 3 mois et il ne l'avait fait qu'une seul fois. La messagère ne c'était aucunement sentie à l'aise dans la situation et pour éviter tout problème elle c'était laissé faire. Elle n'avait jamais considéré ce fait comme un viole, mais plutôt comme une relation sexuelle non approprié et vraiment plate.

C'est alors que Riki retira, sans demander la permission et sans avertir personne, le chandail de Nicolas. Katrine resta perturbé et bouche bée devant cette vision. Elle aurait au moins aimé que Riki lui disent voila une heure de cela «Hey dans une heure quand tu vas faire tombé les bras de Nicolas je vais lui enlever son chandail afin de bien voir ce que je fait». De cette façon Katrine aurait pu être prévenue et elle aurait anticipé la situation ou bien elle ne serai jamais venu. À la seconde où le chandail remonta le long des côtes musclés de Nicolas, Kat détourna le regard, une vague de chaleur vint la surprendre. Elle se passa la main dans les cheveux comme elle le faisait à chaque fois qu'elle était mal à l'aise ou nerveuse. Elle en profita aussi pour mettre une partie de ses cheveux devant son visage, de façon à cacher son mal aise. Katrine remarqua très facilement que Riki ne savait pas comment gérer la vue de cet homme à moitié nu. Elle l'avait remarqué par le simple fait que la recrue n'arrivait pas à formuler une phrase complète. Cette façons de réagir, que Riki avait eu, aida Katrine à se faire une idée de l'âge qu'elle pouvait avoir, en bas de 20 selon elle. Depuis qu'elles s'étaient rencontré elle n'avait jamais réussi à s'en faire une idée.

Ce qu'elle trouvait surtout bizarre à la vue de Nicolas, était le fait qu'il n'avait pas de bras, cela changeait complètement l'allure d'un homme en torse. De cette, façon il semblait s'en défendre, vulnérable comme si elle aurait pu faire n'importe quoi avec lui et qu'il n'aurait pas pu la repoussé. Elle se refusa à pensé ainsi, s'était le voir comme un objet ce qu'il n'était pas, mais elle avait tellement peur de se faire repoussé par les autres, d'être seul le reste de sa vie que la vue d'un homme tronc l'avait charmé un moment. Mais elle était rapidement revenue sur sa pensé, car se faire tenir contre un homme, entre ses bras, cela devait être merveilleux. Katrine se disait qu'un jour elle allait essayer sa chance avec Nicolas, elle devait simplement prendre le temps d'en trouver le courage.... Ce qui pouvait être long et ardu.

''Toi qui connait un peu la médecine, tu vas m'expliquer ce qui est dit à l'écran par rapport au fil pendant que j'observe le tout...en attendant que tes affaires de médecins arrivent la....

La zoomophorme s'approcha lentement pour voir ce qu'il y avait sur l'écran de l'ordinateur. Elle y voyait plusieurs pages de documentation qu'Elle devait rapidement lire pour être capable de réparer les bras du mercenaire. Elle comprenait certaine notion qu'il y avait a l'écran, mais elle devait pour la plupart tenter de décrypté ce qu'elle lisait. Yaël n'avait aucune notion en informatique, mais par contre elle avait un peu de facilité à trouver les informations nécessaires à ce qu'elle voulait accomplir (recherche:1)

-Riki tu va devoir commencé par enlever le chandail de Nicolas.

Yaël se retourna vers le mercenaire en question pour voir que Riki s'était déjà occupé de cette étape délicate. L'homme était maintenant torse nu sans bras. Riki regardait déjà comment les bras pouvaient fonctionner. Mais Yaël ne faisait que fixer le torse de Nicolas. Comment un gars pouvait t-il avoir un corps aussi jolie et ne pas avoir de bras. Comment cela c'était passé au faite? Des bras ça se perdait comme cela. Il y avait surement une histoire assez intense. Elle lui demanderait ce qui s'est passé une autres jours en ce moment elle devait commencé par les lui remettre. La zoomophorme détourna le regard du corps sculpter du mercenaire.

-Bon on se concentre! Riki d'après ce que je lis ici tous les fils qui sortent des épaules de Nicolas sont relier à son cerveau. Par contre, on doit relier les bons fils au bon endroit. Il y a un fil pour faire bouger l'avant-bras, un pour la main et les doigts et l'autre c'est pour l'épaule et le reste du bras. Riki commence par faire ressortir les fils. Il y en a un orange un bleu et un vert.

Elle continua à lire les lignes sur l'écran. Yaël devait avoir toute sa concentration. Si elle faisait connecter des fils au mauvais encore Nicolas aurait plusieurs difficultés à faire bougé ses bras de façon normal et il ne serait pas content. Elle savait Nic lui fixait le dos, elle sentait le mal aise qui grandissait et qui était présent dans la pièce depuis que le seul homme dans la salle avait enlevé son chandail. La chaleur dans la pièce avait augmenté de plusieurs degrés Celsius. Yaël commença à lire ce qu'il y avait a l'écran.

-Riki maintenant tu dois te concentrée d'accord on va commencé pas le bras gauche. Tu vas prendre le fil bleu qui sort de l'épaule et tu vas le connecté au fil mauve qui va sortir du bras d'accord? Ensuite tu vas prendre le fil orange de l'épaule et tu vas ensuite le raccordé au bleu du bras. Pour finir tu prends le vert de l'épaule et tu le connecte au gris de son bras.

Elle regarda ensuite Riki tenter de faire tout ce qu'elle venait de lui dire. Elle espérait qu'elle ne lavait pas mélangé. Plus elle regardais les muscles de Nicolas plus elle avait hâte que les outils de médecine qu'elle avait demandé allait arriver. Parce que de cette façon elle pourrait retourné des occupations qu'elle connaissait plus et Yaël pourrait oublier le jeune homme que ne serait jamais à elle. En compétition avec des filles comme Katerine et Riki elle ne préférait pas se battre et leur laisser tout le champs libre. De toutes façon qui voudrait d'une fille avec des bras de mante religieuse.

