La base secrète (pv Andrej)

Le "Zar" relaxait à une table de l'auberge des mercenaires. C'était son deuxième verre de caféine-rhum. Il lisait un livre étrange qui traitait des causes de l'attaque chinoise sur les États-Unis vers la fin du 21e siècle. Ealing le félin mutant était étendu de tout son long aux pieds de son maître.

Z: - Tu vois Ealing, quand on comprend les erreurs du passé, on réalise à quel point c'est inutile d'apprendre ça pour un autre motif que le divertissement...Les actes sont faites. Et vu l'état de la planète, ça ne risque pas de servir de si tôt.

Ealing jeta un oeil sur le cirquien, bailla et se tourna dos à lui.

Z: - Quel compagnon extraordinaire tu fais! Je crois que je vais te remplacer par un canidé débile qui est toujours heureux de me voir.

Ealing ne bouga pas.

Zaranarch ferma son livre avec exaspération. Les lieux étaient désert. Peut être allait-il retourner à sa chambre pour attendre la tombée de la nuit. Le moment où le plaisir commencerait vraiment.

Malgrés ses blessures, Andrej avait repris du service une semaine après. Pendant la journée, il avait accomplit quelques avis de recherche misent sur des têtes de petits criminels. Voulant prendre une pause, il décida d'aller à la taverne prendre un verre. Dès son entré, il jetta un coup d'oeil au tableau des primes et ne vit pas de nouvelles têtes. Il alla au comptoir pour réclamer la prime et en profiter pour prendre un verre de sa boisson préféré, la vodka. Il remarqua aussi un animal dans la taverne. Cétait bien la première fois qu'il voyait sa.

-Tu accepte ce type d'animaux ici?

-Eh bien tant qu'il n'attaque persone, sa me va. De plus pourquoi je dirais non si j'offre a boire à des zoomorphe?

-Tu marque un point là-dessus.

Malgrés les quelques douleurs qu'il ressentait encore, il pouvait finalement rire sans avoir mal.

Zaranarch vit Andrej entré. Ce leva nonchalamment et botta doucement Ealing pour monter à la chambre lorsqu'il regarda à nouveau le chasseur de prime. Il sortit un document de sa poche. Une grosse pile de papiers sur lesquels étaient marqué des noms avec des photos.

Z: - Je connais ce type...

L'anarchiste rangea le tout précieusement dans sa poche et se dirigea vers le nouvel arrivant. Il se donna deux ou trois claques mentales pour avoir un sourire.

Z: - Andrej Chernov?

Après avoir terminer son verre, il ouvrit un livre qu'il venait de s'achetter.Andrej allait débuter sa lecture quand il entendit son nom au complet d'une voix qui n'était pas famillière.

-Andrej Chernov?

Le russe se retourna et vit l'homme qui était à côté de la bête lorsqu'il rentrait dans la taverne. Son maître certainement. Que pouvait t'il bien lui vouloir?

-C'est moi. Je peux vous aider?

Le "Zar" s'accouda au comptoir et commanda un "ratburger". (vous avez vu des vaches par ici?)

Z: - J'ai entendu parlé d'un homme qui était un expert des souterrains urbains du 21e siècle. Il aurait vécu avec ses compagnons dans une base permanente dans le métro d'un autre district. Je suis un entrepreneur qui cherche quelqu'un avec de l'expérience et qui n'a pas peur du combat pour remettre un peu d'ordre dans les sous sols de la ville. Est-ce le genre de mission qui pourrait vous intéressez?

Zaranarch se tourna vers Andrej pour montrer plus d'ouverture à son interlocuteur.

Z: - Je vous offre un verre si voulez bien faire connaissance quelques minutes.

après s'être commander un repas, l'étranger reprit parole.

- J'ai entendu parlé d'un homme qui était un expert des souterrains urbains du 21e siècle. Il aurait vécu avec ses compagnons dans une base permanente dans le métro d'un autre district. Je suis un entrepreneur qui cherche quelqu'un avec de l'expérience et qui n'a pas peur du combat pour remettre un peu d'ordre dans les sous sols de la ville. Est-ce le genre de mission qui pourrait vous intéressez?


Andrej eu un sourire. La journée ne se terminera peut-être pas comme il l'avait prévu. Le propriétaire de la bête se retourna vers lui.

- Je vous offre un verre si voulez bien faire connaissance quelques minutes.

-Je ne suis pas contre. Mais je vais tout de suite corriger une de vos info. C'était le métro de New York et là-bas, personnes ne sait ce qu'est un district. Il est facile de croire qu'il s'agit d'un autre district. Rare sont les personnes qui vivent en dehors pas vrai?