Personne semblait avoir remarqué son malaise. Nicolas laissa faire Riki, alerte. Il se concentra sur sa propre respiration, prenant le temps de bien inspirer et expirer à une vitesse correcte selon les normes de se qu'il imaginait être normal. Il évita aussi d'être trop bruyant, même si il avait l'impression de perdre le controle à toute les fois que Riki touchait son bras.

Lorsque celle-ci eu enlevé son chandail, il se sentait dans une position tellement contraignante, incapable de prendre le contrôle de son propre corps, les filles pouvant faire se qu'elles voulaient avec lui. Il n'avait pas encore décidé si il s'agissait d'une mauvaise chose ou pas.

Habituellement, quand ses bras lâchaient, il était automatiquement référé à un mécanicien, étant donné que c'était un métier beaucoup plus masculin que féminin. L'ambiance était, dans ces instants, beaucoup plus détendue; il compris à cet instant pourquoi c'était souvent des garçons qui s'occupaient de lui.

Sans parler, il laissa les filles s'occuper de lui. De toute façon il ne comprenait rien à rien à la mécanique. Le duo semblait bien se débrouiller et comprenaient l'essentiel du fonctionnement des bras. Sa allait bien aller.

Déjà, un de ses deux bras était pratiquement fixé, Riki semblait s'attarder merveilleusement à rafistoler comme dans le plan expliqué par Yael.

La concentration à la tâche le calma un peu.

Oh mon dieu il y avait beaucoup d'information qui entrait dans le cerveau de la jeune femme. Par chance que Yael était là. En ce moment elle rêvait de sa bouteille de whisky ou un bon grand verre d'eau glacé. Elle répondait ok à tout ce que Yael disait. Elle avait réussi à retenir ce qu'elle avait dit.(intelligence 4) Elle s'appliqua donc à la tâche. De la sueur avait commencer a apparaitre sur son front...

''Mhmm errrb errr scuse moué Anderson, j'sais pas ce que j'ai, J'ai vraiment chaud...''



Et c'était vrai, elle , ne le savait pas pourquoi. Les autres et nous lecteurs le savent très bien. Elle prit donc une chaise et s'assied à côté de Nicolas. il pouvait voir qu'elle travaillait vigoureusement malgré qu'elle avait de la misère à ce concentré. Cela prit environ une heure poser un bras. il semblait un peu plus solide qu'avant. Entre temps le matériel de médecine était arriver.

''Ok maintenant essaie de bouger ton bras gauche...''

Elle espérait que cela allait être fonctionnel. Elle avait compris le principe, restait a savoir si elle avait réussi a appliquer le principe...

Katrine commençait lentement à se demander ce qu'elle faisait ici. Elle ne se sentait pas plus mal que normalement. Sa tête avait arrêté de tourner, elle n'avait pas envie de vomir, n'y de dormir. Son état semblait stable et plus personne ne semblait s'occuper d'elle. Durant un instant elle pensa même à quitté et retourner faire ses petites choses. Toutefois, les gens avec elle dans la salle la faisait hésiter. Ils étaient tous la a cause d'elle et elle ne pouvait rien faire pour les aidés. La vision des deux femmes totalement différentes et de l'homme qui se faisait réparer les bras lui fit remarquer que c'était ce qu'elle avait connue de plus proche d'une relation d'amitié, d'une gang. Sinon la seul autre relation qui s'approchait le plus de l'amitié était son ex copain qu'elle avait eu peu de temps. Ils avaient commencer à sortir ensemble sans trop se connaitre. Katrine l'avait fait parce qu'elle était désespérément seul et lui voulait utiliser ses contacts afin de se commencer un commerce. Elle c'était habituer à sa présence sans vraiment l'aimer et comme le projet de son copain de l'époque n'a finalement jamais prit vie, elle ne lui était plus utile. Elle ses rapidement retrouvé seul...

Katrine retira les cheveux de devants son visage, elle remarqua que l'un des bras de Nicolas était maintenant fonctionnel ce qui était une bonne nouvelle. Comme elle se sentait nul, seul dans son coin, elle décida de faire la conversation avec Nicolas. Elle avait dans l'idée que cela allait permettre au mal aise installé par Nicolas torse nu de ce dissiper. Car elle venait de remarquer qu'il n'était pas mieux dans la situation qu'elle et les deux autres. Elle s'éclaircie donc la voix avant de commencer à parler.

- Nicolas, je me demandais, tes bras... c'est arrivé comment?

Et oui la curiosité est un vilain défaut, mais c'était plus fort qu'elle. Elle devait savoir. La question lui démangeais les lèvres et lui brulait la langue depuis un long moment déjà. Katrine se demandait aussi comment Yaël était-elle devenu comme elle était aujourd'hui? Et qu'elle était l'histoire de Riki pour qu'elle aille un aussi fort caractère? Cependant elle savait que ses questions pouvaient rendre les autres inconfortable, c'est pourquoi elle ajouta:

- Mais si tu ne veux pas répondre, ce n'est pas grave... ne te sent pas obligé.

Katrine baisse le regard, comme honteuse tout à coup d'avoir pausé une question aussi intime à une personne qu'elle ne connaissait encore que très peu.

Après avoir dit tout les instructions qu’elle pouvait à Riki elle la regarda au travail. C’était fascinant de voir comment une jeune femme pouvait si bien se débrouiller avec des fils et du métal. Yaël remarqua encore plus le mal aise du mercenaire. Elle n’avais jamais vu quelqu’un aussi concentrer de toute sa vie. La zoomophrome pouvait comprend qu’il pouvait lui être difficile de ce faire touché a répétition par une femme sans même pouvoir lever le petit doigt pour se défendre.