Le "Zar" semblait confu.

Z: - Enrichissez-moi de votre savoir. Les gens qui viennent de l'extérieur sont en effet bien rare. J'ignore la différence entre le métro de New York et un district. Je croyais que vous aviez délimité un district à partir de ces souterrains.

-Dites-vous que c'est peut-être moi qui est dans l'erreur mais contrairement au district 6, nous n'avions aucun non-humain avec nous. Nous n'avions pas vraiment de millice. Étant donné que la première génération n'était faite que de spetsnaz qui était en mission ici, la hiéarchie millitaire resta présente. Les Généraux tel mon père devinrent en quelques sorte un conseil. Ce qui, je crois, ne fait pas de nous un district, c'est le fait que nous de dépassions pas le cap du 300 en population et qu'il n'avqais pas vraiment de gouvernement. Le conseil proposait et le peuple votait. De plus, les gens n'avaient pas trop la tête pour se proclamer district. Ils ne voulait que survivre.

Andrej reprit son bouquin et le mit dans sa poche.

-Comme je dit, il se peut que je me trompe, je ne sais pas trop ce que défini un district des autres lieux où vivent l'homme.

Zaranarch se posait la question pour la première fois sur le concept d'un district. En vérité, il croyait que tous les humains habitaient dans un district. L'extérieur n'était-il pas intolérable à tous les humains?

Z: - Vous étiez dans une contrée sauvage en quelque sorte. J'ai toujours habité dans les murs du district. Je croyais naïvement que tout être humain hors d'un district officiel était avalé par un ver de terre géant à l'intérieur de 48h. Je me demande quelle sortes de communauté se sont recréé depuis la guerre sans que personne n'en prennent connaissance.

Barmaid: - Ton ratburger est près Zed.

Z: - Merci Helen .

Le "Zar" abserva le gigantesque burger double avec fromage et tous les condiments post apo trouvables. (bave)

Z: - Bon on va s'assoir? Ealing au pied. Non, le burger c pas pour toi. Ton rat tu le chasses.

Alors que l'inconnu lui demanda s'il voulait s'assoir, Andrej hocha de la tête et le suiva. Il put apprendre en même temps le nom de la bête, Ealing. Le russe examina du regard la bête. Il n'avais jamais vu ce genre de...félin?

-C'est quand même une belle bête que vous avez. Ceci dit, j'aimerais bien en apprendre un peu sur vous, sans vouloir être indiscret bien sûr.

Zaranarch fini de mâcher sa bouchée, déposa son burger et eu un sourire en coin.

Z: - Tu es la première personne qui me demande qui je suis en trois semaines. Du moins, à un moment ou mon âme est troublée et épuisée. C'est amusant. Normalement, tout le monde se fait une idée préconçue de ma mentalité et font affaire avec moi par réflexe. Les préjugés sont les fondements du monde et j'en suis son plus éminent martyr. Tu veux savoir qui je suis....hahaha.

L'anarchiste sortie une bouteille d'eau de son sac. Il la décapsula et en vida la moitié d'un trait. Il était fait d'eau dans un monde de poussière.

Z: - Je suis quelqu'un qui est née en haut d'une montagne. Vu d'en haut, on voyait les bêtes grouiller dans tous les sens au pied du massif. L'air y était pur, mais ses habitants manquaient cruellement de bon sens et de raison. Lorsque j'ai ouvert la bouche pour remettre cette folie latente en question, on ma dit tait-toi. Puis il mon fait descendre en bas de la montagne et m'ont enchaîné à un rocher.

Le "Zar" réfléchit un instant. Passerait-il sa vie a faire un spectacle à une audience? Chaque fois qu'il s'adressait à quelqu'un, il se sentait incapable de faire autrement. C'était la seule façon de ne pas hurler et d'oublier que ça vie serait une croisade dont la fin était de se consumer comme une étoile filante.

Z: - Accroché au rocher, des bêtes m'ont dit: "hé toi qui vient d'en haut, conseils-nous avec tes yeux d'aigles. J'ai accepté et j'ai compris que les bêtes étaient nés sans voir plus loin que le raz du sol. En effet, ceux qui habitaient en haut refusaient de laisser monté les bêtes pour pratiquer leur vue. Les bêtes étaient leurs esclaves par certains droits obscurs venant d'une époque ou les ancêtres des aigles avaient détruit la planète. Étrange, non?

Z: - J'ai cependant découvert une chose fascinante. Les bêtes sont assoiffées de sang d'aigle. Je l'ai découvert quand on m'a proposé de briser mes chaînes contre du sang d'aigle. J'ai aussi compris que seul un aigle peu attaquer un aigle. J'ignore pour quoi, mais la sociologie aurait surement une réponse intéressante si on la saupoudrait d'un peu de neuro biologie.

Z: - Je montre donc tous les symptôme d'un aigle qui veut remonter au sommet en cassant quelques oeufs et en dispensant mes bienfaits sur quelques bêtes. Or, n'es-je pas déjà affirmé que ceux d'en haut avait un grave manque de bon sens et de raison? Si j'en suis, alors il m'est impossible de voir la vérité, seul au sommet d'une tour d'ivoire. Je ne puis que l'esquisser. Ainsi est mon malheur. J'accomplit simplement mon instinct d'aigle. Je guide ceux qui sont assez fort vers ce qui pourrait changer l'ordre du monde. À condition qu'on nourrisse mon esprit des bonnes paroles, belles et bonnes. Et non de celles sombres et mauvaises qui nous ont menées ou nous sommes. Trouverais-je cette nourriture de l'esprit dans le district 6? On verra.

La pression des dernières semaines donnait des migraines au "Zar". Il débloquait devant un étranger. Bah, ce n'est pas comme si ça allait changer quelque chose à ses plans.

Z: - Pour répondre à ton odieuse question qui sortent les morts de leurs tombes, je suis "Zar" Anarch, et je veux reconstruire ce district morceau par morceau pour créer une échelle vers les cieux. Je veux toucher le ciel du bout des doigts. Et j'y invite tout ceux qui préfère matérialisé une idée que de se vautrer dans la fatalité.

Zaranarch prit une pause, puis fit un sourire ironique. Il ouvrit les mains théâtralement.

Z: - Et toi, qui es-tu?

après la présentation du "Zar" qui avait surtout été faite d'un ton théatrale et poétique, Andrej avait compris un peu l'essentiel. Du moins, il espérait. D'après ce qu'il avait comprit, La personne intriguante qui était assit face à lui, faisait autrefois parti des personnes qui vivait dans la richesse mais que d'une certaine manière, il s'était retrouvé parmis les simples citoyens. Ces derniers, ainsi que lui, formerais un certain groupe qui voudrais changer non... révolutioner le district. À moins que quand il mentionait les bêtes il parlait d'aider à changer la vie de ceux qui était non-humain, de les libérer de ce racisme.

- Et toi, qui es-tu?

Andrej eut un sourire en coin. L'homme ne savais pas tout sur son sujet à l'exeption qu'il venait des métros. Il se dit même qu'il pourait jouer un peu le beau jeu du Zar.

-Comme tu le sais, je suis Andrej, une pauvre et simple âme qui tente de survivre dans l'enfer que les ancêtres des aigles ont créés. Une âme qui ne veux pas vivre parmis celle qui porte tous la même couleur et qui obéissent à des démons souhaitant la d'estruction de d'autres légions d'âme, qui n'est pas prète à s'adonner à des taches imonde qui ignore les principes et la moralité de l'homme. L'âme que je suis n'est point attiré par le vice de l'avarice comme la plus part des personnes dans cette pièce mais par sa cause et sa justice.

Z: - HAHAHA, quelle bon comédien russe tu fais!

Zaranarch vida ce qui lui restait de bouteille d'eau.

Z - Et bien, soldat idéaliste sans patrie, je crois que les présentations seraient incomplètes si je ne te présentait pas mon "chat" Ealing.

Ealing réagit à son nom et dévisagea les deux étrangers. Puis il se sentit dévisagé et tourna légèrement la tête pour garder les deux hommes du coin de l'oeil hypocrite caractéristique des félins.

Z: - Il s'appel Ealing parce qu'il a le réflexe de ramasser les blessés et de les ramener à mes pieds. Il a acquis ce réflexe pour je ne sais quelle raison, mais une amie de l'époque trouvait ce nom très drôle et je l'ai baptisé ainsi. Il est vraiment intelligent. Plus qu'un chien. Mais comme un chat il aime avoir l'air idiot pour qu'on lui fiche la paix.

Ealing plissa les yeux et aplanît ses oreilles en regarda le "Zar". L'anarchiste sourit triomphalement à son "chat".

La demande était simple et directe. Avoir quelqu'un qui sait comment marche les souterrains, un guide. En échange, il est prêt à donner une parti des droit et des revenus des activités. Il voulait une espèce de collaboration. Seul le futur lui dira si cette collaboration un bon choix ou pas.

-Très bien, je suis partant.

Z: - HAHA, Excellent! Emparons-nous des souterrains pour y faire les fondations qui tiendront l'échelle vers les cieux!!

Zaranarch se leva avec prestance.

Z: - Je vais aller chercher des amis à moi et nous partons. Où puis-je te recontacter?