Son attention fut attirée par la porte qui venait de s’ouvrir. Tout les outils de médecin qu’elle avait demandé à la secrétaire de l’entrer venait enfin d’arrivé. Elle s’approcha du petit chariot argenté à roulette. Elle remercia d’un signe de tête la personne qui était venu le porter. Il y avait tout se dont elle allait avoir de besoin pour faire une vérification pour des radiations.

- Nicolas, je me demandais, tes bras... c'est arrivé comment?

Yaël c’était posée la même question quelque instant plus tôt. Elle n’aurait jamais osé poser la question du moins pas maintenant. Le jeune homme n’était déjà pas la personne la plus a l’aise du moment. Il ne fallait pas en rajouté une couche en plus. Elle était tout de même très intéresser d’entendre l’histoire de Nicholas. La jeune mante religieuse s’approcha de Katrine avec son chariot. Elle commença son examen en prenant la pression de la jeune femme et en vérifiant c’est signes vitaux. Tout lui semblait ce qu’il y avait de plus normal pour l’instant.

Elle mit un garrot sur le bras si mince de la jeune messagère. Yaël allait lui faire un prise de sang qu’elle allait faire analysé a son travail. Avec son bras de mante religieuse elle saisit le contenant nécessaire pour faire la perforation et gardé le sang en sécurité le temps de se rendre a son travail plus tard durant la journée. Avec sa main humaine elle chercha la veine qu’elle allait pouvoir perforer pour prendre le sang. Cela ne lui prit pas beaucoup de temps. Elle était très bonne pour se genre de manipulation. Ensuite elle plaça l’aiguille sur la peau de la jeune femme et mis par la suite la puissance nécessaire pour que l’aiguille atteigne son but. Le liquide rougeâtre commença alors en remplir les petite fioles prévue a cette effet. L’infirmière en emplit 3 juste pour être sur que tout les analyses allait pouvoir être faite. Elle mit ensuite un pansement sur la blessure volontaire de Katrine.

-Pour l’instant je ne vois absolument rien qui me dirait que vous êtes atteint de quelque façon que se soit par des radiations. Bien sur on va être plus fixé après l’analyse de votre sang. (Savoir médical : 4) Resté assise le temps que votre corps s’habitue au sang que je viens de lui prélevé ensuite vous allé pouvoir mettre la main a la pate et aidé.

Yaël commença à ramasser lentement les choses qu’elle avait utilisées. Elle stérilisa le tout avant de le remettre sur le chariot. Elle rangea dans une pochette prévu a cette effet les fioles pleine de sang avant de les mettre dans c’est poche pour ne pas les perdre ou les oubliés. Elle retourna auprès de Riki pour tenter de l’aidé du mieux qu’elle pouvait dans la pose du deuxième bras du mercenaire.

Bien installé sur sa chaise, Nicolas essaya de bouger son bras gauche. Il se concentra un peu, et vit son index remuer. C'était toujours étrange pour lui de voir ce doigt de métal bouger ainsi, anonyme, comme si il existait sans être lui. Une autre personne qui faisait les mouvements qu'il dictait. Une impression qui ne partait malheureusement jamais.

Ressentir pour une fois de plus cette étrange sensation, lui fit rappeler le moment qu'il était dans la salle d’hôpital et que l'on venait tout juste de lui installer ces bras. Il se rappelait à quel point il n'aimait pas le fait de ne rien ressentir. Comme par exemple, la douceur de la peau d'une femme qu'il ne pouvait plus parcourir de ses doigts, frémissants de plaisir.... Ou la douceur du poil d'un chien que l'on flatte pour le plaisir réconfortant que cela procure... Sentir la chaleur d'une boisson chaude lors des journées de froids intense … Nicolas regardait ses doigts et les fit remuer. Non, plus jamais il ne pouvait revivre ces moments. Il prit une grande respiration. Ce souvenir l'avait mit dans un état plutôt nostalgique.

Nicolas, je me demandais, tes bras... c'est arrivé comment?

Notre mercenaire se frotta le visage, comme pour se chasser les angoisses. Il massa ses tempes, essayant de donner une certaine cohésion dans ce qu'il allait dire. Des images se déferlaient rapidement dans son esprit. Des soldats, des tirs, une chaleur suffocante, du sang, des dents immenses... Il dévisagea Katrine, tentant de deviner son intention derrière le fait de connaître cette histoire. Ses yeux, il n'en revenait toujours pas, était d'une telle expressivité... Il voyait qu'elle s'inquiétait … Et puis bon, ce dit-il, cela aiderai à faire passer le temps. Il jeta un regard vers Yael et Riki, qu'il savaient plus qu'attentive à son histoire.

- * soupirs * Non, c'est bon Kat – Il commençait déjà à donner des surnoms -. Sa fait déjà un bon moments que ça c'est produit, il n'y a pas de raisons à te reprocher de poser la question.

Il lui adressa un beau sourire.

- Il y a environ 10 ans … Je venais de finir ma conscription et j'avais décidé de rejoindre l'armée régulière. À l'époque, j'étais promu soldat. C'était lors de ma première mission à l'extérieur de la citée. Un cas de zoomorphie non-controlé... Le mec, il avait complètement perdu la raison, il avait perdu son côté humain. On sais pas d’où il venait, mais d'après moi, il a été élevé à l'extérieur... Dans le désert. J'ignore si il avait une famille … Mais dans tous les cas, ce n'était pas un homme qu'on avait affaire. Plutôt à un animal dangereux.

Il tourna les yeux vers Yael, en espérant ne pas l'avoir vexée.

- Il n'arrêtait pas d'essayer d'entrer dans le District. Il était complètement dément, il lançait des pierres sur les murs et se mettait dans des rages telles qu'il n'y a pas un chat qu'il avait qui avait osé lui ouvrir cette porte. Notre mission était d'établir un premier contact avec lui. Avec une équipe de 5 soldats, nous sommes allé à sa rencontre à l'extérieur...

Il se rappelait de se moment. Il était deuxième à sortir à l'extérieur. Il se souvint à quel point tout s'était passé extrêmement vite... Le moment ou, horrifié. Il vit le premier de la file se faire dévorer la tête en premier. Comme sa, sans que personne n'ai prononcé un seul mot. Il se rappelle a quel point il eut voulu rejoindre les autres qui avait été plus rapide que lui, cogner à la porte pour la faire ouvrir. Mais il s'était fait attrapé...

- Au début, on pensais qu'il était un genre de zoomorphe cétacé, un dauphin ou une baleine à la limite... Mais finalement quand j'y repense, c'était un requin. Un requin qui avait des poumons et qui avait très faim. Si vous auriez vu les dents que cette chose avait …

Il s'arrêta un moment. Il ne voulait pas vexer Yael en nommant le zoomorphe de chose. Il essaya de reprendre son monologue, mais quelque chose s'était coincé dans ses poumons. Il avait envie de pleurer. Il se rendit compte que c'était la première fois qu'il racontait cette histoire dans les détails.

- J'aurais tellement voulu que tout ceci ne se produise pas... C'était une vrai boucherie... J'ai vu … J'ai vu Mike se faire dévorer la tête d'un coup... J'ai pas pu courir assez vite …

Sa y est, il commençait à chialer.

- Cette chose.... Elle m'a bouffé les deux bras.... Elle a joué avec moi comme si j’étais une poupée de chiffon...

Il se retenait de ne pas pleurer.

(hrp presque pas de pression pour faire un long poste...XD)

Des récits comme ceux de Anderstone Riki en avait entendu des dizaines dans sa vie. Quand elle voyageait des hommes comme lui il en avait beaucoup. Le genre de mec que son père respectait. Beaucoup de gens attaqué par des zoomorphes ou des mutants. Beaucoup étaient contre ceux-ci. Mais le père de Riki les aimait pour leur courage. Il disait que ses hommes la avaient une force de vivre différente de la notre.

Nicolas aurait pu cracher sur Yael mais il ne l'a pas fait. Riki trouvait ça encore plus remarquable. Elle n'avait peut-être pas l'air attentive à ce qu'il disait, elle était concentré sur son bras droit, mais à la fin du récit la gamine posa sa main sur le coeur de Nicolas.

''C'est ok tsé d'avoir de la peine...c'est la preuve que tu vies. Souvient toi de ça. T'es en vie. Ton coeur bats...tu es ici.''


Riki baissa ses yeux par gêne d'autant de contact physique avec un corps pareil et retourna à son travail.

''Chacun à son histoire et chacun est en vie pour une raison ou une autre...Car nous sommes l'avenir tant que l'on vit...''

Riki semblait un peu perdu dans ses pensés philosophique. Mais être assi la a travailelr sur de la mécanique lui faisait faire souvent se genre de révélation...

''Et vous les filles c'est quoi votre histoire?"


Elle leva soudainement ses yeux Émeraude sur Yael et Katherine.

Katrina se laissa faire durant que Yaël s'occupait de sa santé. Elle n'eu aucune réaction, mise à par un léger mouvement de recule lorsque que l'infirmière lui fit une prise de sang.Avant de se concentrer sur ce qui disait le mercenaire elle fut touché par le fait qu'il l'avait appelé Kat, personne ne lui avait donné de surnom, cela lui fit tout drôle. Après un moment elle retourna complètement son attention sur l'histoire que racontait Nicolas. Ce qui lui était arrivé était terrible. Être attaqué et ne rien pouvoir faire, avoir ce sentiment de vulnérabilité devait être totalement horrible. Katrine se mit à penser qu'il avait peu-être ressentie la même choses lorsque Yaël, Riki et elle même était tous les trois sur son dos. Elle se sentait très mal toute à coup, elle baissa le regard et fini d'écouter l'histoire du mercenaire. La jeune femme résista à l'envie de pleurer, elle ne voulait pas rajouter du drame au drame. Elle prit donc une grande respiration et, pendant que Riki parlait avec Nicolas, elle remercia Yaël de ses services. Puis elle jeta un bref regard à Nicolas et lui dit:

-Merci de t'être confié à nous...

Le moment tendre qu'elle avait l'impression de partager avec l'homme fut rapidement couper par la jeune recrue qui voulait connaitre son histoire. Katrine n'était donc pas la seul à être curieuse des gens qui l'entour. Elle ne savait pas trop si elle avait envie de se confier à son tour. Mais ce serai probablement très mal vue qu'elle demande au autre de ce raconter et qu'elle ne le fasse pas. Toutefois elle ne trouvait pas qu'elle avait vraiment quelque chose à raconter, sa vie n'avait jamais été palpitante ou bien pleine de rebondissement. Son histoire aurait l'air banal après la malheureuse aventure de Nic. Elle se prit donc un moment de réflexion, toujours hésitante, elle avait surtout peur de se faire jugé d'avoir eu la vie facile, même si elle n'avait jamais rien demandé. Katrine commença par se racler la gorge avant de commencer.

- Pour ma par je n'ai pas grand choses de fascinant... Tous ce que j'ai connue est le District. Je ne suis jamais sortie et c'est l'un de mes rêves, connaitre la vie au delà des murs ou bien dans un autre district. hum... mes parents sont toujours vivants, ils se sont rencontré par pur hasard dans le Souk. Une histoire cocasse, mais qui ne m'appartient pas. Ils sont toujours resté ensemble. J'ai eu 2 frères et 2 soeurs, toutefois ils sont morts en bas âge. Ils n'ont pas été assez fort pour survivre à cette dur vie.

Plus elle parlait et plus elle tombait dans la lune. Sa gène disparaissait lentement et elle se sentait simplement bien. Bien de se raconter au trois personnes qui avaient abandonner une journée à cause d'elle, qui s'étaient inquiété pour elle alors que personne ne la connaissait. Katrine en était même heureuse, car dans sa vie peu de gens ne s'était assez intéressé à elle afin de lui demander de connaitre son passé, même son seul et unique copain ne lui avait jamais demander son histoire.

- A partir de ce moment mes parents ont commencé a me couver énormément, je suis donc partie tôt de la maison pour apprendre à me débrouiller seul. J'ai donc prit le premier emploie disponible, que j'ai adoré et que je fait toujours. Je suis messagère à mon compte. Je fait des petits contact pour les scientifiques, l’hôpital, l'armé par moment. Je touche à tout. Sinon j'ai peu ou pas d'amis plusieurs connaissance, j'ai eu une relation qui se rapproche très peu de l'image que l'ont se fait d'une relation amoureuse. Je viens de déménager et bien me voilas avec vous...

Elle se sentait très bien de s'être confier, quoique un peu vulnérable que des gens qu'elle connaissait peu en sache autant sur elle. Toutefois elle avait l'impression qu'elle pouvait leur faire confiance. Katrine avait un léger sourire au lèvre, l'un des premier depuis qu'elle les avaient rencontré. Elle se tourna, alors vers Yaël, comme pour lui passé le flambeau, lui dire que c'était à son tour de raconter son histoire. Qui, selon les attentes de Katrine, devait être vraiment inintéressante.

(Anderstone va répondre après...)

Riki écouta attentivement les récits des demoiselles, pendant qu'elle arrangeait le bras d'Anderstone. Elle avait l'écoute attentive la Riki. Mais normal elle était concentré donc il était facile pour elle de ne pas perdre le récits des gens. Champfleury avait eu une vie plutôt normal pour une humaine, même banal. Mais c'est ce qu'elle aimait, être entouré de toute sorte de monde au vécu différent. C'est ce qui faisait la beauté du district, tous différent et uni pour survivre. Car tout ceux qui était vivant était pour Riki des gens qui avaient survécue.

J'ai eu 2 frères et 2 soeurs, toutefois ils sont morts en bas âge. Ils n'ont pas été assez fort pour survivre à cette dur vie.

''tu vois à ta manière...tu es une survivante...''

Dit Riki le sourire dans la voix. Écouter des gens raconter leur histoire ainsi lui rappelait les caravans de voyageur. Souvent autour du feu les gens se racontaient leurs vie. D'autre l,avait eu facile, d'autre non. Vint ensuite le récit de Yael...un récit beaucoup plus grave. Qui dégouta la gamine. Elle ne comprenait pas comment on pouvait traiter un être vivant ainsi. De manière si cruelle.Yael ne l'avait pas eu facile, mais pas du tout après sa transformation qu'elle n,a pas du tout choisit. Elle savait en plus ce que cela faisait d'être humain. Riki eut une face de dégout, pas enver Yael, non elle, elle l'admirait...


''Tant qu'à moi ça mérite un arrachage de couille...Personne à le droit de faire ça à qui que se soit. T'es une femme forte Yael. N'en doute jamais!''

Riki était pleine de conviction et au même moment arracha un file. Elle sentit tous les regards sur elle.


''Ben quoi sty qu'en sa sert à rien on arrache...''

Elle partie légèrement à rire, lorsque les regards se posa à nouveau sur elle. Ils voulaient qu'elle raconte son histoire. Elle était si jeune, elle n'avait pas grand chose à raconter. Et elle en avait pas vraiment envie non plus. Elle était concentré la sur les bras d'Anderstone. Mais tout le monde avait parler à coeurs ouvert, pourquoi elle, elle ne ferait pas pareil...Oui c'est vrai elle avait de la misère a bien s'exprimer. LA gamine finit de connecter un fil et fit une pause.

''Bah moi j'ai 17 ans, de ce que je sais chu née ici dans les district 6, mais je n'y ai jamais vraiment vécue. Ma mère biologique est dans les Red Roses tireuse d'élite haut gradé. Du moins je l'espère car c'est la raison pour laquelle elle ne me voulait pas. Mon père était un StormRiders, Haut gradé aussi...Il était major. De ce que je sais jusqu'à l'âge de mes 15 ans on a jamais été stable. On a beaucoup voyager, à 7 ans je montais ma première motojet...Toujours été entouré d'homme, militaire ou mercenaire généralement. Je dis homme ça peut-être zoomorphe ou mutant...persos je m'en crisse...''

Elle recommença à branché quelques fils. Son visage était nostalgique. Pas triste. Elle avait adoré ses années. Elle avait vue tellement de chose, connu tellement de monde. Elle ne s'attachait pas nécessairement a eux mais elle n'aimait pas s'attacher aux gens elle savait que tous partait un jour ou l'autre.


''Ensuite quand j'ai eu 15 ans mon père s'arrêta au district 4 et il m'obligea à faire mon service militaire. Il m'avait dit qu'il avait une mission ailleurs, mais de l'attendre qu'il allait revenir. Quelques mois après mon services des messager du district 6 sont venus me voir...''

Ses yeux commencèrent à devenir humide, mais elle n'avait aucune raison de pleurer. Elle n'avait pas vécu quelque chose d'aussi horrible que Yael ou Anderstone. Elle respira un grand coup et ce concentra a nouveau sur son travail. Effet escompté, elle n'avait plus le gout de pleurer.

''....Ils me ramenèrent la badge de mon père, son manteau ainsi que son collier militaire, On M,avait dit qu'il était disparu. Mais s'ils ont trouvé son manteau, sa badge et son collier. Il n'a pas disparu. Il n'est pas mort. J'en suis sûre, mon père était un héros ici. Alors quand j'ai finit mon service je suis venu ici, eh bien me voilà, fait une journée je suis ici et je suis déja entrain de réparé...''

La gamine ria un peu. Elle semblait tellement convaincu que son père n'était pas mort. S'en était presque beau à voir et désolant. Comme si c'était la seule chose auquel elle avait une attache.

Par la suite, tout le monde se mit à faire des confidences. Une drôle d’atmosphère avait visiblement envahi les lieux dès que Riki avait demandé de faire le tour des existences des individus autour de lui. En écoutant chaque récits, il se sentait de plus en plus proche de ces personnes; les comprenant et partageant leurs douleurs et leurs bonheurs (Empathie :1 ).

Il comprenait Katrine. La vie de Nicolas n’avait pas été particulièrement malheureuse, outre se moment, là plupart du temps il eu lui aussi une existence dans le commun de mortels. La preuve, cela devait faire au minimum 10 ans qu’il tenait un emploi ridicule au sein de l’armée. Faire des tours de garde nocturne… Il avait abandonné l’idée de recevoir une promotion, car il n’avait pas l’argent pour se permettre d’avoir des bras avec une autonomie moyenne … Ainsi donc, Katrine avait un petit copain ? À moins qu’il avait mal compris… Il se dit intérieurement qu’elle le méritait amplement. Une belle femme comme elle a autant le droit que tout le monde de faire sa petite famille. Il ne faut pas souhaiter le malheur aux gens autour de nous.

Il resta néanmoins silencieux et ne dit aucun propos. Il posa simplement son regard sur elle, juste l’écouter et recevoir ce présent qu’est une confidence.

Ce fut le tour de Yaël. Sur le coup, Nico fut bien curieux de savoir se que la zoomorphe avait à dire. Comme il n’a pas une très grande connaissance dans la zoomorphie, il croyait que Yaël allait lui dire qu’elle était née d’un père insecte et d’une mère humaine ou un truc dans le genre. Il pensait vraiment que les zoomorphes venaient d’un mélange bizarre d’humain et d’animaux mais la vérité sur Yaël l’avait véritablement choqué. L’entendre déballé son sac ainsi, cruellement … Les images se succédaient dans sa tête et il espérait que se moment allait s’arrêter. Il y avait une sorte de torture mentale d’entendre une histoire aussi effrayante et de réaliser que c’est la vérité. Si il aurait pu se tenir la tête avec ses deux mains, il l’aurait fait… Il gardait par contre un simple regard bien vide… Quelque chose bouillait dans les tripes de Nicolas, il n’osait pas croire que des scientifiques avait osé faire cela à une femme… De la punir ainsi …

Notre homme refusait complètement que Yael accepte se qui lui était arrivé comme étant une conséquence de son comportement lorsque qu’elle était jeune et encore naïve … Il refusait d’admettre que son comportement attachant et attentionné se révélait à être le résultat d’une métamorphose physique et d’un viol… Il lui aurait souhaité autrement … Il s’imaginait la belle femme qu’elle était à l’époque, et son cœur se fendit en deux. Comment avait-il pu la traiter de la sorte ? À présent il se détestait. Il était en train de gruger du noir, il aurait tellement voulu se lever debout à se moment là et de serrer la femme aux cheveux noir très fort dans ses bras. Mais il était fixé sur la chaise, le bras aux soins de Riki. Il y avait quelque chose qui venait de se casser. Mais dans le cœur de Nicolas.

- Jtaiderai … Je ne peux pas te laisser ainsi seule à cette quête dans un monde de chaos.

Il avait des yeux de chien abattus. Il se trouvait tellement stupide d’avoir mit tous les cas de zoomorphie dans le même bâteau. Il senti du coup la tension du fil arraché et lui donna l’impression d’un retour sur terre. Ce fut maintenant le tour de Riki … Il remarqua que ses deux bras étaient pratiquement terminés. Il pouvait sentir ses doigts bouger.

Elle était jeune mais elle en avait quand même beaucoup vu. Elle avait sorti du District contrairement à Nicolas. Celui-ci se demandait intérieurement se qu’avait l’air le district 4. Il ne savait malheureusement pas qui était le père de Riki, car il y a déjà eu plusieurs Bagos important au sein de l’armée.

- Il s’appelle comment, ton père ? Je sais qu’il existe une liste officielle des dirigeants et des anciens de l’armée, il suffirait simplement d’aller voir Nicolas, le haut gradé, au centre de commandement.

Sa lui faisait tout drôle de parler d’un Nicolas qui avait réussi dans l’armée sans se comparer avec lui-même…

NEXT POST KATRINE

T'en de confidence en si peu de temps. Katrine était vraiment contente d'avoir assister a quelque choses d'aussi profond. Elle ne verrait plus les trois autres personnes qui l'avaient accompagné aujourd'hui de la même façons. L'histoire de Yaël était vraiment très triste. Katrine s'entait qu'elle avait eu une vie de reine contrairement à l'infirmière. Elle se sentait un peu mal de se fait, toutefois elle ne voulait pas changer d'attitude, Yaël n'avait pas choisi son histoire, sinon elle l'aurait choisi autrement. Katrine ne voulait pas trop la prendre en pitier ce n'Est pas ce que voulais la zoomophorme lors qu'elle s'était confié. Riki avait raison, pour avoir affronter tous cela et ne pas avoir perdu la raison, continuer de vivre comme tout le monde, l'infirmière était une femme forme. Katrine n'aurait probablement pas passé à travers tous ses épreuves, ou du moins elle n'aurait pas l'air aussi bien que Yaël. Comme Nicolas, elle aussi voulait aider Yaël dans sa quête de vangeance. Elle méritait d'arriver à ses fins. Katrine se retourna vers la Zoomophorme.

-Je voudrais t'aider aussi... Tu m'érite d'avoir cette vengeance...

Elle retourna son attention vers la recue lorsqu'elle lui parla. Katrine trouvait que Riki avait raison, lorsqu'elle avait dit que la messagère était une survivante à sa façons. Elle ne savait pas comment elle avait réussi l'exploit de survivre contrairement à ses frères et soeurs, mais elle l'avait fait. Bien sur Katrine aurait aimer les connaîtres, grandire avec eux, mais le destin en avait décidé autrement. Riki avait une histoire remplie d'émotion pour une fille de son âge. La recrue avait vue plus de choses que Katrine espérait en voir dans le restant de sa vie. Elle avait quand même eu la chance de visiter un autre District. Les personnes qui avaient encore la chance de raconter leur histoire était très rare. Katrine espérait grandement qui Riki allait pouvoir retrouver son père, ou du moins, qu'elle puisse apprendre exactement ce qui lui était arrivé. Être dans le néant comme elle l'était, sans vrai nouvelle, que des suppositions devait être très difficile.

- Continue de croire Riki, si au fond de toi ton père est toujours quelque part, alors n'arrète jamais de chercher. Un jours tu vas trouver la réponse à tes questions. Jespère que nous n'avons pas trop chambouler ta première journée de retoure au District 6.

Katrine rie un peu, elle voulait détendre un peu l'atmosphère, qui s'était tendu acause de tout ses drames. La jeune femme remarqua aussi que les bras de Nicolas commençait a etre presque remis en était. Elle trouvait dommage de se séparer par la suite, elle ne voulait pas que cette rencontre se termine. Elle aimait énormément leur petit groupe, Katrine réfléchie donc un moment a ce qu'il pourrait bien faire par la suite et elle déclara:

- Je voulais savoir si une bière dans un bars du souk vous tentait un fois que Nicolas allait être remis en état?

Elle fut timide de les inviter de la sorte, la méssagère avait une grande peur du rejet. Elle baisa donc le regard au sol en attendant leur réponce.

''Tant qu'à moi ça mérite un arrachage de couille...Personne à le droit de faire ça à qui que se soit. T'es une femme forte Yaël. N'en doute jamais!''

La phrase de la jeune recrue la fit sourire. Elle aimait l’audace de la jeune femme et aussi son caractère que nul autre ne pourrait avoir. Avoir le support de cette jeune fille était comme un baume sur son cœur. Elle n’Avait jamais pensé que d’autre personne aurait pu voir la situation aussi grave qu’elle. La rousse raconta ensuite sa vie. S’avoir que Riki à 17 ans avait vu plus de chose que la zoomophorme en 29 la rassura.

*Au moins elle n’aura pas de regret plus tard.*

L’histoire de son père la rendit triste. Riki n’avait jamais su ce qui était arrivé a son père tandis que la mante religieuse s’avait pertinemment que ses parents était encore en vie elle n’Avait juste jamais repris contact avec eux. Tout ‘un coup un sentiment d’égoïsme profond s’insinua en elle.. Comment avec t’elle pu faire cela a des gens qui l’aimait et qui s’inquiétait surement pour elle en se moment même. Quand Riki arracha le fil du bras de Nicolas sa la ramena sur terre.

- Jtaiderai … Je ne peux pas te laisser ainsi seule à cette quête dans un monde de chaos.

-Je voudrais t'aider aussi... Tu m'érite d'avoir cette vengeance...

Avoir autant de soutient de plusieurs personne différente la gêna un peu tout en lui donnant de l’espoir qu’un jour elle aurait sa vengeance. Que les gens qui lui on fait subir se martyr allait pouvoir subir la même chose qu’elle.

-Merci beaucoup de tout se soutien, par contre, je n’ai aucun renseignement par ou commencé a les retrouvé, mais avec vous et tout les connaissances que vous avez sa ne devrait pas être impossible. C’est vraiment apprécier.

Elle avait retrouvé le sourire que tout le monde lui connaissait. LA zoomophorme se sentait vraiment plus légère d’avoir raconté son histoire et que maintenant c’est angoisse était partager avec d’autre gens. Yaël allait pouvoir enfin en discuter avec d’autre personne et d’Avoir des points de vue extérieur. Surement qu’Elle allait avoir des indices sur les scientifiques. Une fois qu’elle saurait quelque chose elle ne sait pas comment elle allait réagir. Peut-être qu’Elle allait se dégonflé et vouloir tout abandonné. Sinon, sa va être l’inverse, elle va se sentir surpuissant et vouloir que tout aille plus vite.

-Je voulais savoir si une bière dans un bar du souk vous tentait une fois que Nicolas allait être remis en état?

Un bar? Yaël était allée dans un bar une seule fois dans sa vie et cela ne s’était pas vraiment bien passé. Les gens l’avait regardé de travers tout la soirée et personne ne lui avait adressé la parole a par sa mentor. Peut-être que cette fois-ci sa allait se passé différemment.

-Moi je n’ai aucun problème avec ça. Sa pourrait même être plutôt plaisant. C’est sur qu’il faut s’assuré que Nicolas alle bien. Je ne veut pas qu’il souffre a cause de ses bras.

Les gens semblaient croire en elle. Être sympathique. Elle savait que ses gens elle allait les revoir un jour ou l'autre. Mais pour l'instant elle branchait le dernier fil du bras d'Anderstone.

- Il s’appelle comment, ton père ? Je sais qu’il existe une liste officielle des dirigeants et des anciens de l’armée, il suffirait simplement d’aller voir Nicolas, le haut gradé, au centre de commandement.

Riki grimaça elle et les hauts dirigeants sa faisait deux. D'ailleurs sur son dossier d'armé c'était indiqué que la demoiselle n'était pas de tout repos et qu'elle était souvent puni pour indiscipline. Mais bon Elle venait d'arriver rien urgeait de partir à la recherche de son père. De ce qu'elle avait compris sa famille était connu ici.

''Mon père était le Major Eric Bago de StormRiders, seule chose que je sais de lui....J'ai un nom et une face c'est déja ça....Mhmmm Anderstone fait comme l'autre, bouge le pour être sure que tout est ok...''


Et Riki était retourner dans son univers de mécanique en regardant et s'assurant que les bras d'Anderstone étaietn fonctionnel, mais un mot la fit sortir de sa concentration. Bière.


''Ça va être avec joie pour moi...Oh, mais pas la. Une autre fois c'est clair et certain. Toujours partante pour une bière. ou deux pis quatre...''

La gamine partit à rire. Elle n'était pas alcoolique mais comme n'importe quel jeunesse, elle avait le sens de la fête. Elle se leva de sa chaise et fit un sourire à tout le monde.

',Bah moi je dois y aller je viens d'arriver aujourd'hui, des fucking papiers a remplir, je dois me présenté à mon supérieur...Oh donnez moi vos adresses! Je vais reparer la radio dans mes moments libres...''

La rouquine tomboy était à présent prête à partir. Après avoir récupéré les adresses, elle les saluts chaleureusement d'un signe de la main et quitta la pièce avec la boite pleines de morceaux divers.

Oui... La journée avait été longue et il avait maintenant lui aussi besoin de repos. La fatigue commençait à se faire sentir chez lui et les confidences lui avait énormément consommé de l'énergie. Il bougea légèrement les bras, plutôt content de la réparation que Riki et les filles avaient faites. Il souria.

- Merci beaucoup les filles... Mais malheureusement, moi aussi je vais profiter d'un instant de repos, les derniers moments furent très chargés.

Il se leva et se dirigea vers l'ordinateur . Il ouvrit une page de traitement de texte et fit imprimer grâce à un système électro-magnétique 1 feuille avec la même adresse inscrite deux fois dessu. Il prit la feuille qu'il déchira en deux et la tendit aux trois filles.

- Voiçi mon adresse... Si vous voulez me rejoindre ou simplement me laisser un courrier. Le téléphone, c'est encore une denrée rare en dehors de l'académie et c'est la seule façon assurée de me rejoindre...

Il accompagna les trois filles à l'extérieur du local et les raccompagna jusqu'à l'entrée.

- Au fait Yaël, j'aimerai beaucoup que tu me laisses les fioles sanguines de Katrine, si tu le veux bien, j'irais voir le scientifique afin de vraiment être certain que son sang n'est pas contaminé par la mutation. ( Décision qui sera peut-être prise par le DM Narrateur, pour l'action !!! =D ). Pour sa santé ....

Un léger sourit, assez discret, s'afficha sur le visage de Katrine lorsque Nicolas lui donna son adresse. Elle avait bel et bien l'intention de le revoir. Lui et les autres bien sur. Elle trouvait dommage que Riki et Nicolas ne voulait pas les suivres pour prendre une bière, elle avait peur pour l'instant que Yaël l'abandonne et que son offre de bière tombe à l'eau. Mais bon elle comprenait que Riki avait plein de choses à faire, elle venait de revenir en ville et Nicolas devait être assez occupé. Elle avait assez abusé de temps de tous ses gens.

- Merci Riki pour ton temps, on se reprendra pour la bière ses quand tu veux. À la prochaine.

Avant que la recrus ne quitte elle lui donna son adresse sur un bout de papier, par la même occasion elle le fit pour Yaël et Nicolas. Katrine suivit Nicolas vers la porte d'entré elle aurait bien pu y retourner par elle même, mais elle voulait profiter le plus possible du temps qui lui restait avec Nicolas... um avec les autres. Elle prit le papier que le mercenaire lui avait donné et commença a jouer avec les coins timide d'avance et lui dit.

- Merci Nic et encore désoler de tous se temps que je tes faits perdre... J espère avoir la chance de te revoir. Tu me donnera des nouvelles pour le sang, lorsque tu auras les résultats...

Elle hésita un bon moment entre lui tendre la mains, lui faire un calin ou bien lui donner des baiser sur les joues. Finalement Katrine ne fit rien du tout. Elle avait adore son moment passé avec eu, les confidences et l'entraide qu'ils c'étaient apporté sans trop bien se connaitre. La messagère se tourna vers Yaël.

- Est-ce que tu désire toujours faire quelque choses ?

Katrine espérait que la femme dise oui. Elle n'avait aucunement envie de terminer cette belle après-midi si rapidement. Elle lui fit un petit sourire comme pour tenter de la convaincre.

Maintenant que Yaël avait donné les fioles de sang a Nicolas plus rien ne les retenaient ici. Au moins l’infirmière avait toujours l'intention de faire quelque choses avec elle. Katrine ne se sentait pas totalement abandonné. Quoiqu'elle n'en voulait aucunement a Riki et Nicolas, elle comprenait très bien leurs situation et qu'ils pouvaient avoir quelque choses de prévue avant de les avoirs rencontrer.

- Je vais essayer de ne pas décevoir tes attentes et de te faire passé une excellente soirée. Si tu n'a pas envie d'une bière on peu toujours se faire quelque choses a manger.

Katrine continua de se diriger vers la porte, comme pour faire un effet d'entrainement et que Yaël allait la suivre à son tour.

- Retournons au Souk, nous allons probablement trouver quelque chose qui vas nous plaire.

La messagère lança un dernier regard à Nicolas qui partait de son coter. Elle eu un petit pincement au cœur de l'abandonner, mais elle savait très bien à l’intérieure qu'elle allait bien finir par le revoir.

(suite Yaël au souk)